Avis : Dark Water - Page 5

J'ai beaucoup aimé ce film, même si ce n'est pas vraiment à cela que je m'attendais. Je m'attendais à un film qui m'aurait fait peur, mais pas du tout. Attention, je ne veux pas dire par la que ce film est dénué de sens ou quelque chose dans le genre non pas du tout. L'histoire est très bien, très profonde et parfois même un peu tordue, comme je les aime...

jennifer Connelly a un magnifique rôle, celui d'une maman qui déménage avec sa fille et qui se retrouve en quelque sorte emprisonnée dans un monde plus ou moins imaginaire. Seules sa fille et elle sont capable de le voir...

Ne vaut pas l'original certes mais Jennifer Connelly et le final sauvent les meubles. l'erreur impardonnable est surtout d'avoir grillé les meilleurs pistes en 15 minutes ( le réservoir au sommet de l'immeuble et surtout le sac ne fait plus peur) Un trop plein de personnagfes qui tourant en rond malgré un Tim Roth génial en honnête taximan avocat à la vie sociale désastreuse. La scène de la laverie est pas trop mal mais est plombé par THE personnages inutile que sont "les deux gamins adolescensts qui font des bétises et qui reluque la jolie madame" et le fait d'avoir rationnalisé l'aspect humain de la petite natacha et en lui donnant autant d'épaisseur que les traumas de dahlia est bien essayé mais l'essai n'est pas marqué. Mitsuko et son .... je reste poli, de sac Mimiko reste indétrônable pour moi.

pourquoi les américains refont ils tjs des remakes? ce n'est décidément jamais à la hauteur de l'original!

Ceux qui le trouve nul, comment pouvez vous aimez l'original qui est pire ? je ne le trouve pas si mauvais que ça après pas le film de l'année non plus mais mieux que la version jap

Je m'attendais à un film angoissant mais au final c'est juste une histoire d'esprit. Déception

Après avoir vu à la fois l'original japonais de Hideo Nakataet et le remake de Walter Salles. Je trouve que le remake était la meilleure chose qui puisse arriver à cette histoire. Salles reprend l'histoire originale sans en faire juste une copie. Il comble les lacunes (et il y en avait beaucoup), corrige beaucoup de petits défauts et ajoute la crédibilité qui manquait dans l'original. L'original était en partie un film d'horreur très pauvre. Comportement prévisible, retournements prévus, mystère forcé, les problèmes habituels que j'ai avec tant de films d'horreur. Le film se terminait en drame familial avec une fin heureuse bizarre. Donc le bonheur s’immisçait dans l'histoire d'horreur et la dégradait encore. Salles va encore plus loin ici en ne réalisant pas un simple film d'horreur. Il fait plutôt un film stressant. Le stress de la vie quotidienne dans une situation difficile. Un divorce récent, des combats pour la garde de l'enfant. Un appartement pas cher et bruyant avec un plafond mouillé, des ennuis à l'école, aucun contact avec les voisins, les gardiens et les gestionnaires négligents. C'est un contexte alimenté par des problèmes très réels auxquels les gens sont confrontés chaque jour. L'atmosphère très dense et l'excellent jeu de Jennifer Connelly vous font ressentir ce stress. Que demander de plus, un film fortement recommandé...

Un remake en dessous de son prédécesseur asiatique. Ca sent le réchauffé un peu moisi.. dommage..

Un film vraiment flippant a faire detester la pluie et l'eau des canalisations. Entre thriller paranormal et film d'angoisse, on est en haleine du debut a la fin et on entre dans l'univers et la tete de l'heroine. Jennifer Connelly est tout simplement eblouissante et elle porte le film tout du long.

J'ai bien apprécié celui-là! Surtout grâce à J. Connelly! Comme souvent il paraît que l'original est encore meilleur, je le verrai donc dès que j'en aurai l'occasion! Celui-ci est déjà très recommandable!

Un bon scénario et un cadre attachant, cependant Dark Water n'offre absolument rien de nouveau ou d'étonnant, et perd toute chance de rattrapage en angoissant aussi peu (malgré la présence des éléments horrifiants des films d'épouvante japonais : l'eau, les cheveux de femme, la solitude)

Effectivement , ça prend l'eau de partout. Remake inutile et chiant à mourir , malgré la présence de Jennifer Connely. Nul.

2sur5 Un an après l'assourdissant de bêtise Carnets de Voyage, Walter Salles décrochait son ticket pour Hollywood. Chargé du remake du Dark Water de Nakata (auteur du phénomène et phénoménalement surcôté Ring), il livre une copie presque conforme mais ou le fantastique insidieux n'a que peu sa place. A vrai dire, cette seconde version échoue à instaurer un climat purement ''fantastique''. Pas si grave, d'autant que l'original était loin de se résoudre à appliquer consciencieusement les codes du genre. Dark Water le remake marque des points ailleurs ; le trouble vient de l'habileté de Selles à filmer le contexte de misère latente et de désiociabilisation dans lequel baignent ses deux protagonistes. A l'instar du chef-d'oeuvre de Nakata, c'est d'abord un récit profondément humain. L'histoire personnelle de la mère gagne même en complexité. Mais si le film est plutôt plaisant, il frustre tout autant. A mille lieux des tourments du tragique et poignant Central do Brasil, Dark Water revêt sans cesse la forme d'un film de commande, carré, un peu trop propre sur lui et sans aspérités. Du coup, les performances des deux actrices principales (Jennifer Connelly et sa petite fille de fiction) sont bien les seuls remparts d'humanité de ce bloc de virtuosité sans doute un peu trop soucieux de refléter parfaitement la rigidité cadavérique de l'univers décrit. Il manque un souffle, une âme à cette mécanique sèche et rôdée.

S’il est loin d ‘égaler l’original, ce remake n’est pas pour autant déshonorant. Walter Salles conserve la trame mélodramatique et sociale du film de Nakata, l’angoisse naît plus des galères de cette pauvre femme, sa vie prenant littéralement l’eau de toute part, que des effets d’épouvante plus ou moins galvaudés. De plus, l’action se déroule à Roosevelt Island, en bordure de Manhattan, quartier délabré et lugubre assez inquiétant en sois, Walter Saller tire d’ailleurs toutes les possibilités de ce décor impressionnant. Quant à Jennifer Connely, elle joue à merveille les personnages de paumé un brin borderline. Les amateurs de fantôme et de frisson bon marché risquent par contre d’être déçus.

Walter Salles ou comment faire un énorme plantage en passant au film de genre.
Je mets une étoile pour la présence de Jennifer Conelly qu'on regarde pendant deux heures toujours un peu fascinés mais c'est tout...
Le film est raté, pour cause de scénario bidon.
On sait que les Japonais parviennent à nous faire trembler avec un scénario qui tient en une page mais côté américain l'exercice est plus risqué.
Là nous avons droit à ce que j'appelerai une introduction pendant près d'une heure et quart puis un développement en 5 minutes et une fin qui n'en finit jamais. Donc au final, on se dit tout ça pour ça! Même pas peur en plus...

Un film oppressant, angoissant, interprété par de bons acteurs (surtout Jennifer Connelly) avec une ambiance si glauque qu'on en ressort avec l'estomac noué... C'est le but même d'un film d'horreur non ? On peut donc dire : travail accompli ! A voir.