Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Pourquoi (pas) le Brésil est un malicieux making of en abyme, l'évocation des affres d'une réalisatrice qui se bat avec ses financiers, ses acteurs, ses doutes. (...) un film d'une drôlerie extrême (...) Le cinéma français a besoin de films de ce culot !
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le plus beau film raté du monde. (...) un film scandé où l'on ne s'ennuie pas une seule seconde (...) le meilleur film de Laetitia Masson, sans conteste. Jamais on n'aura vu un film sur la dépression plus juste, plus clinique, plus masochiste jusque dans sa laideur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Avec Pourquoi (pas) le Brésil ?, la réalisatrice brouille les frontières entre réalité et fiction, jusqu'à en faire le sujet même de son film. (...) au-delà du livre, on touche au sublime.
Positif
par Yann Tobin
Laetitia Masson se filme elle-même et se met en scène dans tous les avatars de l'artiste bloquée. (...) C'est sincère, beau, émouvant, libre, riche de sens.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Michaël Melinard
L'intérêt de ce film (...) tient plutôt dans les interrogations sur l'art en général et le cinéma et la littérature en particulier. (...) Car Laetitia Masson cherche. Certes, elle donne parfois le sentiment de se perdre en route ou plus exactement de nous laisser sur le chemin, enfermée dans sa logique " émotionnelle " qui apparaît par moments insondable, mais elle n'en livre pas moins une oeuvre riche dans laquelle elle ne craint pas de se mettre en danger.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
par Olivier de Bruyn
Avec audace, humour et une sensibilité aiguë, la cinéaste Masson examine des tas de trucs qui passionnent (...) Le tout redoublé d'un jeu schizophrène et captivant puisque les comédiens principaux (Zylberstein et Barbé) batifolent dans plusieurs rôles et en côtoient d'autres (Auteuil, Arditi, Huster), parfois dans leur propre peau, parfois non.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Voilà un curieux objet cinématographique. (...) au final autoportrait touchant d'une réalisatrice en crise, interrogation féconde sur le prossessus créatif et aussi, tout de même, adaptation très personnelle du roman de Christine Angot.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
(...) la triple épaisseur, susceptible de donner un peu de jeu à la liste des names en jouant sur les écarts d'incarnation, se résorbe en une plate équivalence (...) Quoi qu'il en soit, ce sont bien deux vrais moments qu'on retiendra de Pourquoi (pas) le Brésil. Daniel Auteuil en personne, dubitatif devant le rôle de Rozynès qu'on lui propose. Francis Huster monologuant au volant de sa vraie voiture.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Isabelle Potel
C'est l'un des charmes du film de mixer les identités vraies et fausses, de passer de la vraie Masson et de la vraie Angot à la fausse Masson et à la fausse Angot, jouées par la même (Elsa Zylberstein, idoinement boudeuse) (...) A mi-chemin, le film se glisse (...) avec facilité dans ce qu'il prétendait vouloir éviter, une simple illustration du bouquin (...)
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Laetitia (...) puisque ta démarche n'est pas éloignée de celle de Lagaf', et pour surfer sur la vague du pitre, ton banquier s'interroge : "Pourquoi (pas) le Bigdil ?" eût été un meilleur titre, non ?
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Ça pourrait être intrigant, c'est curieusement attendu, vieille recette " auteuriste " mal dosée, feindre l'impossibilité de faire un film, mais le faire quand même, influence Godard mal digérée. Laetitia Masson a une façon désarmante de se jeter tête la première dans l'autofiction, ce nouveau genre vedette de la littérature contemporaine. On la jurerait trop naïve, trop admirative de ses fausses audaces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Pourquoi (pas) le Brésil est un malicieux making of en abyme, l'évocation des affres d'une réalisatrice qui se bat avec ses financiers, ses acteurs, ses doutes. (...) un film d'une drôlerie extrême (...) Le cinéma français a besoin de films de ce culot !
Les Inrockuptibles
Le plus beau film raté du monde. (...) un film scandé où l'on ne s'ennuie pas une seule seconde (...) le meilleur film de Laetitia Masson, sans conteste. Jamais on n'aura vu un film sur la dépression plus juste, plus clinique, plus masochiste jusque dans sa laideur.
MCinéma.com
Avec Pourquoi (pas) le Brésil ?, la réalisatrice brouille les frontières entre réalité et fiction, jusqu'à en faire le sujet même de son film. (...) au-delà du livre, on touche au sublime.
Positif
Laetitia Masson se filme elle-même et se met en scène dans tous les avatars de l'artiste bloquée. (...) C'est sincère, beau, émouvant, libre, riche de sens.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
L'intérêt de ce film (...) tient plutôt dans les interrogations sur l'art en général et le cinéma et la littérature en particulier. (...) Car Laetitia Masson cherche. Certes, elle donne parfois le sentiment de se perdre en route ou plus exactement de nous laisser sur le chemin, enfermée dans sa logique " émotionnelle " qui apparaît par moments insondable, mais elle n'en livre pas moins une oeuvre riche dans laquelle elle ne craint pas de se mettre en danger.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Première
Avec audace, humour et une sensibilité aiguë, la cinéaste Masson examine des tas de trucs qui passionnent (...) Le tout redoublé d'un jeu schizophrène et captivant puisque les comédiens principaux (Zylberstein et Barbé) batifolent dans plusieurs rôles et en côtoient d'autres (Auteuil, Arditi, Huster), parfois dans leur propre peau, parfois non.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Voilà un curieux objet cinématographique. (...) au final autoportrait touchant d'une réalisatrice en crise, interrogation féconde sur le prossessus créatif et aussi, tout de même, adaptation très personnelle du roman de Christine Angot.
Cahiers du Cinéma
(...) la triple épaisseur, susceptible de donner un peu de jeu à la liste des names en jouant sur les écarts d'incarnation, se résorbe en une plate équivalence (...) Quoi qu'il en soit, ce sont bien deux vrais moments qu'on retiendra de Pourquoi (pas) le Brésil. Daniel Auteuil en personne, dubitatif devant le rôle de Rozynès qu'on lui propose. Francis Huster monologuant au volant de sa vraie voiture.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
C'est l'un des charmes du film de mixer les identités vraies et fausses, de passer de la vraie Masson et de la vraie Angot à la fausse Masson et à la fausse Angot, jouées par la même (Elsa Zylberstein, idoinement boudeuse) (...) A mi-chemin, le film se glisse (...) avec facilité dans ce qu'il prétendait vouloir éviter, une simple illustration du bouquin (...)
Chronic'art.com
Laetitia (...) puisque ta démarche n'est pas éloignée de celle de Lagaf', et pour surfer sur la vague du pitre, ton banquier s'interroge : "Pourquoi (pas) le Bigdil ?" eût été un meilleur titre, non ?
Télérama
Ça pourrait être intrigant, c'est curieusement attendu, vieille recette " auteuriste " mal dosée, feindre l'impossibilité de faire un film, mais le faire quand même, influence Godard mal digérée. Laetitia Masson a une façon désarmante de se jeter tête la première dans l'autofiction, ce nouveau genre vedette de la littérature contemporaine. On la jurerait trop naïve, trop admirative de ses fausses audaces.