Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Cette magnifique histoire d'amitié et d'écologie, aux accents contemporains, est un vrai bonheur. Elle nous prouve que le plus sauvage est le plus civilisé. Le sens des valeurs, le sacrifice, le devoir et la reconnaissance prévalent dans ce pur chef d'oeuvre. Tout est extrêmement soigné, du graphisme à la bande son, sans omettre les décors.
Léo est un film d'une remarquable puissance visuelle et poétique, qui touche même au sublime lors de la longue séquence finale où le lion, sur les pentes d'une montagne enneigée, lutte pour la survie des siens et de l'humanité.[...] Takeuchi prend le parti de plonger le jeune spectateur dans un univers résolument plus sombre que celui du Roi Lion, et s'adresse aux enfants sans verser dans l'optimisme béat qui est le revers du savoir-faire Disney.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si l'on peut regretter un certain manque de moyens de l'entreprise, on l'oublie vite, tant le scénario nous transporte. Aucune mièvrerie ne vient entacher le propos. Ici, les rapports entre animaux et humains sont traités sans happy end obligé ni manichéisme. L'histoire étudie tous les points de vue. S'il y a une violence à l'écran, elle n'est pas édulcorée de manière hypocrite, mais elle est réaliste tout en servant le conte : c'est la violence des luttes pour la vie dans un milieu hostile. Sans être un chef d'oeuvre comme la plupart des productions Ghibli, LEO ROI DE LA JUNGLE est un excellent divertissement pour petits et grands.
Certes le mélange 3D/2D n'est pas des plus performants, mais la capacité du scénario à ne pas prendre les mômes pour des billes vaut mieux que tous les Hakuna Matata du monde.
La critique complète est disponible sur le site Score
Basée sur des valeurs telles que le sacrifice, l'abnégation, le dévouement, cette ode tendre (hormis une ou deux séquences cruelles) semble parfois venir d'une autre époque. A voir, pour le charme d'" animaux " plus humains que les vrais, la douceur des couleurs et des paysages, et la trace nostalgique de la série, diffusée en France dans les années 70.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est sûr, ça ne va pas être facile de trainer les mômes nourris au "Hakuna Matata" voir cette version plus rugueuse. Mais le film de Takeuchi, malgré une animation parfois mal assurée, vaut vraiment le detour.
Cette version japonaise donne un constat plus pessimiste et plus noir de la confrontation homme-animal, et tente de sensibiliser petits et grands aux thèmes qui touchent à l'environnement, à la paix entre les peuples et à l'évolution des sciences.
Les bonnes intentions ne font pas les bons films, surtout si elles sont embarrassées d'un trop plein de respect. En l'occurence on aurait souhaité plus de cohérence et moins de déférence. Aux côtés de vrais problèmes de production (le budget n'est manifestement pas à la hauteur ) et d'un scénario qui tente vainement de contenir une foultitude de péripéties, c'est finalement l'absence d'ampleur de la réalisation qui est la plus déshonorante. Reste un générique dépeignant avec une belle fluidité la course de Léo dans son domaine et la trame initiale dont la beauté reste décidement à l'épreuve de tous les traitements.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
De par sa démarche en forme d'hommage, et peut-être aussi par la dimension du réalisateur Yoshio Takeuchi, ce projet n'a sûrement pas le souffle, l'originalité, la poésie de l'animation japonaise du jour, porté au sommet par les chefs-d'oeuvre de Miyazaki notamment. Mais on y verra, dans une facture d'un classicisme abouti, un joli message écolo et humaniste sur les vraies valeurs de la vie et de la nature.
Avec le parti-pris de respecter les histoires paralléles du manga original, Yoshio Takeuchi tisse ici plusieurs fils narratifs, au risque de dérouter le spectateur occidental. Mais l'esthétique soignée du film et ses valeurs humanistes l'auréolent au final d'un charme certain.
Un sentiment de déception et de frustration domine le spectateur après le visionnage du dessin animé de Yoshio Takeuchi, son film n'étant pas l'événement annoncé, mais seulement un sympathique manga destiné aux plus jeunes spectateurs. Pourtant, de très bonnes séquences ponctuent son film, notamment l'ascension du mont Moon, empreinte de fantastique épique.
Léo... ne trouve jamais son équilibre, plombé par un graphisme niais et un scénario bancal, entre conte initiatique et pamphlet écolo sombre et violent.
La critique complète est disponible sur le site Première
France Soir
Cette magnifique histoire d'amitié et d'écologie, aux accents contemporains, est un vrai bonheur. Elle nous prouve que le plus sauvage est le plus civilisé. Le sens des valeurs, le sacrifice, le devoir et la reconnaissance prévalent dans ce pur chef d'oeuvre. Tout est extrêmement soigné, du graphisme à la bande son, sans omettre les décors.
Le Monde
Léo est un film d'une remarquable puissance visuelle et poétique, qui touche même au sublime lors de la longue séquence finale où le lion, sur les pentes d'une montagne enneigée, lutte pour la survie des siens et de l'humanité.[...] Takeuchi prend le parti de plonger le jeune spectateur dans un univers résolument plus sombre que celui du Roi Lion, et s'adresse aux enfants sans verser dans l'optimisme béat qui est le revers du savoir-faire Disney.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Si l'on peut regretter un certain manque de moyens de l'entreprise, on l'oublie vite, tant le scénario nous transporte. Aucune mièvrerie ne vient entacher le propos. Ici, les rapports entre animaux et humains sont traités sans happy end obligé ni manichéisme. L'histoire étudie tous les points de vue. S'il y a une violence à l'écran, elle n'est pas édulcorée de manière hypocrite, mais elle est réaliste tout en servant le conte : c'est la violence des luttes pour la vie dans un milieu hostile. Sans être un chef d'oeuvre comme la plupart des productions Ghibli, LEO ROI DE LA JUNGLE est un excellent divertissement pour petits et grands.
Score
Certes le mélange 3D/2D n'est pas des plus performants, mais la capacité du scénario à ne pas prendre les mômes pour des billes vaut mieux que tous les Hakuna Matata du monde.
Télérama
Basée sur des valeurs telles que le sacrifice, l'abnégation, le dévouement, cette ode tendre (hormis une ou deux séquences cruelles) semble parfois venir d'une autre époque. A voir, pour le charme d'" animaux " plus humains que les vrais, la douceur des couleurs et des paysages, et la trace nostalgique de la série, diffusée en France dans les années 70.
Brazil
C'est sûr, ça ne va pas être facile de trainer les mômes nourris au "Hakuna Matata" voir cette version plus rugueuse. Mais le film de Takeuchi, malgré une animation parfois mal assurée, vaut vraiment le detour.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Cette version japonaise donne un constat plus pessimiste et plus noir de la confrontation homme-animal, et tente de sensibiliser petits et grands aux thèmes qui touchent à l'environnement, à la paix entre les peuples et à l'évolution des sciences.
Mad Movies
Les bonnes intentions ne font pas les bons films, surtout si elles sont embarrassées d'un trop plein de respect. En l'occurence on aurait souhaité plus de cohérence et moins de déférence. Aux côtés de vrais problèmes de production (le budget n'est manifestement pas à la hauteur ) et d'un scénario qui tente vainement de contenir une foultitude de péripéties, c'est finalement l'absence d'ampleur de la réalisation qui est la plus déshonorante. Reste un générique dépeignant avec une belle fluidité la course de Léo dans son domaine et la trame initiale dont la beauté reste décidement à l'épreuve de tous les traitements.
Ouest France
De par sa démarche en forme d'hommage, et peut-être aussi par la dimension du réalisateur Yoshio Takeuchi, ce projet n'a sûrement pas le souffle, l'originalité, la poésie de l'animation japonaise du jour, porté au sommet par les chefs-d'oeuvre de Miyazaki notamment. Mais on y verra, dans une facture d'un classicisme abouti, un joli message écolo et humaniste sur les vraies valeurs de la vie et de la nature.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Avec le parti-pris de respecter les histoires paralléles du manga original, Yoshio Takeuchi tisse ici plusieurs fils narratifs, au risque de dérouter le spectateur occidental. Mais l'esthétique soignée du film et ses valeurs humanistes l'auréolent au final d'un charme certain.
aVoir-aLire.com
Un sentiment de déception et de frustration domine le spectateur après le visionnage du dessin animé de Yoshio Takeuchi, son film n'étant pas l'événement annoncé, mais seulement un sympathique manga destiné aux plus jeunes spectateurs. Pourtant, de très bonnes séquences ponctuent son film, notamment l'ascension du mont Moon, empreinte de fantastique épique.
Première
Léo... ne trouve jamais son équilibre, plombé par un graphisme niais et un scénario bancal, entre conte initiatique et pamphlet écolo sombre et violent.