La Femme est l'avenir de l'homme : Critique presse
La Femme est l'avenir de l'homme
Note moyenne
4,0
14 titres de presse
Le Monde
Le Point
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Télérama
L'Humanité
Libération
Positif
Première
Zurban
Cahiers du Cinéma
Le Figaro
Le Figaroscope
The Hollywood Reporter
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(...) un film sans concessions, magnifiquement et douloureusement contemporain.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Sege Kaganski
Une sombre radiographie des relations ampureuses, rehaussée par l'épure lumineuse de la mise en scène et le regard honnête du cinéaste. Hong Sang-Soo est grand.
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Hong Sang-soo est un immense cinéaste, car ses films, c'est la première fois au cinéma que c'est aussi vrai et bête à dire : " c'est la vie ". (...) Un film d'Hong Sang-soo ne conclue rien, ne prétend rien. Il s'impose, immensément modeste. C'est nous, notre petite vie et tout ce qui nous fait réfléchir.
Télérama
par Louis Guichard
(...) le cinéaste a encore affiné son art de donner une résonance à l'infiniment petit, au détail fortuit. Il est vraiment le maître des microcouacs, alignés comme sur une mèche, jusqu'à la déflagration (...) Hong Sang-soo crée des moments et les juxtapose, dans une totale fraternité avec ses personnages/comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) l'auteur se livre à un portrait à l'acide des moeurs amoureuses en son pays, qui contraste avec la douce lumière qui le baigne (...) S'il porte sans conteste un regard critique sur le fait, Hong Sang-soo entend moins juger que tendre un miroir brut sur le réel.
Libération
par Philippe Azoury et Didier Péron
Le cinéaste se repose de moins en moins sur ses anciens trucs conceptuels (...) et peaufine sa science climatique, travaillant un espace aéré, limpide, trempé d'une lumière digne des peintres hyperréalistes, rendant intéressant pour l'oeil les éléments les plus médiocres du quotidien (...)
Positif
par Pierre Eisenreich
Le ton du cinquième long-métrage de Hong Sang-Soo évoque certaines premières oeuvres de Jean-Luc Godard ou de François Truffaut, mais s'inscrit davantage dans la dimension affective du Muriel d'Alain Resnais et de son titre complet : Ou le temps d'un retour. Hong Sang-soo prouve que son art s'affirme avec une concision et une délicatesse rares.
Première
par Olivier de Bruyn
Un cinéaste qui sait comme pas grand monde capter des sentiments essentiels dans des séquences qui répondent apparemment à la plus rigoureuse simplicité.
Zurban
par Addison de Witt
Hong Sangsoo (...) parvient (...) à un ton singulier, entre faux documentaire et comédie de moeurs, mêlé d'un onirisme tranquille, fait de petits décalages temporels et de ruptures incongrues. Fascinant, si l'on se laisse embarquer.
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Appelons cela un manque de chance, mais il n'a pas été possible à Hong Sang-soo de réussir son film à la fois comme unité autonome et comme étape d'un travail en construction. il semble qu'il soit arrivé à un point de son parcours (...) où le bénéfice de l'une exigeait le sacrifice de l'autre.
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Ce qui frappe, c'est le talent avec lequel le cinéaste, tout en faisant semblant de filmer le quotidien le plus ordinaire, avec néanmoins une utilisation de la lumière des plus sophistiquées, parvient à faire sentir ce sentiment d'immobilité et l'indécision de ses personnages. (...) Un travail d'auteur, même si ce n'est pas toujours franchement exaltant.
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
L'histoire enchaîne de laborieuses scènes de conversations statiques et répétitives (aucune n'étant vraiment brillante ou intéressante). Du point de vue de la composition, c'est tout aussi nul.
Le Monde
(...) un film sans concessions, magnifiquement et douloureusement contemporain.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Une sombre radiographie des relations ampureuses, rehaussée par l'épure lumineuse de la mise en scène et le regard honnête du cinéaste. Hong Sang-Soo est grand.
MCinéma.com
Hong Sang-soo est un immense cinéaste, car ses films, c'est la première fois au cinéma que c'est aussi vrai et bête à dire : " c'est la vie ". (...) Un film d'Hong Sang-soo ne conclue rien, ne prétend rien. Il s'impose, immensément modeste. C'est nous, notre petite vie et tout ce qui nous fait réfléchir.
Télérama
(...) le cinéaste a encore affiné son art de donner une résonance à l'infiniment petit, au détail fortuit. Il est vraiment le maître des microcouacs, alignés comme sur une mèche, jusqu'à la déflagration (...) Hong Sang-soo crée des moments et les juxtapose, dans une totale fraternité avec ses personnages/comédiens.
L'Humanité
(...) l'auteur se livre à un portrait à l'acide des moeurs amoureuses en son pays, qui contraste avec la douce lumière qui le baigne (...) S'il porte sans conteste un regard critique sur le fait, Hong Sang-soo entend moins juger que tendre un miroir brut sur le réel.
Libération
Le cinéaste se repose de moins en moins sur ses anciens trucs conceptuels (...) et peaufine sa science climatique, travaillant un espace aéré, limpide, trempé d'une lumière digne des peintres hyperréalistes, rendant intéressant pour l'oeil les éléments les plus médiocres du quotidien (...)
Positif
Le ton du cinquième long-métrage de Hong Sang-Soo évoque certaines premières oeuvres de Jean-Luc Godard ou de François Truffaut, mais s'inscrit davantage dans la dimension affective du Muriel d'Alain Resnais et de son titre complet : Ou le temps d'un retour. Hong Sang-soo prouve que son art s'affirme avec une concision et une délicatesse rares.
Première
Un cinéaste qui sait comme pas grand monde capter des sentiments essentiels dans des séquences qui répondent apparemment à la plus rigoureuse simplicité.
Zurban
Hong Sangsoo (...) parvient (...) à un ton singulier, entre faux documentaire et comédie de moeurs, mêlé d'un onirisme tranquille, fait de petits décalages temporels et de ruptures incongrues. Fascinant, si l'on se laisse embarquer.
Cahiers du Cinéma
Appelons cela un manque de chance, mais il n'a pas été possible à Hong Sang-soo de réussir son film à la fois comme unité autonome et comme étape d'un travail en construction. il semble qu'il soit arrivé à un point de son parcours (...) où le bénéfice de l'une exigeait le sacrifice de l'autre.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Ce qui frappe, c'est le talent avec lequel le cinéaste, tout en faisant semblant de filmer le quotidien le plus ordinaire, avec néanmoins une utilisation de la lumière des plus sophistiquées, parvient à faire sentir ce sentiment d'immobilité et l'indécision de ses personnages. (...) Un travail d'auteur, même si ce n'est pas toujours franchement exaltant.
The Hollywood Reporter
L'histoire enchaîne de laborieuses scènes de conversations statiques et répétitives (aucune n'étant vraiment brillante ou intéressante). Du point de vue de la composition, c'est tout aussi nul.