Mon compte
    Kingdom of Heaven
    Note moyenne
    3,5
    24036 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Kingdom of Heaven ?

    899 critiques spectateurs

    5
    215 critiques
    4
    287 critiques
    3
    142 critiques
    2
    147 critiques
    1
    79 critiques
    0
    29 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Vive la révolution
    Vive la révolution

    30 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 août 2022
    3,5 ?! Incompréhensible !
    Fresque historique impeccable avec ça part d'histoire vrai.
    Photographie et décor superbe.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    178 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 juin 2022
    par le réalisateur de gladiator et de blade runner Il se déroule à la fin du xiie siècle, un peu avant la troisième croisade, et narre l'ascension d'un forgeron bâtard d'un grand seigneur qui part pour la Terre sainte et finit par défendre Jérusalem contre Saladin, histoire romancée de Balian d’Ibelin Le tournage du film s'est déroulé en Espagne et au Maroc
    Kingdom of Heaven ou Le Royaume des cieux William Monahan rencontre Ridley Scott pour lui proposer le scénario de Tripoli, un projet de film qui se déroulerait en 1805 ayant pour contexte historique la guerre de Tripoli.
    Orlando Bloom se voit proposer de jouer le rôle principal du film alors qu'il vient de terminer le tournage de Troie
    Edward Norton suggère que son nom n'apparaisse pas au générique pour que le public puisse essayer de deviner qui joue le rôle du roi Baudouin Le tournage commence en janvier 2004 et dure six mois. Il a d'abord lieu en Espagne avant de se déplacer au Maroc. Les scènes se déroulant au village natal de Balian sont tournées à Loarre, dans les Pyrénées, celles de l'hôpital de Messine et de la résidence de Balian à Jérusalem à Palma del Río, celles du palais du roi Baudouin à Séville (à l'Alcazar et à la Casa de Pilatos), les extérieurs de Messine sur les remparts d'Essaouira, et les plans larges de Jérusalem à Aït-Ben-Haddou, avec l'architecture de la ville en arrière-plan ajoutée avec le procédé de matte painting4. Le tournage du siège de Jérusalem, près de Ouarzazate et des studios de l'Atlas où sont filmés les intérieurs, prend presque deux mois et requiert environ 1 800 figurants (dont de nombreux soldats de l'armée marocaine mis à disposition par le roi Mohammed V Le logiciel MASSIVE est largement utilisé pour les scènes de combats de masse
    Le design du film s'inspire des œuvres des peintres orientalistes, notamment Jean-Léon Gérôme peintre vésulien , de Gustave Doré, et des salles des Croisades du château de Versailles
    le film est encore bien meilleur en version longue
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 juin 2022
    5 ans après Gladiator, Ridley Scott reprend le thème du péplum avec pour moi moins de succès. Film moyen.
    Jbboussarie
    Jbboussarie

    6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Quel ennui ! Encore un énième film du genre, avec encore et encore des choses piquées au cultissime Lord of the rings, le génie en moins. Des longueurs interminables, dialogues affligeants, hémoglobine à outrance, personnages souvent caricaturaux.
    Franchement où est l'intérêt de rester 3 heures devant ça ?
    Matthieu PHILIPPE
    Matthieu PHILIPPE

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 mai 2022
    pas d'intérêt, juste un film idéologique. il partage seulement une idée de tolérance religieuse et donne une vision biaisée de la chrétienté
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    7 abonnés 548 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2022
    Le chef-d’œuvre de Ridley Scott. Après Les Duellistes (1977) et Blade Runner (1982). Il était temps. Il n'y avait pas de réussite dans ses films historiques depuis Les Duellistes. Et ce malgré de multiples tentatives: Les Duellistes (1977) donc, mais aussi 1492 Christophe Colomb (1992, film gore refoulé), Gladiator (2000, dont la seule empreinte mémorielle est d'avoir lancé Russell Crowe), Robin des Bois (2010, qui a permis de réévaluer positivement celui de Kevin Costner), jusqu'au récent Exodus : Gods and Kings (2014, massacré par Christian Bale).
    Nous y retrouvons son talent de créateur d'univers. Ici au service d'un arrière-plan historique parfaitement romancé par William Monahan.
    Cette version director's cut est par bien des aspects la version de référence et bien plus intéressante que le montage cinéma. Le prologue jusqu'à Messine est indispensable et donne un socle fondamental au scénario et aux drames qui arrivent. La sous-intrigue avec le fils de Sybille donne un éclairage nouveau sur son personnage. Bref, le montage cinéma est à fuir.
    Le film est une parfaite romance, c'est-à-dire un roman de chevalerie. Romance dans la relation de Balian (Orlando Bloom) avec Sybille (Eva Green). Mais aussi romance dans sa relation à ses hommes, dans sa relation avec Saladin (Ghassan Massoud, personnage presque principal du film), dans sa relation avec le Roi de Jérusalem (très beau personnage d'Edward Norton), dans sa relation avec L'Hospitalier (David Thewlis). Il est probable qu'il contienne des approximations historiques. Mais Il reste néanmoins passionnant de bout en bout. Et ceci principalement grâce à ces romances et les thématiques qu'il aborde ou effleure, mais essentielles à la narration. Même si le film contient ce qu'il faut de séquences spectaculaires et de violences, le film n'est pas là, mais bien dans ses multiples personnages et sous intrigues.
    Il s'agit donc d'un impressionnant et beau travail de scénario où chaque personnage secondaire existe, est caractérisé, et contribue au chemin initiatique d'Orlando Bloom. Dont le jeu rentré fait mouche, pour une fois. Le tout est emballé dans un ensemble de production values que Ridley Scott et son équipe maitrisent parfaitement où sciences et consciences cohabitent parfaitement.
    Samy 2
    Samy 2

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2022
    Un film historique, retraçant quasiment à la perfection l'histoire des croisades. Kingdom of Heaven est un film qui démontre très bien les questionnements et les réflexions qu'on amené la guerre des religions. Une bataille pour Dieu, ou une bataille d'intérêt. Je conseille ce film qui sort des sentiers battus, des films habituelles retraçant cette période de l'histoire que nous avons trop vu.
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2022
    Il ne s'agit pas de son meilleur film mais on retrouve tout de même le talent et le savoir-faire de Ridley Scott pour les fresques historiques. Ici le réalisateur s'attaque aux croisades et à la bataille de Jérusalem avec force et ambition.
    AdriBrody
    AdriBrody

    9 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2021
    Ridley Scott manie l'art de filmer les combats, sans nul doute. Les personnages sont bien écrits, mais le film se fait long. Malgré les bonnes interprétations, les beaux combats et les belles images, le rythme se fait lourd et il devient difficile de suivre, plus on avance dans l'histoire. Un film avec du potentiel qui raconte une histoire intéressante, mais qui se perd dans des détails inutiles.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    31 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2021
    Pour commencer je vous conseil vivement de voir la version longue qui est 100× plus complète que sa version cinéma. Vous allez me dire que c'est le but, mais j'ai rarement vu une telle différence entre version cinéma et longue. (Quasi) Toutes les incohérences partent en poussière, tout est expliqué, avec plus ou moins de cohérence et de réussite mais au moins c'est fait. Et ça aide vraiment à se ne rester focalisé sur des détails qui auraient pu être balayés si quelques scènes n'avaient pas été coupées en début de métrage. C'est d'ailleurs assez incompréhensible. Et puis au fur et à mesure du visionnage on se rend compte que ce sont littéralement des arcs narratifs complet qui sont snobés dans la version cinéma. Bref c'est pour moi indispensable de regarder la Director's cut trouvable très facilement.
    Une fois cela dit, je voudrais quand même revenir sur certains points. A commencer par la qualité visuelle. C'est du Ridley Scott dont forcément c'est très beau la plupart du temps. Je dis la plupart du temps car je n'ai pas été totalement satisfait par la bataille finale. Les enjeux m'ont aussi un peu dérangé, souvent je me disais "tout ça pour ca". Je ne sais pas si ces événements se sont toujours déroulés comme ce qui est montré, cela m'étonnerait je l'avou, mais je ne peux pas réellement jugé n'étant pas du tout un expert sur la question.
    On peut aussi constater que les religions se font un peu tapées dessus , mais sans parti pris, et ça c'est top. Ridley en a l'habitude lui qui se revendique haut et fort athée. Il n'y a pas grand chose d'autre me gêne. Dans l'ensemble j'ai passé un agréable moment, c'était une histoire sûrement avec pas mal de réécritures mais très prenantes malgré un ventre mou. Je pense que l'on aurait vraiment pu faire un film de 2h30, mais pas avec les mêmes scènes que la version cinéma. Mais franchement ce n'est pas dérangeant. On ne voit pas passer les 3 heures malgré quelques défauts, c'est un pur plaisir sans être un très grand film.
    Alain Lanteri
    Alain Lanteri

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Beau film par la bonne distribution et la très la très bonne interprétation des acteurs et le scénario historique
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2021
    Kingdom of Heaven est un film exceptionnellement mauvais il est ennuyeux il est prêcheur et il est révisionniste. En l'absence d'un protagoniste ayant un but et une direction l'histoire erre d'un événement sanglant à un autre jusqu'à ce que Balian le personnage d'Orlando Bloom se rende compte qu'il est le défenseur de Jérusalem pour un temps. Puis il se rend compte qu'il ne peut pas défendre Jérusalem et abandonne. Puisque Ridley Scott ne veut manifestement pas blâmer quoi que ce soit qui ressemble au Christianisme moderne ou à l'Islam moderne pour le pillage et la mise à sac qui ont défini la lutte médiévale pour la possession de la Terre Sainte il fait des Templiers les méchants. N'oublions pas que les Templiers n'existent plus a cette époque car l'Église s'est assurée qu'ils sont une proie idéale. Balian lui-même et tous les autres croisés ne prétendent jamais se battre au nom de la religion en fait ils sont si éclairés qu'ils affirment que la religion ne devrait avoir aucune incidence sur la question de la propriété de Jérusalem. Jérusalem appartient à tout le monde proclame le film de manière moralisatrice encore et encore comme si Ridley Scott n'était pas seulement un réalisateur mais aussi un conseiller de Dieu lui-même. Il y a tellement d'autres choses qui sont mauvaises comme l'histoire d'amour qui est totalement peu convaincante les relations confuses entre une myriade de personnages peu développés que je préfère essayer de les effacer de ma mémoire plutôt que de les analyser davantage...
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    158 abonnés 986 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2021
    5 ans après Gladiator, Ridley Scott sort Kingdom of Heaven, nouveau film grand spectacle historique, cette fois-ci sur les croisades du XIIe siècle. C'est loin d'être le meilleur film du réalisateur car trop lent, une intrigue principale intéressante mais qui met du temps à démarrer aussi et des personnages principaux qui manquent d'épaisseur et d'évolution, notamment dans leur relations. Pour autant, le spectacle est bel et bien là, la musique, sans être du Hans Zimmer, accompagne très bien les scènes à la photographie magnifique. Encore du très grand Scott dans la réalisation ! La précision historique y est, les décors et costumes aussi et je trouve Orlando Bloom (1 de ses meilleurs rôles) et Eva Green tout à fait corrects. Du vrai divertissement mais qui aurait pu être raccourci ! La grande réussite du film est sa bataille finale à Jérusalem. On peut faire aisément le parallèle avec la bataille de Meanas Tirith dans Le Seigneur des Anneaux 3. Durant presque 45min, elle est magnifiquement réalisée par Ridley Scott, avec tout ce qu'il y a d'épique et de tension. En plus, elle ne se positionne pas dans une lecture manichéenne (type: "les musulmans c'est les méchants"). Du grand spectacle qui fait de Kingdom of Heaven un bon film !
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 avril 2021
    Kingdom of Heaven s’ouvre en hiver et se clôt sur la reverdie, dans un même lieu, soit la forge de Balian (interprété par Orlando Bloom) que le voyage en Terre sainte soulagera de son douloureux veuvage ainsi que de son sentiment de culpabilité initial. C’est dire que la croisade sert une trajectoire identitaire et spirituelle qui, au lieu de conforter le christianisme revendiqué par les étendards, orchestre le match nul des religions. Jérusalem apparaît comme une mémoire architecturale qui tire sa sacralité des différentes couches de cultes et de cultures que couvre son sol : ce n’est pas un hasard si l’arrivée de Balian dans le domaine de son père déclenche l’irrigation de la terre sèche, tel un sang venu ressusciter les strates du passé. Ridley Scott sépare ainsi la spiritualité, matière de l’esprit et du cœur, accessible à chacun – il faut « un royaume de la conscience ou ce n’est rien » –, de la propriété foncière qu’il s’agit de défendre comme un bien de consommation. « Sur cette terre, aucun n’est légitime, tous le sont », s’écrient Ibelin puis, un sourire aux lèvres, Saladin ; les deux adversaires communient dans la spiritualité, tous deux chefs de guerre raisonnés et modérés. Une fois encore, le cinéaste peint la religion institutionnalisée à la manière d’un corps lâche, dégénéré et hypocrite qui s’aveugle à la lumière de sa propre puissance, puissance qui n’est que chimère tant elle résulte de la conjonction de paramètres et de l’application de lois humaines ineptes. Scott compose une série de grotesques : Renaud de Châtillon (Brendan Gleeson) et Guy de Lusignan (Marton Csokas) sont des brutes assoiffées de combats, desquels ils tirent leur prestige et leurs titres. Leur monstruosité s’avère explicitée par Renaud qui, spectateur d’un massacre qu’il vient d’ordonner, dit « je suis ce que je suis, je fais ce pour quoi je suis fait ». Ce propos est digne d’intérêt en ce qu’il défend une logique condamnée par le cinéaste par le biais de Balian : la logique chimérique d’une transcendance divine, prétexte qu’utilisent les hommes pour détruire et assouvir leurs passions. À cette logique erronée, il en oppose une autre, existentialiste, qui veut que « l’existence précède l’essence » et rende l’individu seul responsable de ses actes, comme l’exprime le chevalier à la fin du film (« je suis le seul gardien de mon âme ») et comme l’exprimait déjà Imad avant l’ultime bataille (« ce qu’on sème, on le récolte »). Seul l’existentialisme permet d’accéder, selon Scott, à la vérité, terme qui revient dans nombre de ses œuvres et qui s’applique constamment à la défense des plus faibles, à la prise en charge des plus démunis : l’infirmière de Body of Lies, les cultivateurs de Robin Hood, les frères d’arme sous le feu de l’ennemi dans Black Hawk Down. Il n’y a donc pas de « chemin vers le Ciel », promis au début contre l’extermination des païens – « tuer les infidèles n’est pas un meurtre mais un chemin vers le ciel » – , sinon un chemin creusé le long des bosquets qu’emprunte à terme le couple raccordé à la simplicité de la terre et du travail. La reine, comme toujours chez Scott, a été sacrifiée sur le plateau de l’échiquier : elle a laissé sa couronne et sa fausse supériorité pour vivre aux côtés d’un maître véritable, un « maître-forgeron ». Un immense long métrage, magistralement mis en scène par Ridley Scott.
    nuria92
    nuria92

    3 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mars 2021
    la précédente version de ma critique a été 'modérée' - je confirme que ce qui suit n'est que mon avis sur ce film en particulier: Une bouse qui se prend au sérieux, voilà ce que j'ai pensé de ce film. je m'attendais à de la bonne action, et ben non, rien de rien, surjoué? mauvaise réal? mauvais scérario? mauvais montage? je ne sais pas.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top