Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Une jolie balade initiatique en compagnie de Sister Rosetta Tharpe, Bessie Smith ou Reverend Gary Davis.
Brazil
par Eric Coubard
On parvient à sortir la tête de l'eau parfois grâce aux définitions hilarantes du vrai Blues émanant d'artistes ou des textes crus de Lucille Bogan (...) On se met donc facilement à la place du jeune héros tiraillé entre deux musiques et deux façons d'appréhender la vie (...) Déconseillé à ceux qui n'ont pas aimé les trois premiers volumes .
Le Monde
par Thomas Sotinel
Parfois maladroitement, Charles Burnett parvient à mettre en évidence un aspect souvent ignoré du blues. Au-delà de l'assertion de la virilité de ses interprètes masculins, niée par la ségrégation raciale, au-delà des lamentations magnifiques des chanteuses, le blues peut être aussi un véhicule magnifique de l'amour entre hommes et femmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Philippe Lemaire
S'il ne montre pas complètement la face "démoniaque" du blues et la place qu'y ont tenu les femmes, ce docu-fiction séduit par sa clarté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
Vague fiction tissée autour de beaux documents d'archives où quelques grands musiciens d'antan, comme Son House, Bessie Smith ou Mississippi John Hurt, jouent leurs compositions hantées.
Le Figaro
par Eric Bietry-Rivierre
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une dispensable partie fictionnée, mais une précieuse sélection d'images d'archives célébrant les blueswomen.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
(...) Le mélange entre l'histoire et les images d'époque n'est pas franchement payant. Les reconstitutions restent de simples interludes destinées à lancer le morceau ou le thème suivants. A cause de cette mise en scène trop linéaire, le film souffre d'un manque de rythme flagrant (...) Et c'est dommage car The devil's fire est à l'évidence très fouillé et qu'il a le mérite d'aborder un thème original : les premières stars féminines du Blues.
Première
par Nicolas Schaller
La reconstitution trop schématique de l'enfance de Burnett donne parfois la désagréable impression de visiter un musée un peu poussiéreux et fait de "Devil's Fire" l'un des épisodes les moins indispensables de la série "The Blues".
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Les incontournables images d'archives prennent ici judicieusement le relais du récit sans tomber dans cette accumulation hâtive qui plombait les précédents épisodes.
Télérama
par François Gorin
Parvenu au quatrième film " blues " de la série, peut-on encore s'extasier sur la profusion des images d'archives mises au jour par nos amis américains ? Oui, d'autant que Charles Burnett est le premier à faire une telle place aux femmes : Bessie Smith, Ida Cox, la géniale Sister Rosetta Tharpe...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par Stéphane Koechlin
(...) La fiction perd souvent son rythme, et le documentaire ne nous satisfait pas non plus : on regrette que les superbes archives intercalées tout au long du film, défilent sous nos yeux sans aucune explication. Un minimum de pédagogie aurait rendu l'oeuvre un peu moins hermétique. Vraiment dommage !
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Une leçon pédago naïve à grand renfort d'images d'archives certes passionnantes (Carmen Twillie et Billie Holiday, entre autres) mais affadies par une historiette irritante (...) Un opus uniformément faiblard que rien ne sauve du naufrage.
Aden
Une jolie balade initiatique en compagnie de Sister Rosetta Tharpe, Bessie Smith ou Reverend Gary Davis.
Brazil
On parvient à sortir la tête de l'eau parfois grâce aux définitions hilarantes du vrai Blues émanant d'artistes ou des textes crus de Lucille Bogan (...) On se met donc facilement à la place du jeune héros tiraillé entre deux musiques et deux façons d'appréhender la vie (...) Déconseillé à ceux qui n'ont pas aimé les trois premiers volumes .
Le Monde
Parfois maladroitement, Charles Burnett parvient à mettre en évidence un aspect souvent ignoré du blues. Au-delà de l'assertion de la virilité de ses interprètes masculins, niée par la ségrégation raciale, au-delà des lamentations magnifiques des chanteuses, le blues peut être aussi un véhicule magnifique de l'amour entre hommes et femmes.
Le Parisien
S'il ne montre pas complètement la face "démoniaque" du blues et la place qu'y ont tenu les femmes, ce docu-fiction séduit par sa clarté.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Vague fiction tissée autour de beaux documents d'archives où quelques grands musiciens d'antan, comme Son House, Bessie Smith ou Mississippi John Hurt, jouent leurs compositions hantées.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
Une dispensable partie fictionnée, mais une précieuse sélection d'images d'archives célébrant les blueswomen.
MCinéma.com
(...) Le mélange entre l'histoire et les images d'époque n'est pas franchement payant. Les reconstitutions restent de simples interludes destinées à lancer le morceau ou le thème suivants. A cause de cette mise en scène trop linéaire, le film souffre d'un manque de rythme flagrant (...) Et c'est dommage car The devil's fire est à l'évidence très fouillé et qu'il a le mérite d'aborder un thème original : les premières stars féminines du Blues.
Première
La reconstitution trop schématique de l'enfance de Burnett donne parfois la désagréable impression de visiter un musée un peu poussiéreux et fait de "Devil's Fire" l'un des épisodes les moins indispensables de la série "The Blues".
TéléCinéObs
Les incontournables images d'archives prennent ici judicieusement le relais du récit sans tomber dans cette accumulation hâtive qui plombait les précédents épisodes.
Télérama
Parvenu au quatrième film " blues " de la série, peut-on encore s'extasier sur la profusion des images d'archives mises au jour par nos amis américains ? Oui, d'autant que Charles Burnett est le premier à faire une telle place aux femmes : Bessie Smith, Ida Cox, la géniale Sister Rosetta Tharpe...
Le Figaroscope
(...) La fiction perd souvent son rythme, et le documentaire ne nous satisfait pas non plus : on regrette que les superbes archives intercalées tout au long du film, défilent sous nos yeux sans aucune explication. Un minimum de pédagogie aurait rendu l'oeuvre un peu moins hermétique. Vraiment dommage !
aVoir-aLire.com
Une leçon pédago naïve à grand renfort d'images d'archives certes passionnantes (Carmen Twillie et Billie Holiday, entre autres) mais affadies par une historiette irritante (...) Un opus uniformément faiblard que rien ne sauve du naufrage.