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Votre avis sur Vendredi 13 - Chapitre 9 : Jason va en enfer ?
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On a perdu toute l'essence de la saga dans ce chapitre qui se voulait être la révélation finale. La première scène m'avait pourtant choppée ! Tuer le méchant d'entrée de jeu, et d'une façon aussi théâtrale aurait pu être brillant si ce qui a suivi cet évènement n'était pas aussi médiocre. Pour être parfaitement honnête, j'ai même pas l'impression d'avoir regarder un Vendredi 13 mais plutôt un slasher random. Cette idée de perpétrer la personnalité de Jason a travers une créature dégueulasse qui s'infiltre dans des personnages vides d'intérêt, tue tout le plaisir. Certains des héros que cette limace répugnante infiltre parlent... Donc Jason parle maintenant ? Ca n'a plus aucun sens et c'est tellement à milles lieux du principe même des Vendredi 13 qu'on ne rentre pas dedans. Et pour finir, c'est quoi ce Jason au rabais qu'on nous tape sur la fin ? Masque limé, crâne tout pété mal fait... Aucune classe. Tout le charisme du psychopathe s'est envolé. Il y a déjà eus quelques éléments fantastiques dans la série mais là on ne se serait même pas étonné d'avoir vu des aliens venir rechercher Jason à la fin du film.
Dès la scène d’intro, avec l’arrivé du SWAT au grand complet pour exterminer Jason sous une avalanche de moyens pyrotechniques dignes des séries Z les plus ringardes, on sait qu’on va passer une heure et demi partagé entre le rire involontaire et le dépit. La suite ne nous donne pas tort tant le film est un ratage complet. Cet épisode réussi l’exploit de faire encore moins bien que les opus précédents pour plonger sans remord dans un abysse de mauvais gout. Une bouse infâme où surnagent seulement quelques scènes bien gores (pour les amateurs du genre) et un dernier plan inattendu laissant présager d’un futur Freddy vs Jason.
Vous pensiez qu'il était impossible d'aller encore plus loin, eh bien vous aviez tort ! Ici, après avoir été salement amoché, Jason fait un comeback encore plus improbable : son coeur se balade à la recherche d'un corps à habiter à grand renfort de ridicules petites étincelles vertes... De plus, un mystérieux chasseur de prime nous informe que seul un
spoiler:
Vorhees
pourra tuer Jason en lui plantant un poignard ancestral (j'extrapole peut-être un peu !) dans le coeur. Or, voilà qu'on nous sort une spoiler: soeur de Jason
de derrière les fagots. Et c'est spoiler: toute une branche de la famille Vorhees
qui nous est dévoilée. Quelques morts improbables et autres possessions de corps ridicules plus tard prend fin cette belle tranche de rire, qui n'a malheureusement pas l'air volontaire...
pourra tuer Jason en lui plantant un poignard ancestral (j'extrapole peut-être un peu !) dans le coeur. Or, voilà qu'on nous sort une spoiler: soeur de Jason
de derrière les fagots. Et c'est spoiler: toute une branche de la famille Vorhees
qui nous est dévoilée. Quelques morts improbables et autres possessions de corps ridicules plus tard prend fin cette belle tranche de rire, qui n'a malheureusement pas l'air volontaire...
Malgré un scenario faiblard c'est le vendredi 13 le plus drôle de la saga qui n'hésite pas à se parodier sans complexes et en fait des tonnes dans les éxécution de Voorhies. 12/20
Jason Voorhees revient après le pathétique huitième film. Et je me rend compte que même avec le retour dans l'équipe du "papa" de la saga (Sean S. Cunningham en tant que producteur), le tueur au masque de hockey n'est pas prêt de se relever pour cette nouvelle renaissance... Nous avons là un film qui tente une percée du côté du genre fantastique de manière tellement brouillonne et pitoyable qu'aucune frâicheur n'ait apporté à la saga. Au contraire, le scénario en est plus incompréhensible et ridicule, tout comme les effets spéciaux, la mise en scène, la musique et les acteurs. Légèrement meilleur que le précédent car étant plus moderne et bénéficiant de plus de moyens, mais le résultat obtenu n'est en aucun cas honorable! 1h29 d'un Enfer presque interminable!
Yannickcinéphile
Bon, alors voilà Jason va en enfer. Oui, bon ben il vaudra mieux l’oublier, car il fait partie des mauvais métrages de la saga.
Le casting est assez inégal. Dans l’ensemble j’ai trouvé les interprètes plutôt convaincants, faisant des efforts, et il y a quelques noms un peu connus quand même qui font surface, notamment Steven Williams. Néanmoins il y a quand même des seconds rôles loupés, notamment Richard Gant qui fait n’importe quoi le temps de sa présence à l’écran. Il faut aussi avouer que les personnages sont assez mal foutus, et surtout pas tous dans le ton du film. Curieusement ce Jason en enfer, sous des idées absurdes cache une tonalité beaucoup moins humoristique et semi-parodique que les précédents films ayant développée des idées absurdes. Or ici, si les acteurs principaux héritent de rôle assez sérieux, les seconds rôles sont totalement burlesques (celui de Rusty Schwimmer, mais même celui de Steven Williams, c’est quelque chose). Cela fait un décalage qui n’est pas des plus enthousiasmants.
Le scénario a le même souci. Sérieux lui aussi, il existe pourtant en se reposant sur des idées d’une imbécilité sans nom. La première partie est assez terrible en la matière, mais j’ai envie de dire que la fin aussi. Le problème c’est qu’on hésite à savoir s’il faut rire ou s’il faut être angoissé à certain moment (celui de la morgue est marquant quand même). En tout cas cette indécision dans la tonalité est critique. De surcroit j’ai eu la chance de voir ce film en version non censurée, car je pense qu’en version censurée le résultat doit être bien timide, vu qu’il n’y a pas énormément de meurtres, ou en tout cas qu’ils ne sont pas tous très bien mit en valeur, et que l’intrigue largue assez vite le spectateur par ses outrances.
Visuellement on ne monte pas en gamme. Autant le précédent film avait su imposer une ambiance, autant ici on retombe dans le travers des moins bons épisodes de la saga. Hormis le final qui fait des efforts au niveau décors et ambiance, le reste du film ne laisse pas une impression particulièrement notable, et je note que la mise en scène, sans être mauvaise souffre, comme la plupart des Vendredi 13 d’un côté assez lisse, passe-partout. On sent qu’il n’y a pas un maitre derrière la caméra. Sinon heureusement il y a des effets horrifiques, mais clairement je conseille le film en version non censurée, car je ne sais pas ce qu’ils ont pu garder dans la version censurée. Honnêtement en enlevant les passages sanglants les mieux réussis (en gros trois scènes bien trash), je ne vois pas ce qu’il peut y avoir d’intéressant niveau sang dans le film. La bande son perd en intensité, elle n’a rien de mémorable.
En conclusion ce film n’a pas du tout l’impact que j’espérai. Après plusieurs films sympathiques mais pour lesquels il manquait un déclic, j’espérai que ce film allait apporter ce plus manquant, mais finalement on retombe lourdement. Sans être infect, Jason va en enfer ne présente pas de véritable intérêt, et son indécision dans le ton déplaira forcément aux amateurs d’horreur comme aux amateurs de films de genre semi-parodique. 1.5.
Le casting est assez inégal. Dans l’ensemble j’ai trouvé les interprètes plutôt convaincants, faisant des efforts, et il y a quelques noms un peu connus quand même qui font surface, notamment Steven Williams. Néanmoins il y a quand même des seconds rôles loupés, notamment Richard Gant qui fait n’importe quoi le temps de sa présence à l’écran. Il faut aussi avouer que les personnages sont assez mal foutus, et surtout pas tous dans le ton du film. Curieusement ce Jason en enfer, sous des idées absurdes cache une tonalité beaucoup moins humoristique et semi-parodique que les précédents films ayant développée des idées absurdes. Or ici, si les acteurs principaux héritent de rôle assez sérieux, les seconds rôles sont totalement burlesques (celui de Rusty Schwimmer, mais même celui de Steven Williams, c’est quelque chose). Cela fait un décalage qui n’est pas des plus enthousiasmants.
Le scénario a le même souci. Sérieux lui aussi, il existe pourtant en se reposant sur des idées d’une imbécilité sans nom. La première partie est assez terrible en la matière, mais j’ai envie de dire que la fin aussi. Le problème c’est qu’on hésite à savoir s’il faut rire ou s’il faut être angoissé à certain moment (celui de la morgue est marquant quand même). En tout cas cette indécision dans la tonalité est critique. De surcroit j’ai eu la chance de voir ce film en version non censurée, car je pense qu’en version censurée le résultat doit être bien timide, vu qu’il n’y a pas énormément de meurtres, ou en tout cas qu’ils ne sont pas tous très bien mit en valeur, et que l’intrigue largue assez vite le spectateur par ses outrances.
Visuellement on ne monte pas en gamme. Autant le précédent film avait su imposer une ambiance, autant ici on retombe dans le travers des moins bons épisodes de la saga. Hormis le final qui fait des efforts au niveau décors et ambiance, le reste du film ne laisse pas une impression particulièrement notable, et je note que la mise en scène, sans être mauvaise souffre, comme la plupart des Vendredi 13 d’un côté assez lisse, passe-partout. On sent qu’il n’y a pas un maitre derrière la caméra. Sinon heureusement il y a des effets horrifiques, mais clairement je conseille le film en version non censurée, car je ne sais pas ce qu’ils ont pu garder dans la version censurée. Honnêtement en enlevant les passages sanglants les mieux réussis (en gros trois scènes bien trash), je ne vois pas ce qu’il peut y avoir d’intéressant niveau sang dans le film. La bande son perd en intensité, elle n’a rien de mémorable.
En conclusion ce film n’a pas du tout l’impact que j’espérai. Après plusieurs films sympathiques mais pour lesquels il manquait un déclic, j’espérai que ce film allait apporter ce plus manquant, mais finalement on retombe lourdement. Sans être infect, Jason va en enfer ne présente pas de véritable intérêt, et son indécision dans le ton déplaira forcément aux amateurs d’horreur comme aux amateurs de films de genre semi-parodique. 1.5.
MaCultureGeek
Le voila le dernier des "vrais" Vendredi 13. Dès le début, on se rend compte que les scénaristes de la série ont voulu changer du reste des épisodes, avoir une approche plus directe, moins "banale"; ils ont voulu sortir des sentiers battus. Et bien, pour tout vous dire, c'est une erreur sans en être une. Faire mourir Jason dès le début du film était une idée prometteuse, mais malheureusement mal exploitée. Et puis, autre chose, tant que j'y pense: il semblerait que les maquillages et le "masque de peau fracassée" de Jason aies changés. Peut-être est-ce dû à un manque de moyen? Je ne sais pas, mais honnêtement, le visage du méchant héros, tout du moins l'arrière et le côté du visage, est beaucoup moins "classe" que celui des épisodes passés. Attaquons-nous désormais à l'histoire, que je trouve personnellement, et ce n'est que mon avis, navrante. Je dirai même que le scénario est le moins original de toute la saga, et pourtant il y a de quoi faire. Transformer Jason en véritable parasite qui contrôle un hôte avant d'en choisir un autre pour survivre est un très, très mauvais choix, et même pire, une idée désastreuse. On avait l'habitude d'un criminel impitoyable, silencieux et intelligent. Là, nous avons une limace qui s'infiltre dans la gorge d'une victime, sans classe et bruyante comme pas possible. Je comprend bien que si cet épisode n'avait pas été fait comme cela, les gens auraient crié au réchauffé, bien que pour moi, ce n'est pas le cas. Mais quand même, Jason en parasite? Je dis non! J'ai oublié de mentionner les dialogues navrant de naïveté et la mise en scène qui est correcte mais qui ne fait pas de prouesses. Je ne vous dit pas tout, pour que vous le découvriez vous même. Si vous voyez ce film, tout du moins...
Shawn777
Ce neuvième épisode de la saga "Vendredi 13", cette fois réalisé par Adam Marcus et sorti en 1993, a tout de même fait l'exploit d'être pire que dans mes souvenirs, qui étaient pourtant très mauvais ! La Paramount ayant abandonnée sa poule aux œufs d'or qui était de moins en moins rentable, c'est la New Line Cinema qui prend le relais (permettant ainsi, quelques années plus tard, la confrontation entre Freddy et Jason) et c'est également l'occasion pour Sean S. Cunningham, le réalisateur du premier film, de reprendre les rênes de la saga. On peut alors raisonnablement se dire que c'est une bonne chose que le père de la saga soit de retour. Eh bien non, grossière erreur ! Effectivement, ce neuvième opus est, de loin, le plus mauvais de la franchise ! Cunningham voulant partir sur de nouvelles bases, il tue littéralement Jason, enfin du moins physiquement, et décide de faire passer son âme de corps en corps d'une manière d'ailleurs des plus ignobles. Ainsi, Jason possède cette fois ses victimes pour terroriser Crystal Lake et ses alentours. Il devra également se méfier d'une nouvelle adversaire, et pas des moindres, puisqu'il s'agit de
spoiler:
sa sœur
! Oui, vous m'avez bien lu, à la manière de "Halloween II", mais encore plus maladroitement amené, on sort du chapeau spoiler: une sœur
à Jason qui elle seule, ainsi que sa fille et sa petite-fille (encore bébé) seront capables de le tuer définitivement (parce-que spoiler: liens du sang
, cherchez pas à comprendre). Alors, outre le fait que ce soudain lien de parenté ne soit clairement qu'une pirouette scénaristique permettant de faire avancer cette laborieuse histoire, elle amène également son lot d'incohérences. Effectivement, Jason est soudainement obsédé par elle, pourquoi n'a t-il pas cherché à la tuer plus tôt (surtout qu'elle habite Crystal Lake !) et pourquoi n'est-elle mentionnée nulle part dans les huit (!) précédents films. Dans "Halloween II", ça passe puisque, même si c'est un twist plutôt grossier, nous n'étions que dans le second opus, permettant par la suite de construire toute la mythologie Michael Myers/Lauris Strode. Mais là, c'en est clairement risible ! Puis même sans ça, le film est d'un ennui sans nom, fini le slasher sympathique, on vire complètement dans le fantastique. Je ne suis pas non plus contre changer de cap, surtout au bout de huit films tournant un peu en rond mais c'est un changement de cap beaucoup trop brutal et surtout complètement raté ! La mise en scène n'est guère mieux, de même que le jeu d'acteur, confondant le film avec un téléfilm/série B direct to DVD bas de gamme. "Vendredi 13 - Chapitre 9 : Jason va en Enfer" est donc un ratage complet et fait partie, du moins de mon point de vue, des pires suites de films, sinon des pires films tout court !
! Oui, vous m'avez bien lu, à la manière de "Halloween II", mais encore plus maladroitement amené, on sort du chapeau spoiler: une sœur
à Jason qui elle seule, ainsi que sa fille et sa petite-fille (encore bébé) seront capables de le tuer définitivement (parce-que spoiler: liens du sang
, cherchez pas à comprendre). Alors, outre le fait que ce soudain lien de parenté ne soit clairement qu'une pirouette scénaristique permettant de faire avancer cette laborieuse histoire, elle amène également son lot d'incohérences. Effectivement, Jason est soudainement obsédé par elle, pourquoi n'a t-il pas cherché à la tuer plus tôt (surtout qu'elle habite Crystal Lake !) et pourquoi n'est-elle mentionnée nulle part dans les huit (!) précédents films. Dans "Halloween II", ça passe puisque, même si c'est un twist plutôt grossier, nous n'étions que dans le second opus, permettant par la suite de construire toute la mythologie Michael Myers/Lauris Strode. Mais là, c'en est clairement risible ! Puis même sans ça, le film est d'un ennui sans nom, fini le slasher sympathique, on vire complètement dans le fantastique. Je ne suis pas non plus contre changer de cap, surtout au bout de huit films tournant un peu en rond mais c'est un changement de cap beaucoup trop brutal et surtout complètement raté ! La mise en scène n'est guère mieux, de même que le jeu d'acteur, confondant le film avec un téléfilm/série B direct to DVD bas de gamme. "Vendredi 13 - Chapitre 9 : Jason va en Enfer" est donc un ratage complet et fait partie, du moins de mon point de vue, des pires suites de films, sinon des pires films tout court !
FaRem
Après avoir racheté les droits à la Paramount, New Line Cinéma avait comme idée de redonner un second souffle à cette franchise, un pari difficile surtout après 8 films, mais un pari à moitié réussi car d'un coté, on a un vrai renouveau avec un film qui prend plus des allures de thriller qu'un slasher classique, mais à vouloir trop changer les habitudes, le réalisateur a complètement dénaturé le film à vrai dire, on ne reconnaît pas la franchise, on a l'impression de voir un autre film. Le résultat final n'est absolument pas à la hauteur, et ce, malgré les nombreux changements, l'histoire est sans intérêt avec Jason qui passe de corps en corps puis surtout le film est aussi poussif et ennuyeux que les précédents.
Redzing
Au début de ce neuvième volet, le FBI parvient enfin à anéantir Jason, ou du moins son corps. Car son esprit est toujours vivant, et parvient à posséder d'autres personnes, pour poursuivre ses tueries. "Jason Goes to Hell: The Final Friday" est une suite tout simplement ridicule, paresseuse, et terriblement ennuyeuse. Le scénario et les personnages sont inintéressants au possible, les péripéties fleurent bon le déjà vu, et la "nouveauté" du Jason qui voyage de corps en corps est grotesque (on croirait voir un film de zombies au rabais). Sans parler d'une mise en scène pataude à souhait, qui tente à plusieurs reprises de faire de l'humour noir, sans jamais y parvenir. A noter que la fin du film devait initialement boucler la franchise et enclencher un cross-over "Freddy vs Jason", qui ne verra le jour que 10 ans plus tard... après un "Jason X" !
La saga Jason Vorhees est longue, très longue. Depuis deux épisodes, elle baisse en qualité mais certains éléments de ces deux films n'étaient pas nuls.
Cette fois, ce neuvième opus scénarisé par le scénariste de Magnum et celui de Ma Famille d'Abord est carrément mauvais pour ne pas dire nul. Les acteurs sont terriblement mauvais mais cela dit, Steven Williams et Richard Gant se sortent du marasme ambiant pour pouvoir montrer soit leurs qualités d'acteur pour le premier, soit leur non-nullité pour le second. Kane Hodder joue encore Jason pour mourir dès le départ. Le scénario part néanmoins d'une bonne idée, avec un superbe pré-générique et un excellent générique où tout le budget a du passer. Puis on récupère une série Z, complètement pourrie, aux effets spéciaux digne d'un mauvais Robot Chicken et surtout un désintérêt incroyable de la part d'un spectateur qui a adoré les épisodes purement violents et sans merci.
Les jeunes ne servent à rien, Crystal Lake ne sert plus à rien et la musique de Manfredini est juste digne du Prisunic... Nul. Complètement nul.
Cette fois, ce neuvième opus scénarisé par le scénariste de Magnum et celui de Ma Famille d'Abord est carrément mauvais pour ne pas dire nul. Les acteurs sont terriblement mauvais mais cela dit, Steven Williams et Richard Gant se sortent du marasme ambiant pour pouvoir montrer soit leurs qualités d'acteur pour le premier, soit leur non-nullité pour le second. Kane Hodder joue encore Jason pour mourir dès le départ. Le scénario part néanmoins d'une bonne idée, avec un superbe pré-générique et un excellent générique où tout le budget a du passer. Puis on récupère une série Z, complètement pourrie, aux effets spéciaux digne d'un mauvais Robot Chicken et surtout un désintérêt incroyable de la part d'un spectateur qui a adoré les épisodes purement violents et sans merci.
Les jeunes ne servent à rien, Crystal Lake ne sert plus à rien et la musique de Manfredini est juste digne du Prisunic... Nul. Complètement nul.
J'ai mis que 3 étoiles mais comme je n'ai pas pu encore voir la version Unrated (Censure de m?/§?/) que j'attends de pied ferme, on va dire que je n'ai pas encore pu me faire une bonne idée du film.
Le Rabzz
Le plus mauvais de la saga, faire ce film parce que le projet Freddy vs Jason était retardé, était une très mauvaise idée.
Le scénario, qui de base dans cet saga passe en second plan, est ici une véritable catastrophe rien ne va dans ce long-métrage.
Le scénario, qui de base dans cet saga passe en second plan, est ici une véritable catastrophe rien ne va dans ce long-métrage.
Ce chapitre 9 brille par son scénario famélique, stupide - on réinvente ici en rajoutant des idées complêtement absurdes, mention spéciale au poignard magique - des morts banales et une mise en scène ridicule. On se demande quand est ce que c'est du second ou du premier degré, car les deux s'entremêlent bizarrement et sans aucun sens. Dans ce Final Friday ou pas d'ailleurs, on a aussi des effets visuels immondes. D'ailleurs, un V13 sans Jason, c'est encore plus chiant. Et je ne parle pas de la gueule pathétique du Jason Vorhees de cet épisode, en plastoc. La franchise s'est perdue dans sa recherche compulsive de la superlation. De toutes façons, ça n'a jamais été qu'une série de faible intérêt. Ainsi, Jason va en enfer est un très mauvais film, en comptant les quelques passages assez drôles (malgré eux). A éviter.
Épisode très moyen ! Le plus mauvais de la saga à mes yeux. Dommage qu'on voit si peu Jason, là scène du début était vraiment divertissante mais la suite m'a donné envie de gerber ! L'idée globalement m'enthousiasme absolument pas, en tant que fan je trouve honteux d'en arriver là.
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