Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Une vision plutôt féroce, mais parfois aussi d'une poésie cristalline comme la voix guérisseuse de la chanteuse.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Humanité
par Vincent Ostria
C'est aussi beau qu'artificiel : images suréclairées, y compris en extérieur, comme dans les films de Douglas Sirk. Thématiquement, c'est assez subtil puisque sous ce tableau de la décadence féodale se cache une réflexion sur le colonialisme (...) Évocation lyrique des prémisses des guerres d'Indochine.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une oeuvre dont le charme repose beaucoup sur le formidable exotisme de l'univers évoqué (...) Un matériau de fiction d'autant plus fascinant qu'il est inédit pour un spectateur français.Du coup, Mê Thao souffre moins qu'un film plus convenu de la raideur de la réalisation (...) et de quelques fautes de goût étonnantes (...). Finalement, le motif principal du film (...) impose sa nostalgie douce et fait de Mê Thao un plaisir fugace et rare.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un mélo anticolonialiste plein de beaux excès (...) Quoique artificialisé par une lumière très frontale, ce mélo sinueux produit toutes sortes d'images saisissantes. (...) Séduisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Cette maladie d'amour et de l'âme, cette torpeur qui contamine peu à peu la communauté, ne manque pas de fasciner, même si le regard un peu trop distancé a tendance à figer les situations. Entre un envol splendide de lampions dans la nuit et un duo musical parachevé dans la mort, le film réserve tout de même des éclats de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Yasmine Youssi
On est loin, ici, de l'exubérance d'un certain cinéma asiatique, mais c'est la sobritété et la simplicité de cette écriture qui fait le charme du film.
Cahiers du Cinéma
par Mia Hansen-Love
Blotti entre les quatre murs du cinéma vietnamien, Me thao consiste en un patient travail d'autoclaustration (...) La résistance du film à toute infiltration d'un monde vivant en restreint la portée; rien n'est en effet plus stérile qu'un pessimisme mal informé.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
L'histoire, adaptée d'un roman de Nguyen Tuan, est belle et émouvante, opposant subtilement un amour qui s'enferme dans l'illusion et une amitié qui se sacrifie à l'autre. Elle est malheureusement desservie par une mise en scène laborieuse et une interprétation appliquée. Reste l'évocation d'un Vietnam lointain, de ses coutumes, de ses musiques.
Première
par Gérard Delorme
La réalisatrice Viet Linh fait de son mieux pour couvrir un registre très étendu avec des moyens très limités.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un peu maladroit mais d'une belle délicatesse.
Positif
par Pascal Sennequier
Au caractère statique et désuet de la mise en scène s'ajoutent un jeu d'acteur figé et une intrigue décousue. Quant au sens de cette parabole, alliant discours sur la modernité, l'amour et la musique, il reste confus.
Aden
Une vision plutôt féroce, mais parfois aussi d'une poésie cristalline comme la voix guérisseuse de la chanteuse.
L'Humanité
C'est aussi beau qu'artificiel : images suréclairées, y compris en extérieur, comme dans les films de Douglas Sirk. Thématiquement, c'est assez subtil puisque sous ce tableau de la décadence féodale se cache une réflexion sur le colonialisme (...) Évocation lyrique des prémisses des guerres d'Indochine.
Le Monde
Une oeuvre dont le charme repose beaucoup sur le formidable exotisme de l'univers évoqué (...) Un matériau de fiction d'autant plus fascinant qu'il est inédit pour un spectateur français.Du coup, Mê Thao souffre moins qu'un film plus convenu de la raideur de la réalisation (...) et de quelques fautes de goût étonnantes (...). Finalement, le motif principal du film (...) impose sa nostalgie douce et fait de Mê Thao un plaisir fugace et rare.
Les Inrockuptibles
Un mélo anticolonialiste plein de beaux excès (...) Quoique artificialisé par une lumière très frontale, ce mélo sinueux produit toutes sortes d'images saisissantes. (...) Séduisant.
Télérama
Cette maladie d'amour et de l'âme, cette torpeur qui contamine peu à peu la communauté, ne manque pas de fasciner, même si le regard un peu trop distancé a tendance à figer les situations. Entre un envol splendide de lampions dans la nuit et un duo musical parachevé dans la mort, le film réserve tout de même des éclats de poésie.
Zurban
On est loin, ici, de l'exubérance d'un certain cinéma asiatique, mais c'est la sobritété et la simplicité de cette écriture qui fait le charme du film.
Cahiers du Cinéma
Blotti entre les quatre murs du cinéma vietnamien, Me thao consiste en un patient travail d'autoclaustration (...) La résistance du film à toute infiltration d'un monde vivant en restreint la portée; rien n'est en effet plus stérile qu'un pessimisme mal informé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
L'histoire, adaptée d'un roman de Nguyen Tuan, est belle et émouvante, opposant subtilement un amour qui s'enferme dans l'illusion et une amitié qui se sacrifie à l'autre. Elle est malheureusement desservie par une mise en scène laborieuse et une interprétation appliquée. Reste l'évocation d'un Vietnam lointain, de ses coutumes, de ses musiques.
Première
La réalisatrice Viet Linh fait de son mieux pour couvrir un registre très étendu avec des moyens très limités.
TéléCinéObs
Un peu maladroit mais d'une belle délicatesse.
Positif
Au caractère statique et désuet de la mise en scène s'ajoutent un jeu d'acteur figé et une intrigue décousue. Quant au sens de cette parabole, alliant discours sur la modernité, l'amour et la musique, il reste confus.