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raphaelK
16 abonnés
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2,0
Publiée le 28 octobre 2017
Ce volet se passe en deux temps : sur le bateau, et dans la ville. New York est mentionnée comme étant la ville, car Manhattan est l'un des cinq arrondissements de New York. Par ailleurs, il est difficile de ne pas voir en Manhattan une critique de la ville avec les continuels démêlés avec les dangereux gangs de toxicomanes.Jason développe dans cet opus sa phobie de l'eau en croyant une nouvelle fois se noyer. On la retrouvera dans Freddy contre Jason, où il aura la même réaction, la transformation en l'enfant impuissant qu'il était la première fois.
Ce fut une grande perte de temps dû au scénario pitoyable malgré le bon travail de storybord car les plan de vues sont parfois assez bien. Sinon le reste est bâclé dans l'ensemble. A titre d'exemple; mal nettoyer un acteur entre deux prises et donc celui ci a déjà du sang avant de mourir... On voit aussi la tentative d'amener Jason ailleurs qu'à crystal lake pour ouvrirent une peut être suite dans les rues de New York. Bonne idée sur le papier mais ce film est tellement mal écrit qu'il est un gâchis incroyable en temps, argent, etc. Cher spectateur, si vous avez envie d'un bon film rayez celui ci de votre liste...
Après un septième opus somme toute assez sympathique, je me disais que la saga "Vendredi 13" pouvait être sur une pente enfin ascendante. Mais manque de bol, ce huitième opus intitulé "L'Ultime retour" vient malheureusement me prouver le contraire. On retrouve, durant la première heure du film, le vilain Jason Voorhees à bord d'un bateau de croisière où il se fera un malin plaisir à trucidé la quasi totalité de l'équipage. Quant à la dernière demi heure, on retrouve le toujours aussi vilain Jason Voorhees carrément à Manhattan où il pourra continuer sa marche terriblement sanglante. Le scénario s'avère des plus bancale, la réalisation propose bien peu de suspense et de moments flippants et le gore n'est pas suffisamment présent à l'écran. Reste un Kane Hodder que l'on sent particulièrement à l'aise dans le rôle de ce terrible et toujours aussi vilain Jason et aussi la présence d'une certaine Kelly Hu (X-Men 2, Le Roi Scorpion) qui faisait ici ses tout premier pas dans le monde merveilleux du cinéma.
Déjà, rien que le titre du film prête à sourire Bientôt, il nous sortiront "L"ultime retour du début de la fin ultime du début final"! Bref, comme le laisse supposer un tel titre, nous avons bien affaire à un sacré nanar. La réalisation, pour commencer, est plus proche de celle d'un téléfilm que d'un film de cinéma. De plus, on a vraiment droit à tous les poncifs des films du genre : rien ne nous est épargné. Au niveau du positif, on a quand même droit à quelques touches d'humour (second degré!), et c'est l'occasion de voir la belle Kelly Hu dans l'un de ses tous premiers rôles. Un film tout juste regardable.
Jason revient d’entre les morts pour un ultime retour mais était-ce vraiment nécessaire ? Ce dernier volet de mon coffret dvd Vendredi 13 aurait très bien ne pas gonfler ma collection pour un résultat pareil. Malgré l’idée de faire sortir Jason de son Cristal Lake pouvait être bonne et offrir quelque chose de différent, le contenu à côté est pauvre et sans imagination.
En effet, dès le retour du tueur prodige, notre enthousiasme se changera vite en scepticisme quant à ses deux premiers meurtres sur le bateau (surtout quand il tue la fille : c’est mou et invraisemblable la non réaction de celle-ci). Bon on se dit que ce n’est que le début mais au fur et à mesure que les meurtres s’enchaineront, on constatera le manque d’imagination. Etranglements, je te jette contre le mur ou par terre, je t’embroche doucement (j’insiste sur le mot doucement) avec diverses pics : waouh ça bande dur tout ça. Ne parlons même pas des victimes qui attendent de se faire démonter gentiment par Jason. Malgré l’excitation de voir Jason à chaque scène, on peut être outré de voir notre tueur se baladait tranquille sans arme à la main. Etant donné que Jason sort de Cristal Lake, il a plus une apparence de touriste que d’un réel tueur menaçant et inquiétant. C’est vrai que c’est dur de mettre une machette à notre tueur et il est vrai aussi que ce n’est pas non plus un élément clé faisant partie de lui. C’est comme Massacre à la tronçonneuse sans tronçonneuse : ce n’est pas grave du tout et on s’en fou après tout. Non franchement un peu de sérieux quand même ! Sur toute l’œuvre, je retiendrai deux scènes qui ont vraiment marqué mon attention. La première est celle du meurtre du boxeur assez amusante dans le contexte et à la fois plus violente de ce que l’on a vu jusqu’à présent. Un deuxième passage, plus long, est tout le moment dans les égouts vers la fin du film : un endroit bien glauque, étroit et sombre pour une séquence plus nerveuse. Un passage qui fait mouche dans un film d’horreur. Quand on réfléchit, on change plusieurs fois de décor dans cette production (bateau, ville et égouts) mais le contenu peine considérablement à suivre. C’est très frustrant.
Ultime retour est donc le retour de trop pour Jason car malgré l’enthousiasme de retrouver notre tueur fétiche, le film ne montre pas son personnage dans ses meilleurs jours. Il y avait pourtant de l’idée de changer d’endroit. Malheureusement, les meurtres sont fades, parfois dignes d’un téléfilm ou série policière à la télévision ; et Jason se promenant mains nues est peu menaçant et inquiétant. C’est dommage de voir une saga dans l’ensemble de bonne qualité, mal se finir avec un dernier opus qui ne sait pas réellement mettre en valeur son tueur et de perdre une occasion d’offrir un bon volet qui se démarque des autres.
Complètement nul. Jason n'est ici qu'un prétexte pour faire un film. Il se retrouve sur un bateau qui l'amène à New-York, en vue de plus de meurtres car ceux du bateau (Un gros bateau avec quelques passagers), ne lui suffisent pas. Malheureusement, le film est ennuyeux, les décors auraient demandés un budget plus conséquent et les personnages jouent suffisamment bien mais n'ont pas grand chose à se mettre sous la dent. Surtout le bagarreur qui père la tête de manière stupide et dont l'effet est assez fun.
Bon, une fois n’est pas coutume je fais la critique de l’épisode 8 avant l’épisode 7, mais enfin, ce n’est pas si grave, vu que la saga ne se suit en vérité pas beaucoup. Surtout que le précédent film était singulier tout de même. Ici on se retrouve avec un nouvel épisode sans grande surprise. Au casting tout un lot d’acteur de soap-opera ou de série sentimentales qui viennent comme d’habitude dirai-je se faire dézinguer par le méchant tueur, toujours campé par Kane Hodder, qui, il faut bien le reconnaitre, est à mon sens celui qui a le mieux endossé le costume de Jason Voorhees, en lui donnant indéniablement plus de charisme et plus de prestance. On aura quand même l’attrait de voir Kelly Hu, dans un rôle sans grand volume cependant. Bon, pas de choses transcendante à ce niveau, mais les interprètes abattent quand même un boulot honorable, surtout Peter Mark Richman, dont le personnage assez original dans la saga vient donner un peu de piment. Le scénario se démarque relativement par les lieux abordés, mais finalement le système slasher reste le même, avec une succession de meurtres violents. Les sous-intrigues des personnages n’ont pas grand interêt et servent un peu à meubler les trous. Je note aussi qu’on retrouve un style plus sérieux, loin du ton semi-parodique ou du délire fantastique que l’on avait pu voir dans les trois épisodes précédents. Certes Jason est immortel, certes il y a quelques passages bizarres avec un Jason omnipotent, mais enfin, c’est moins délirant. Le rythme est bon, les meurtres sympathiques, globalement le divertissement reste assuré. Niveau visuel ce qui m’a séduit c’est le travail sur l’ambiance. Les précédents films n’étaient pas toujours des réussites sur ce point, important pourtant dans un film d’horreur, et cet épisode a fait un net effort. L’atmosphère crasseuse et poisseuse du Manhattan profond est soignée, et convient bien en fait à la fois au genre du film, mais aussi au contraste que cela fait avec les personnages, étudiants bien propres sur eux. C’est efficace, et cette impression plaisante est renforcée par des meurtres efficaces, variés, profitant d’une mise en scène qui sans être mémorable, reste correcte. Un peu dommage quand même qu’elle ne soigne pas assez les moments de tension avant les meurtres, ce qui fait que parfois on a un peu le sentiment d’être dans un train fantôme, mais avec un manque d’intensité. Enfin, c’est quand même bien sympa et la bande son ne démérite pas. Finalement cet épisode trouve un bel équilibre. Moins farfelu que les films justes antérieurs de la saga, il garde néanmoins un petit grain, et parvient dans un même temps à retrouver aussi l’efficacité brute et directe du premier film. Alors certes le fond est tout de même très léger, surtout après huit films, les acteurs ne font pas des miracles même s’ils restent appréciables, et la mise en scène est moyenne, mais cet épisode fait partie des bons de la série Vendredi 13. 3.5
Alors qu'il croupit au fond de Crystal Lake, Jason est ressuscité par une ancre de bateau, et embarque sur un navire qui se dirige vers New York. Avec une énorme incohérence dès les premières minutes (le petit lac de plaisance de Crystal Lake est subitement devenu un grand lac en liaison avec l'Atlantique !), les scénaristes de ce huitième volet montrent clairement qu'ils n'en ont plus rien à faire. Le titre nous vend un Jason qui débarque dans la Grosse Pomme, sauf qu'il passe le plus clair de son temps sur un bateau, à exterminer, une fois de plus, une bande de jeunes lubriques. Les situations et les personnages sont tellement ridicules qu'on s'approche de la parodie ratée, et la réalisation est digne d'un mauvais téléfilm, avec des acteurs de troisième zone. Sans parler d'un budget mince très visible. "Jason Takes Manhattan" ("Jason Takes a boat" aurait été un titre plus juste, mais moins vendeur...) est donc un navet de plus pour la franchise "Friday the 13th", qui semble tout aussi incoercible et molle que son tueur fétiche.
Après 7 chapitres à sévir près de Crystal Lake, Jason prend le large pour Manhattan, c'est du moins ce que l'on croit, mais à cause de la restriction budgétaire de la Paramount qui a ensuite vendu la franchise, le réalisateur a du revoir entièrement ses plans voilà pourquoi le film se déroule en grande partie sur le bateau. Ce 8e volet fait partie des moins bons, il est extrêmement poussif, il n'y a rien de bon à garder, il est même terriblement ennuyeux malgré le changement de décor.
Ce huitième opus de la saga "Vendredi 13", réalisé par Rob Hedden et sorti en 1989, n'est pas mal mais sans plus. Pourtant, j'étais très fan de cet épisode lorsque j'ai découvert la saga pour la première fois. Je le trouvai en effet fun et qu'il sortait enfin des sentiers battus. Eh oui, cette fois, nous ne sommes plus à Crystal Lake (ou seulement durant les dix premières minutes de l'introduction) mais sur un bateau et ensuite à New-York. Le film a en effet la particularité de se diviser en deux parties bien distinctes l'une de l'autre, d'où sa longueur relativement exceptionnelle pour un slasher de ce genre d'ailleurs. Seulement, je ne me souvenais vraiment que de la partie à New-York, trouvant marrant le fait de voir Jason en pleine ville, ce qui est plutôt déroutant ! Eh oui, les producteurs ont apparemment pensé que Jason pouvait porter à lui seul tout l'ADN de la saga alors que force est de constater que le décor a également une importance cruciale ! Non pas que cet opus soit mauvais, en tout cas pas aussi mauvais que certaines critiques le disent, mais il a en tout cas perdu de ce qui faisait partie de l'essence même de la franchise, comme si cet épisode était finalement un peu à part. Surtout que toute la première partie sur le bateau est un peu longue et New-York n'est finalement un décor que très peu utilisé, ce qui est bien dommage ! Surtout que la première partie sur le bateau amène certaines incohérences et facilités narratives : à peine sortis du bateau, Jason parvient à retrouver tous les personnages dans New-York (qui se sont séparés d'ailleurs, sans aucune raison valable), ville tout de même assez grande ! Enfin, malgré tout, le film reste tout de même assez divertissant et puis j'ai plutôt apprécié la certaine critique de New-York, de son côté sinistre et malfamé (enfin, ça ne reste qu'une vision de la ville !). "Vendredi 13 - Chapitre 8 : L'Ultime Retour" est donc loin d'être le meilleur de la saga mais reste tout de même assez divertissant !
Un ultime retour bien poussif. Surtout il passe à côté d une bonne idée à savoir sortir Jason de son lac (qui est devenu un fleuve pour arranger le scénariste) pour l envoyer dans une mégalopole. Seulement déjà le concept est mensonger puisque les trois quarts du film se passent sur un bateau et une fois dans la grosse pomme Jason poursuit les deux ados de service alors qu on aurait pût avoir un massacre bien jouissif. Bref un coup manqué dans cette série qui a un peu trop duré seul une vision d un New York crade et en pleine déliquescence est intéressante.
Le changement de décor, d'abord promesse d'originalité et de nouveauté, n'est en fait qu'une toile de fond prétexte à un énième slasher stupide et aux personnages affligeants de vide et d’inintérêt.
Et de 8 ! Je me refais doucement mais surement cette série mythique de Jason Voorhes. On avait baissé en qualité et la série s essoufflait depuis le 4 eme et la le fait d avoir transposé les scènes de meurtres sur le new york des années 80 relance la série. Un bon moment pas un grand
Déjà pour commencer je suis un très grand fan de la série des vendredis 13 , dans cette opus on peut signaler la très bonne bande son (dont the darkest side the night de Metropolis) l'alternance de deux lieux se qui est rare dans la série et le nombre toujours impressionnant de victime et de façon de tuer le seul point négatif reste la fin que je vous laisse découvrir et qui ma beaucoup déçu après c' est du slasher movie façon vendredis 13 on aime ou on déteste moi j'aime