Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Le Figaro
par Stéphane Koechlin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Florence Colombani
(...) La Route de Memphis est un documentaire passionnant, qui dissimule, derrière l'émouvant hommage à une musique et à ceux qui la font, une réflexion sociale d'une singulière amertume.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Rémy Batteault
(...) ce documentaire très musical passionne de bout en bout. (...) Ce film est plus qu'un hommage : un témoignage sur une musique indispensable.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
Deuxième opus de l'épopée vibrante du blues. (...) Memphis fut bien le creuset de la déflagration majeure de la seconde moitié du siècle, et toutes les routes de la mémoire musicale y mènent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Fil conducteur de l'histoire, B. B. King retrace cette aventure collective qui donna naissance à une nouvelle forme de blues, entre témoignages (le toujours truculent Ike Turner), images d'archives et, bien sûr, extraits musicaux de choix...
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Il serait triste que la déception suscitée par The Soul of a Man de Wenders détourne l'attention de ce second volet de la série The Blues.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce documentaire bon vivant ne contentera pas les spécialistes, mais il donne une bonne idée de la vie des nomades du blues, qui passent l'essentiel de leur temps dans des autocars.
Le Point
par La Rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par La rédaction
L'odyssée musicale de la légende du blues B. B. King est au coeur de ce documentaire qui rend hommage à la ville de Memphis. Avec des images d'archives étonnantes.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
(...) on bute trop souvent dans une vitrine commerciale et caricaturale, qui ne saurait contenir dans un sacerdoce mécaniquement entretenu l'essence de cette douloureuse et sublime élévation qu'est le blues.
Première
par Hugo Deschamps
C'est clean et carré mais réservé aux amateurs. Lorsque le réalisateur s'attache à B.B. King, cette épopée du blues gagne en profondeur.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
(...) La Route de Memphis est un documentaire passionnant, qui dissimule, derrière l'émouvant hommage à une musique et à ceux qui la font, une réflexion sociale d'une singulière amertume.
MCinéma.com
(...) ce documentaire très musical passionne de bout en bout. (...) Ce film est plus qu'un hommage : un témoignage sur une musique indispensable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Deuxième opus de l'épopée vibrante du blues. (...) Memphis fut bien le creuset de la déflagration majeure de la seconde moitié du siècle, et toutes les routes de la mémoire musicale y mènent.
Aden
Fil conducteur de l'histoire, B. B. King retrace cette aventure collective qui donna naissance à une nouvelle forme de blues, entre témoignages (le toujours truculent Ike Turner), images d'archives et, bien sûr, extraits musicaux de choix...
Cahiers du Cinéma
Il serait triste que la déception suscitée par The Soul of a Man de Wenders détourne l'attention de ce second volet de la série The Blues.
L'Humanité
Ce documentaire bon vivant ne contentera pas les spécialistes, mais il donne une bonne idée de la vie des nomades du blues, qui passent l'essentiel de leur temps dans des autocars.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
L'odyssée musicale de la légende du blues B. B. King est au coeur de ce documentaire qui rend hommage à la ville de Memphis. Avec des images d'archives étonnantes.
Les Inrockuptibles
(...) on bute trop souvent dans une vitrine commerciale et caricaturale, qui ne saurait contenir dans un sacerdoce mécaniquement entretenu l'essence de cette douloureuse et sublime élévation qu'est le blues.
Première
C'est clean et carré mais réservé aux amateurs. Lorsque le réalisateur s'attache à B.B. King, cette épopée du blues gagne en profondeur.