Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Ferreira-Barbosa tient sans faillir tous les difficiles dosages qu'elle s'impose : maintenir un suspens (...) sans en faire l'unique vecteur de la narration ; continuer le portrait du monde du cinéma tout en se prévenant de la caricature (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Comme dans le roman de Donald Westlake, Laurence Ferreira Barbosa oppose subtilement l'homme de la rue, une sorte de brave type fidèle à ses valeurs (Roschdy Zem y est parfait, avec son flegme habituel) et la fille ordinaire qui se transfigure pour conjurer son passé, tuer le rôle (et le physique) que la société, l'hérédité, lui avaient imposé de naissance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) une satire légère du milieu du cinéma, parfois assez drôle, parfois trop caricaturale. Reste la performance de Roschdy Zem, tout en sobriété et nonchalance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Ferreira Barbosa, pour sa première adaptation, n'a pas choisi la facilité. En renonçant à la connotation hollywoodienne du roman de Westlake, elle prive courageusement son film d'un argument de charme qui avait tout du piège insoluble et le sauve de ce qu'on redoutait le plus pour ce chant des impossibles recommencements : une sauce guimauve à l'américaine.
MCinéma.com
par Camille Brun
Ordo, de Laurence Ferreira Barbosa, pourrait être un polar, où un personnage sombre, abîmé par la vie, s'interroge sur un possible vol d'identité. (...) elle mêle très habilement un humour décalé et irrésistible, à des éléments plus sombres d'une histoire d'amour tourmentée.
Positif
par Grégory Valens
Il y a dans ce récit d'un marin retrouvant son amour de jeunesse une fois celle-ci devenue star de cinéma plusieurs éléments qui, combinés, instaurent un charme certain, voire un climat fascinant. (...) Il est à souligner que nous sommes devant un film qui revendique ses origines littéraires sans que cela ne gêne un seul instant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
Laurence Fereira Barbosa aime les zones glissantes où la normalité zigzague et dévie. Sa légèreté apparente et son goût du dérèglement s'expriment ici au gré d'une mise en scène impassible et ironiquement glaciale qui rappelle certains films de Chabrol. (...) Malgré quelques temps morts, un film atypique et narquois qui séduit.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
"Ordo" tranche dans l'oeuvre de Laurence Fereira Barbosa. Moins cocasse sur le fond et plus classique sur la forme que ses précédents films, ce thriller psychologique, tendu à souhait, triture avec finesse la notion d'identité. Un changement de registre réussi.
L'Express
par Christophe Carrière et Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
D'ordinaire si douée à donner de la profondeur à ses personnages, y compris les secondaires, la cinéaste semble ici à peine les survoler. La lenteur du rythme hésitant n'en apparaît que plus pesante. Reste quelques moments de grâce où la caméra de la cinéaste retrouve tout son allant. On se contentera de ses éclairs.
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Télérama
par Jacques Morice
On a l'impression que la réalisatrice passe à côté de son sujet en cloisonnant les registres, en glissant vite sur le tumulte d'Ordo. Tout ce qui faisait le talent de la cinéaste, sa manière gracieuse d'avancer au bord du gouffre, de fusionner comédie et gravité, semble ici à l'état d'ébauche. Ordo reste néanmoins une parenthèse assez insolite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
(...) un film où on ne croit à rien, à aucun moment. Personnages creux, conflits convenus, références qui alourdissent le récit, acteurs médusés... Parfois, on se dit qu'il y a une distanciation humoristique. Parfois, on se dit que c'est simplement raté. Et on se demande ce qu'on est venu faire là.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
On pouvait attendre -espérer ?- qu'ainsi porté, comme son marin central, vers des sphères excédant son ordinaire, qu'ainsi adapté d'une pièce littéraire, le cinéma de Ferreira Barbosa enclenche une autre vitesse, élargisse son aire de jeu, se hisse à la case supérieure. Cette attente est déçue.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
Ferreira-Barbosa tient sans faillir tous les difficiles dosages qu'elle s'impose : maintenir un suspens (...) sans en faire l'unique vecteur de la narration ; continuer le portrait du monde du cinéma tout en se prévenant de la caricature (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Comme dans le roman de Donald Westlake, Laurence Ferreira Barbosa oppose subtilement l'homme de la rue, une sorte de brave type fidèle à ses valeurs (Roschdy Zem y est parfait, avec son flegme habituel) et la fille ordinaire qui se transfigure pour conjurer son passé, tuer le rôle (et le physique) que la société, l'hérédité, lui avaient imposé de naissance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
(...) une satire légère du milieu du cinéma, parfois assez drôle, parfois trop caricaturale. Reste la performance de Roschdy Zem, tout en sobriété et nonchalance.
Libération
Ferreira Barbosa, pour sa première adaptation, n'a pas choisi la facilité. En renonçant à la connotation hollywoodienne du roman de Westlake, elle prive courageusement son film d'un argument de charme qui avait tout du piège insoluble et le sauve de ce qu'on redoutait le plus pour ce chant des impossibles recommencements : une sauce guimauve à l'américaine.
MCinéma.com
Ordo, de Laurence Ferreira Barbosa, pourrait être un polar, où un personnage sombre, abîmé par la vie, s'interroge sur un possible vol d'identité. (...) elle mêle très habilement un humour décalé et irrésistible, à des éléments plus sombres d'une histoire d'amour tourmentée.
Positif
Il y a dans ce récit d'un marin retrouvant son amour de jeunesse une fois celle-ci devenue star de cinéma plusieurs éléments qui, combinés, instaurent un charme certain, voire un climat fascinant. (...) Il est à souligner que nous sommes devant un film qui revendique ses origines littéraires sans que cela ne gêne un seul instant.
Première
Laurence Fereira Barbosa aime les zones glissantes où la normalité zigzague et dévie. Sa légèreté apparente et son goût du dérèglement s'expriment ici au gré d'une mise en scène impassible et ironiquement glaciale qui rappelle certains films de Chabrol. (...) Malgré quelques temps morts, un film atypique et narquois qui séduit.
TéléCinéObs
"Ordo" tranche dans l'oeuvre de Laurence Fereira Barbosa. Moins cocasse sur le fond et plus classique sur la forme que ses précédents films, ce thriller psychologique, tendu à souhait, triture avec finesse la notion d'identité. Un changement de registre réussi.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
D'ordinaire si douée à donner de la profondeur à ses personnages, y compris les secondaires, la cinéaste semble ici à peine les survoler. La lenteur du rythme hésitant n'en apparaît que plus pesante. Reste quelques moments de grâce où la caméra de la cinéaste retrouve tout son allant. On se contentera de ses éclairs.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Télérama
On a l'impression que la réalisatrice passe à côté de son sujet en cloisonnant les registres, en glissant vite sur le tumulte d'Ordo. Tout ce qui faisait le talent de la cinéaste, sa manière gracieuse d'avancer au bord du gouffre, de fusionner comédie et gravité, semble ici à l'état d'ébauche. Ordo reste néanmoins une parenthèse assez insolite.
Aden
(...) un film où on ne croit à rien, à aucun moment. Personnages creux, conflits convenus, références qui alourdissent le récit, acteurs médusés... Parfois, on se dit qu'il y a une distanciation humoristique. Parfois, on se dit que c'est simplement raté. Et on se demande ce qu'on est venu faire là.
Cahiers du Cinéma
On pouvait attendre -espérer ?- qu'ainsi porté, comme son marin central, vers des sphères excédant son ordinaire, qu'ainsi adapté d'une pièce littéraire, le cinéma de Ferreira Barbosa enclenche une autre vitesse, élargisse son aire de jeu, se hisse à la case supérieure. Cette attente est déçue.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com