Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Aden
par La rédaction
Humour, violence, étourdissant brio technique : on est dans la lignée de Tarantino, de De Palma, de Fincher. Avec un trio d'acteurs très chaud, parmi lesquels l'incroyable Choi Min-sik (le prisonnier hirsute), le héros principal d'Ivre de femmes et de peinture. Dans son genre, feuilletonesque, Old Boy est une bombe.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinéastes
par Hendy Bicaise
Hautement représentatif du cinéma coréen où l'exacerbation des sentiments prime sur tout, Old Boy est un film où l'on crie fort, pleure fort, et saigne fort aussi. (...) La première impression fut grande, la seconde pourrait bien être monstrueuse.
L'Ecran Fantastique
par Yannick Blay
Un fantastique film noir !
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Michaël Melinard
Ce cinquième film de Park Chan-wook séduit grâce à la virtuosité d'une mise en scène époustouflante, à la représentation crue mais dénuée du voyeurisme de la violence et à la frénésie de la bande-son.
Le Parisien
par La rédaction
Cette incroyable histoire de vengeance, sorte de pendant tragique à " Kill Bill ", bénéficie d'une interprétation magistrale et d'une mise en scène impressionnante.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
Soufflant, culotté, virtuose. On attendait énormément du nouveau long métrage du Coréen Park Chan-wook et on n'est pas déçu. (...) Visuellement, Old Boy est d'une force sombre et hypnotisante, avec ses plans superbement composés, son montage nerveux et ses décors parfois surréalistes. Le récit est calqué sur les mêmes exigences : une trame éclatée, des pièces d'un puzzle démoniaque que l'on assemble au bon vouloir du cinéaste.
Positif
par Adrien Gombeaud
Lourde du talent d'un cinéaste qui sait désormais canaliser son délire, structurer sa folie, l'ombre du créateur s'étale plus forte encore sur Old Boy. Park Chan-wook joue sur tous les codes de genres cinématographiques : espionnage, comédie, horreur, polar... (...) Il ne s'agit pas uniquement de désamorcer une violence presque insupportable ; il s'agit de nous montrer que ce monde est construit, voulu, contrôlé.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Synopsis
par Robert Baccara
Par son ahurissante liberté narrative et formelle, ce digest du meilleur du cinéma post-moderne fait le lien entre un cinéma coréen en plein essor et ses cousins occidentaux. (...) on a peu l'occasion de découvrir oeuvre d'une telle puissance émotionnelle et d'un romantisme si transgressif.
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
"Old Boy" est un film noir halluciné qui assume avec fureur mise en scène inventive, violence ironique, et intrigue aussi géniale que déroutante. (...) Outre un imaginaire visuel très marqué empruntant parfois à l'atmosphère lyrique et sombre de Sergio Leone, c'est la virtuosité avec laquelle Park Chan-wook dévoile la complexité de ses personnages qui force l'admiration.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Park Chan-wook trouve constamment des solutions de cinéma inédites pour recréer le monde instable de son personnage (...) Le cinéaste a le talent de souffler le chaud et le froid. (...) Il y a chez Park Chan-wook un vrai talent de contrebandier : sous les auspices d'un art populaire, balisé, spectaculaire, il distille les indices d'une crise existentielle subtile et profonde. C'est exactement ce qu'on attend d'un auteur, un vrai.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Old boy possède la densité d'un drame Shakespearien à la sauce trasho-coréenne qui célèbre une humanité en perte de vitesse. C'est aussi un ballet somptueux, mené de main de maître, qui n'a pas de morale, qui refoule, cache, puis laisse exploser un romantisme de dernière minute muet, sourd et foncièrement poignant.
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Mais oui, c'est un film de malade, mais il est des malades enragés qu'on peut préférer à des bien portants tièdes et convenus. Il y a une âme là-dedans. En sale état, certes, mais elle est là, et elle nous regarde du fond de sa nuit noire.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
(...) voici un film méticuleusement pensé et réfléchi, bien plus doloriste que sadique, écartant au final le nihilisme au profit d'une compassion accordée à un homme qui n'a pas su se reconstruire, submergé par le poids de la perte et du passé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Samuel Douhaire
Avec ses plans conçus comme une succession ininterrompue de chocs visuels et le jeu énorme de Choi Min-sik (déjà remarquable dans Ivres de femmes et de peinture du vétéran Im Kwon-taek), Old Boy réveille aussi efficacement qu'une double dose de Guronsan après une cuite au soju. Mais gare aux effets secondaires : yeux qui piquent, nerfs à fleur de peau et gros poids sur l'estomac.
Première
par Gérard Delorme
(...) Park Chan-Wook a organisé un dispositif qui multiplie les forces destructrices pour justifier une série de scènes paroxystiques. Le cinéaste coréen n'a plus à prouver ses considérables capacités de styliste et de raconteur. Pour convaincre les sceptiques, il aura besoin d'affiner son sens du dosage et des nuances.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Waldo Lydecker
(...) un polar sanglant et sadique, brillamment réalisé, avec caméra tournoyante, intrigue à tiroirs inspirée d'un manga, montage virtuose et effets musicaux coups de poing (...) Du grand art ? Sans doute pas, mais un impressionnant savoir-faire dans tous les départements. (critique cannoise)
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
Le destin de Oh Dae-soo enlevé pendant sans motif et emprisonné mystérieusement pendant 15 ans aurait sans doute mérité traitement plus rigoureux que le patchwork stylistique imposé par le cinéaste.
Le Monde
par Florence Colombani
La première demi-heure de Old Boy a beau être inconfortable, pénible même, elle n'en est pas moins saisissante. (...) Mais, tout occupé à secouer le spectateur de sensations fortes, le cinéaste a négligé de l'impliquer dans son récit, ce qui fait de Old Boy l'équivalent cinématographique d'un tour en train fantôme dans un parc d'attractions. (critique cannoise)
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
Si le début du film est enthousiasmant, Old Boy accumule ensuite les scènes sadiques à l'excès : d'épouvantables scènes de torture, combinées à un sensationnalisme sordide (...) empoisonnent le film par leur méchanceté manifeste. (critique cannoise)
Télérama
par Pierre Murat
(...) grossièrement résumé, bien sûr, Park Chan-Wook est l'héritier speedé de Quentin Tarantino (...) O.K ; d'accord, Quentin Tarantino est le plus drôle et le plus doué des deux (...)on verra bien, d'ici quelque temps, si cet élève en phase totale avec le début des années 2OOO – faire du vrai avec du toc - ne dépassera pas bientôt le maître...(critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Entièrement voué à l'horizon d'un cinéma se rêvant décomplexé, libéré de toute bienséance, dédié à la litanie des inutilités, prétendue cathédrale plastique, Old boy ne tarde pas à révéler sa vraie face : du racolage actif vendu à toutes les facilités en guise de passeport pour le pays bas des films cultes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
(...) une oeuvre hybride et teigneuse mais finalement peu convaincante. La stylisation de la mise en scène, à la fois sophistiquée et pataude, cache mal le sentiment que tout obéit ici aux règles d'un mécanisme un peu froid. L'adhésion au film exige un goût pour une certaine forme de grotesque distancié qu'il est possible de ne pas partager. Enfin, la transgression d'un tabou qui clôt le film ne semble pas relever d'une véritable nécessité, sinon celle d'une simple astuce de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Tout le monde ne fonctionnant pas au régime Corn Flakes-Coke, il n'est pas impossible que, sur un spectateur normalement constitué, l'objet fasse surtout l'effet du n'importe quoi tout le temps (...) Après deux heures menées à la vitesse d'un jeu vidéo (...) aucune des raisons invoquées pour justifier le récit ne tient vraiment à la barre. Mais, de toute façon, tout le monde s'en fout. (critique cannoise)
Aden
Humour, violence, étourdissant brio technique : on est dans la lignée de Tarantino, de De Palma, de Fincher. Avec un trio d'acteurs très chaud, parmi lesquels l'incroyable Choi Min-sik (le prisonnier hirsute), le héros principal d'Ivre de femmes et de peinture. Dans son genre, feuilletonesque, Old Boy est une bombe.
Cinéastes
Hautement représentatif du cinéma coréen où l'exacerbation des sentiments prime sur tout, Old Boy est un film où l'on crie fort, pleure fort, et saigne fort aussi. (...) La première impression fut grande, la seconde pourrait bien être monstrueuse.
L'Ecran Fantastique
Un fantastique film noir !
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ce cinquième film de Park Chan-wook séduit grâce à la virtuosité d'une mise en scène époustouflante, à la représentation crue mais dénuée du voyeurisme de la violence et à la frénésie de la bande-son.
Le Parisien
Cette incroyable histoire de vengeance, sorte de pendant tragique à " Kill Bill ", bénéficie d'une interprétation magistrale et d'une mise en scène impressionnante.
MCinéma.com
Soufflant, culotté, virtuose. On attendait énormément du nouveau long métrage du Coréen Park Chan-wook et on n'est pas déçu. (...) Visuellement, Old Boy est d'une force sombre et hypnotisante, avec ses plans superbement composés, son montage nerveux et ses décors parfois surréalistes. Le récit est calqué sur les mêmes exigences : une trame éclatée, des pièces d'un puzzle démoniaque que l'on assemble au bon vouloir du cinéaste.
Positif
Lourde du talent d'un cinéaste qui sait désormais canaliser son délire, structurer sa folie, l'ombre du créateur s'étale plus forte encore sur Old Boy. Park Chan-wook joue sur tous les codes de genres cinématographiques : espionnage, comédie, horreur, polar... (...) Il ne s'agit pas uniquement de désamorcer une violence presque insupportable ; il s'agit de nous montrer que ce monde est construit, voulu, contrôlé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
Par son ahurissante liberté narrative et formelle, ce digest du meilleur du cinéma post-moderne fait le lien entre un cinéma coréen en plein essor et ses cousins occidentaux. (...) on a peu l'occasion de découvrir oeuvre d'une telle puissance émotionnelle et d'un romantisme si transgressif.
TéléCinéObs
"Old Boy" est un film noir halluciné qui assume avec fureur mise en scène inventive, violence ironique, et intrigue aussi géniale que déroutante. (...) Outre un imaginaire visuel très marqué empruntant parfois à l'atmosphère lyrique et sombre de Sergio Leone, c'est la virtuosité avec laquelle Park Chan-wook dévoile la complexité de ses personnages qui force l'admiration.
Télérama
Park Chan-wook trouve constamment des solutions de cinéma inédites pour recréer le monde instable de son personnage (...) Le cinéaste a le talent de souffler le chaud et le froid. (...) Il y a chez Park Chan-wook un vrai talent de contrebandier : sous les auspices d'un art populaire, balisé, spectaculaire, il distille les indices d'une crise existentielle subtile et profonde. C'est exactement ce qu'on attend d'un auteur, un vrai.
aVoir-aLire.com
Old boy possède la densité d'un drame Shakespearien à la sauce trasho-coréenne qui célèbre une humanité en perte de vitesse. C'est aussi un ballet somptueux, mené de main de maître, qui n'a pas de morale, qui refoule, cache, puis laisse exploser un romantisme de dernière minute muet, sourd et foncièrement poignant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Mais oui, c'est un film de malade, mais il est des malades enragés qu'on peut préférer à des bien portants tièdes et convenus. Il y a une âme là-dedans. En sale état, certes, mais elle est là, et elle nous regarde du fond de sa nuit noire.
Les Inrockuptibles
(...) voici un film méticuleusement pensé et réfléchi, bien plus doloriste que sadique, écartant au final le nihilisme au profit d'une compassion accordée à un homme qui n'a pas su se reconstruire, submergé par le poids de la perte et du passé.
Libération
Avec ses plans conçus comme une succession ininterrompue de chocs visuels et le jeu énorme de Choi Min-sik (déjà remarquable dans Ivres de femmes et de peinture du vétéran Im Kwon-taek), Old Boy réveille aussi efficacement qu'une double dose de Guronsan après une cuite au soju. Mais gare aux effets secondaires : yeux qui piquent, nerfs à fleur de peau et gros poids sur l'estomac.
Première
(...) Park Chan-Wook a organisé un dispositif qui multiplie les forces destructrices pour justifier une série de scènes paroxystiques. Le cinéaste coréen n'a plus à prouver ses considérables capacités de styliste et de raconteur. Pour convaincre les sceptiques, il aura besoin d'affiner son sens du dosage et des nuances.
Zurban
(...) un polar sanglant et sadique, brillamment réalisé, avec caméra tournoyante, intrigue à tiroirs inspirée d'un manga, montage virtuose et effets musicaux coups de poing (...) Du grand art ? Sans doute pas, mais un impressionnant savoir-faire dans tous les départements. (critique cannoise)
Cahiers du Cinéma
Le destin de Oh Dae-soo enlevé pendant sans motif et emprisonné mystérieusement pendant 15 ans aurait sans doute mérité traitement plus rigoureux que le patchwork stylistique imposé par le cinéaste.
Le Monde
La première demi-heure de Old Boy a beau être inconfortable, pénible même, elle n'en est pas moins saisissante. (...) Mais, tout occupé à secouer le spectateur de sensations fortes, le cinéaste a négligé de l'impliquer dans son récit, ce qui fait de Old Boy l'équivalent cinématographique d'un tour en train fantôme dans un parc d'attractions. (critique cannoise)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
The Hollywood Reporter
Si le début du film est enthousiasmant, Old Boy accumule ensuite les scènes sadiques à l'excès : d'épouvantables scènes de torture, combinées à un sensationnalisme sordide (...) empoisonnent le film par leur méchanceté manifeste. (critique cannoise)
Télérama
(...) grossièrement résumé, bien sûr, Park Chan-Wook est l'héritier speedé de Quentin Tarantino (...) O.K ; d'accord, Quentin Tarantino est le plus drôle et le plus doué des deux (...)on verra bien, d'ici quelque temps, si cet élève en phase totale avec le début des années 2OOO – faire du vrai avec du toc - ne dépassera pas bientôt le maître...(critique cannoise)
Chronic'art.com
Entièrement voué à l'horizon d'un cinéma se rêvant décomplexé, libéré de toute bienséance, dédié à la litanie des inutilités, prétendue cathédrale plastique, Old boy ne tarde pas à révéler sa vraie face : du racolage actif vendu à toutes les facilités en guise de passeport pour le pays bas des films cultes.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) une oeuvre hybride et teigneuse mais finalement peu convaincante. La stylisation de la mise en scène, à la fois sophistiquée et pataude, cache mal le sentiment que tout obéit ici aux règles d'un mécanisme un peu froid. L'adhésion au film exige un goût pour une certaine forme de grotesque distancié qu'il est possible de ne pas partager. Enfin, la transgression d'un tabou qui clôt le film ne semble pas relever d'une véritable nécessité, sinon celle d'une simple astuce de scénario.
Libération
Tout le monde ne fonctionnant pas au régime Corn Flakes-Coke, il n'est pas impossible que, sur un spectateur normalement constitué, l'objet fasse surtout l'effet du n'importe quoi tout le temps (...) Après deux heures menées à la vitesse d'un jeu vidéo (...) aucune des raisons invoquées pour justifier le récit ne tient vraiment à la barre. Mais, de toute façon, tout le monde s'en fout. (critique cannoise)