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Un visiteur
5,0
Publiée le 21 janvier 2009
C'est bien simple, ce film c'est du trash pur et dur! Un des rares m'ayant donné la nausée et pourtant je suis habitué au genre. Ce cinéastre hors norme a un véritable talent et mérite de se faire connaitre, l'histoire de ces trois générations est original et bien tournée. Je l'ai vu par simple curiosité et franchement je ne regrette pas. Il fait dorénavent partit de mes films cultes!
j'ai revu ce film et que dire, eh bien c'est vrai on se fais un peu chier pendant les deux tiers du film, mais après c'est du grand art!!! le personnage du petit fils est grandiose, un artiste magnifique et qui sais donner de sa personne, si Beaubourg présentait des ouvres comme les siennes j'irai plus souvent!!!
Wouah... J'ai bien du mal à comprendre toutes ses bonnes notes... Ce film découpé en trois partie est juste vide. Pas de lien évident entre les génération, entre les trois hommes. Les histoires sont inintéressantes surtout la première ; un homme aussi pervers et obsédé sexuel se branle tout azimut, pourquoi ?! Jamais on ne saura, même pas l'once d'un indice. serait-ce juste gratuit ?! Apparemment. Le reste du film est du même acabit, trois générations d'hommes psychopathes (à différents niveau), en tous cas très malades, dont on raconte la trsite et écoeurante vie. La laideur de ses hommes (aussi dans tous les sens du terme) n'a dégal que les décors et la photographie du film. Gratuit et sans but, à oublier.
C'est abject!!! Lamentable!!! Degeulasse!!! Car oui, c'est degueulasse!
Je pensais voir du degueulasse dans une histoire en allant le voir.... ça m'attirait beaucoup...Mais là j'ai decouvert qu'en fait c'etait de l'histoire dans du degeulasse...
J'ai vu du gore au cinema...même enormement mais là c'est franchement infect!!! J'en avais le bide retourné!!!
Trois histoires de trois générations d’une même famille. Celle du grand père, obsédé sexuel qui s’excite sur tout ce qui bouge et même qui ne bouge pas. Celle du père pratiquant la bouffe sportive. Et pour finir, celle du fils littéralement obsédé par la taxidermie. Des films cradingues, il y en a, tout le monde en a déjà vu au moins un, mais celui là, il est quand même incroyablement gratiné. Là, c’est du brut de décoffrage. Ça vous rentre dedans et comme il faut. Et pourtant, malgré un contenu que l’on va qualifier d’insolite, « Taxidermie » est un film incroyablement chiant. Une heure vingt-cinq de film durant laquelle on s’emmerde encore plus que copieusement. Passe encore la première histoire, celle du grand père qui parvient à être un peu accrocheuse. Mais les deux autres, nom de dieu quel ennui, c’est une parfaite alternative à la consommation de barbituriques. Et ce ne sont pas les nombreuses scènes chocs qui viendront extirper le spectateur de sa torpeur. Monter un mec qui plonge sa queue dans de l’eau glacée, ou un autre qui se dépèce, je vois pas l’intérêt s’il n’y a pas un truc à dire. Car c’est la question que je me pose: où a voulu en venir précisément le cinéaste? A une démonstration de la bassesse humaine? J’ose à peine y croire voyez-vous. Ou alors, deuxième solution, peut-être que « Taxidermie » véhicule un message subliminal, possède une portée symbolique et je suis trop abruti pour pouvoir capter tout ça. Allez savoir. En tout cas, j’ai pas accroché, je me suis bien ennuyé. Je n’ai que deux choses positives à dire sur ce film. Ça sort de l’ordinaire (faudrait être aveugle pour pas le voir !) et esthétiquement, c’est sacrément bien travaillé. Voilà les pourquoi du comment pour l’étoile accordée.
J'ai mis deux étoiles car ce film est fascinant et dégoutant, horrible et stupéfiant. Ca fait beaucoup d'adverbe, mais ce film les "mérite" : la première histoire nous fait voir un jeune idiot vivant dans la crasse et étant esclave de ses désirs charnels (et plus particulièrement avec un bougie)les images sont dures mais c'est du pipi de chat par rapport a ce qui suit. La deuxième histoire nous présente une catégorie de sportifs méconnus mais qui ont le mérite de se sacrifier pour leur sport : le concours de plus gros mangeur de gras : c'est horrible de les voir se détruire en ingurgitant de telles quantités et de se faire vomir après. Voyant cela, on se dit qu'il ne faut pas continuer à regarder, mais la force de ce film est là : la répugnance nous fait tenir et fianlement on continue (c'est le message du film). Le dernier ventail du triptique représente un concentré de haine de dégout et d'autodestruction mais le mieux est de le voir par soi meme. Ce film mérite 4 étoiles car il nous plonge dans un abime de cruauté et de malheur et les acteurs sont assez doués pour se rendre à la fois sympatiques et antipathiques. Ce film mérite 3 étoiles car l'histoire est bien construite et cette pauvre famille est marquée par la gigne, de plus les ambiances de chaque époques sont rendues de facons cohérentes et plaisantes. Ce film mérite 2 étoiles car les personnages sont à la limite de la sympathie est c'est dur de partager leur douleur, le rytme quoiqe soutenu donne mal à la tête. Ce film mérite 1 étoile car on est à la limite de la morale. Ce film mérite 0 étoile car les images sont trés dures et sont meme à la limite du soutenable (ce n'est pas que je sois hypersensible mais les dernier instants du taxidermiste est à gerber) Bref c'est un trés bon film mais je pense pas qu'il doive avoir un public.
Wow ! C’est assez borderline mais qu’est-ce que c’est bien foutu ! Le petit détail qui tue dans le décor, la photographie des textures comme la chaire, les végétaux ou la bouffe qui n’est pas présentée sous son meilleur jour d’ailleurs... Ce film à été fait sans concessions. Blindé d’humour, de cynisme et quoi que l’on puisse dire d’un poil de morbide. Malgré les apparences, ce n’est pas ce qui frappe le plus. Le plus étonnant, c’est l’aspect chirurgical des plans, du montage et de la photo mais surtout celle d’une satire sociale très juste. Cette façon de nous présenter la solitude, le ridicule, le rétrograde, le désuet. Allant du laid des divertissements populaires vulgos en passant par la bassesse humaine jusqu’à la folie artistique exubérante et élitiste instrumentalisé par un médecin pratiquant l’avortement et faisant « empailler » un fœtus par un taxidermiste dont le labo arbore un poster de Michael Jackson. Rien que ça ! Taxidermiste est un film à ne pas mettre entre toutes les mains mais qui pourtant mérite largement d’être vu par tous. Amis adorateurs du Cinéma il est temps de passer à la vitesse supérieur !
Comment peut-on projeter ce genre de film obsène, c'est de la provocation de sado. Les aficionados de ce genre de film glauque vont surement se leurer, mais à grande majorité des spectateurs c'est juste de l'ennui profond, crade et sans histoire...
Beaucoup de bruits pour pas grand chose , voila comment je qualifierais ce film. Certes c'est bien filmé et travaillé , mais c'est lent, long et il ne s'y passe pas grand chose. L'histoire d'une famille que l'on veut nous faire passer pour ordinaire, mais ou le réel et l'irréel se cotoïe. Beaucoup le compare au génial (dans son genre) Serbian Film, je ne suis pas d'accord. On ne boxe pas dans la même catégorie. Des scènes impossible et inutile : spoiler: Le phallus du grand père qui fait des flammes (Youhou!) et le bébé mi-homme mi-cochon (Comment? Plan à trois? O.o) . Bref , un film glaucque, qui plaira probablement aux amateurs du genre, mais qui ne retourne pas autant l'estomac que ce bon vieux Serbian .
Taxidermie, c'est un sac rempli de vomi, ou il y a tout les ingredients immondes pour nous dégouter, et avoir la gastro à la fin du film. La génération en 3 phase d'une famille, ou chaque membre à un truc différent pour nous faire gerber... Maus au fond, on se marre bien devant toutes ces images répugnante s'enchainant les une apres les autres, on se dit que l'on a jamais vu sa, et que franchement, nous montrer sans aucune censure une échelle de truc crade pareil, sa fait du bien à notre coté sombre perver^^! Et on se dit un peu a prés, mais putain, c'est quoi se truc, et on est en faite content d'avoir vu un film qui ne signifie rien à ce point dans notre vie. Taxidermie, c'est du jamais vu, vraiment à ne pas louper, et j'arrive pas tro a voir ce que le film veut nous faire comprendre ou partager^^, mais sa c'est pas grave, on ferme les yeux sur sa. (les hongrois sont des fou ma parole). Film a voir meme si on sait que l'on va detester.
A réserver aux amateurs de contes noirs et autres légendes morbides, Taxidermie, bien qu’inégal, se révèle un régal de poésie, d’ambiances putrides et de joyeux désespoir.
Bon, comme vous l'aurez compris avec ma note, je fais partie des spectateurs qui n'ont pas du tout adhéré à ce délire, réalisé par György Pálfi et sorti en 2006. On suit ici l'histoire de trois générations de mecs tous plus tarés les uns que les autres, le premier étant officier, le second "mangeur sportif" et le troisième, taxidermiste. Ça promet du lourd, du gore, de la violence, du vulgaire, du trash etc. et on a effectivement tout ces ingrédients ! Et même si c'est un peu plus malin que "The Human Centipede" par exemple, je lui ai pas trouvé tellement plus d'intérêt ! En effet, je n'ai jamais vraiment vu où ce semblant d'histoire voulait en venir. Oui, c'est dégueulasse, oui, ça met très mal à l'aise et le film est, dans ce sens, réussi. Ce pourquoi d'ailleurs je n'ai pas mis une note plus basse car si je ne suis pas rentré dans le délire, je comprends que certains spectateurs aient pu y adhérer ! En effet, si nous sommes en recherche de sensations fortes ou si on cherche à se retourner l'estomac, le film est très réussi ! Car tous les effets sont garantis et le film est très riche en trucs dégueulasses. Mention spéciale d'ailleurs pour le second segment qui est, pour moi, le plus écœurant car j'ai tout simplement beaucoup de mal avec ce genre de scènes montrant des gens manger à outrance (comme dans "La Grande Bouffe" mais en pire). Seul le dernier segment a, à un moment donné, attisé mon intérêt mais s’essouffle assez vite. "Taxidermie" est donc un film que je ne regarderai sûrement pas une seconde fois et qui m'a autant ennuyé que dégouté.
Une histoire de lignée, qui débute dans le brouillard matinal, froid car hivernal, et qui se termine dans la lumière et la chaleur d'une exposition pseudo-scientifique. L'affaire d'un nymphomane hétérosexuel sur le pied de guerre qui va lutter contre ses obsessions qui le tourmente, un fils qu'il ne verra pas naître suite à une scène de folie pure, alliant zoophilie et exécution d'un coup de fusil déchirant l'air durant quelques secondes. "Taxidermia" possède ce don féérique et improbable, fondant trois histoires sur plusieurs générations, chacune différente mais retrouvant des détails qu'on ne remarque que bien après la projection. C'est ce genre de cinéma, brutal, intelligent et saignant, qu'on recherche si souvent mais qu'on trouve sans une grande pincée de difficultés. Intervient alors la deuxième partie, la plus longue des trois. Un concours de bouffe. Une arène comme lieu du championnat, des hommes sur-entraînés pour avaler beaucoup plus qu'il n'en faut, et son histoire d'amour. Car qu'est ce que deviendrait une histoire sans son sentimentalisme et vice-versa? Qu'est-ce que serait "Taxidermia" sans son intérêt pervers pour le mal-être humain. Alors se déploie devant nos yeux une suite d'évènements pour la plupart infâmes et dérangeants, s'éconduit en même temps toute l'inventivité du réalisateur qui, si il est toujours aussi doué pour faire grimacer d'épouvante un spectateur frivole, laisse au même moment exploser un savoir-faire dur comme l'argile. Un argile transformé pour le film en or liquide qui s'écoule de tout son long dans la rivière scénaristique, lui permettant de devenir argentée. Fin de la prose, pas des compliments : ce qui est aussi réussi dans cette oeuvre est le scénario, qui ne faiblit jamais, qui reste toujours présent avec les mêmes Force et Obstination. De cet hôpital à ciel ouvert est mise en avant l'expérience menée sur plusieurs vies, sur des cobayes humains et vivants. "Taxidermia" fait partie de ces épreuves cinématographiques qui ne sont pas oubliées. "Taxidermia" ne possède ni genre ni forme, on ne sait comment s'y confronter car on ne s'y prépare en aucun cas. Quel choc!
Un grand délire. C'est libérateur. Ca fait beaucoup de bien. Chaque plan est plein d'idées. Ca déborde. C'est fellinien. Mais c'est aussi très personnel : l'histoire tient vraiment la route.