Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Treizième long métrage de Tony Gatlif, "Exils" est sans doute le plus sensuel de tous ses films. Un film sans frontières à découvrir
Studio Magazine
par Sophie Benamon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Duane Byrge
Exils est un formidable voyage à la découverte de soi, un retour aux racines et une traversée vers l'âme. Ce film magnifique est porté par l'interprétation sensuelle de Lubna Azabal et propulsé par une musique galvanisante (...) (critique cannoise)
Aden
par La rédaction
Son nouveau film est le plus accompli. Toujours pas tiré au cordeau, mais, bien mieux, porté par la fougue et l'élan de retrouvailles avec l'Algérie de son enfance. C'est la passion du cinéma, et de la vie, qui a été ainsi récompensée au dernier Festival de Cannes (grand prix de la mise en scène).
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Avec un scénario, des acteurs et une caméra plutôt que des notes, des vers et une guitare, Guédiguian est une sorte de compositeur parolier interprète appartenant à une tradition française très riche et toujours féconde.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Exils offre une compilation de tout ce que ce cinéma de la Grand'route possède de vif et de mort-né. (...) Pleine mesure d'un cinéma partagé entre impudeur menaçante et digne revendication du documentaire.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Exils ne déroge pas à la règle. Invitation au voyage, apologie de la caméra à l'épaule, une image brute qui n'aime rien tant que filmer les pare-brise crados des vieux bus fatigués, une poésie naïve, très naïve qui contient, grâce à son anti-raffinement, une indéniable dose d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Michaël Melinard
Rythmée par une musique enivrante, cette quête des origines renvoie les héros à une histoire familiale douloureuse au fil d'un parcours initiatique aux accents libertaires. D'une lenteur calculée, juste jusque dans ses maladresses, touchant dans ses digressions, Exils évoque des vies égarées en pleine reconstruction.
L'Humanité
par Jean-Pierre Léonardini
On pourra faire la fine bouche ici et là, dire que c'est parfois filmé à l'estomac ou à l'emporte-pièce (...) Peu importe, un tel jus nerveux, une telle envie de signifier ses hantises avec chaleur à l'aide d'interprètes galvanisés, hissés au meilleur d'eux-mêmes dans le don, cela n'a pas de prix (...)(critique cannoise)
Le Monde
par Thomas Sotinel
Romain Duris impose son détachement un peu gavroche, qui ne suffirait sans doute pas, à lui seul, à écarter les écueils qui menacent le film. Dans le rôle de Naima, en revanche, Lubna Azabal contribue puissamment à porter les émotions que suscite Exils bien au-delà du plaisir immédiat de la trouvaille ou de la belle image.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Gilles Verdiani
La ressemblance avec "Gadjo Dilo"est gênante au début (...) mais il y a une joie, un élan dans ce film à l'air libre, une générosité chez les comédiens et une puissance d'émotion dans certaines scènes qui laissent des traces durables.
Télérama
par Cécile Mury
Sa caméra et ses personnages se frottent au réel pour mieux l'enchanter. Tony Gatlif jette deux amants sur la route de l'Algérie. Un voyage initiatique, primé à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Leslie Felperin
Le film permet aux comédiens de livrer de belles performances. (...) La présence des gitans, la sensualité trouble, les éclairs de musique font de ce film une cuvée plus grisante que d'habitude (...) (critique cannoise)
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Exils ressemble parfois à un guide touristique enchanteur et canaille, où le flamenco d'une boîte sévillane cède gentiment la place à un groupe de musiciens soufis entassés à l'arrière d'un bus marocain. Pourtant Exils vaut mieux que ça. Malgré sa naïveté affichée, doublée de roublardise, Tony Gatlif est au fond taraudé par le doute.(critique cannoise)
Première
par Chistophe Narbonne
Exils c'est du cinéma à l'état brut comme en témoigne l'incroyable - mais trop longue - scène de transe finale. A cheval entre fiction et documentaire, ce road-movie sensuel et festif peut cependant dérouter.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Exils (...) émaillé de moments forts et de maladresses, avance à l'instinct. Le meilleur : tous les signes charnels jusque dans le rire d'un amour qui va de soi, complice sans être idyllique. Le moins bon : les dialogues qui expliquent et obéissent un peu trop aux lois du formatage. (critique cannoise)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Claire Vassé
Ce retour aux origines, porté par la musique, n'est pas dénué de poésie, mais on regrettera sa sensualité parfois un peu trop volontariste et factice. Notamment dans le jeu de Lubna Azabal (...) Reste une scène finale de transe soufie qui redonne de la matière à un ensemble trop artificiel. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
par Nicole Maïon
La musique comme dans les autres films de Gatlif est omniprésente et porte les pas de Zano et Naïam à qui Lubna Azabal offre une sensualité lumineuse. Elle ne suffit pas néanmoins à faire oublier un trop grand nombre de temps morts.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Treizième long métrage de Tony Gatlif, "Exils" est sans doute le plus sensuel de tous ses films. Un film sans frontières à découvrir
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
Exils est un formidable voyage à la découverte de soi, un retour aux racines et une traversée vers l'âme. Ce film magnifique est porté par l'interprétation sensuelle de Lubna Azabal et propulsé par une musique galvanisante (...) (critique cannoise)
Aden
Son nouveau film est le plus accompli. Toujours pas tiré au cordeau, mais, bien mieux, porté par la fougue et l'élan de retrouvailles avec l'Algérie de son enfance. C'est la passion du cinéma, et de la vie, qui a été ainsi récompensée au dernier Festival de Cannes (grand prix de la mise en scène).
Cahiers du Cinéma
Avec un scénario, des acteurs et une caméra plutôt que des notes, des vers et une guitare, Guédiguian est une sorte de compositeur parolier interprète appartenant à une tradition française très riche et toujours féconde.
Cahiers du Cinéma
Exils offre une compilation de tout ce que ce cinéma de la Grand'route possède de vif et de mort-né. (...) Pleine mesure d'un cinéma partagé entre impudeur menaçante et digne revendication du documentaire.
Chronic'art.com
Exils ne déroge pas à la règle. Invitation au voyage, apologie de la caméra à l'épaule, une image brute qui n'aime rien tant que filmer les pare-brise crados des vieux bus fatigués, une poésie naïve, très naïve qui contient, grâce à son anti-raffinement, une indéniable dose d'émotion.
L'Humanité
Rythmée par une musique enivrante, cette quête des origines renvoie les héros à une histoire familiale douloureuse au fil d'un parcours initiatique aux accents libertaires. D'une lenteur calculée, juste jusque dans ses maladresses, touchant dans ses digressions, Exils évoque des vies égarées en pleine reconstruction.
L'Humanité
On pourra faire la fine bouche ici et là, dire que c'est parfois filmé à l'estomac ou à l'emporte-pièce (...) Peu importe, un tel jus nerveux, une telle envie de signifier ses hantises avec chaleur à l'aide d'interprètes galvanisés, hissés au meilleur d'eux-mêmes dans le don, cela n'a pas de prix (...)(critique cannoise)
Le Monde
Romain Duris impose son détachement un peu gavroche, qui ne suffirait sans doute pas, à lui seul, à écarter les écueils qui menacent le film. Dans le rôle de Naima, en revanche, Lubna Azabal contribue puissamment à porter les émotions que suscite Exils bien au-delà du plaisir immédiat de la trouvaille ou de la belle image.
TéléCinéObs
La ressemblance avec "Gadjo Dilo"est gênante au début (...) mais il y a une joie, un élan dans ce film à l'air libre, une générosité chez les comédiens et une puissance d'émotion dans certaines scènes qui laissent des traces durables.
Télérama
Sa caméra et ses personnages se frottent au réel pour mieux l'enchanter. Tony Gatlif jette deux amants sur la route de l'Algérie. Un voyage initiatique, primé à Cannes.
Variety
Le film permet aux comédiens de livrer de belles performances. (...) La présence des gitans, la sensualité trouble, les éclairs de musique font de ce film une cuvée plus grisante que d'habitude (...) (critique cannoise)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Exils ressemble parfois à un guide touristique enchanteur et canaille, où le flamenco d'une boîte sévillane cède gentiment la place à un groupe de musiciens soufis entassés à l'arrière d'un bus marocain. Pourtant Exils vaut mieux que ça. Malgré sa naïveté affichée, doublée de roublardise, Tony Gatlif est au fond taraudé par le doute.(critique cannoise)
Première
Exils c'est du cinéma à l'état brut comme en témoigne l'incroyable - mais trop longue - scène de transe finale. A cheval entre fiction et documentaire, ce road-movie sensuel et festif peut cependant dérouter.
Télérama
Exils (...) émaillé de moments forts et de maladresses, avance à l'instinct. Le meilleur : tous les signes charnels jusque dans le rire d'un amour qui va de soi, complice sans être idyllique. Le moins bon : les dialogues qui expliquent et obéissent un peu trop aux lois du formatage. (critique cannoise)
Zurban
Ce retour aux origines, porté par la musique, n'est pas dénué de poésie, mais on regrettera sa sensualité parfois un peu trop volontariste et factice. Notamment dans le jeu de Lubna Azabal (...) Reste une scène finale de transe soufie qui redonne de la matière à un ensemble trop artificiel. (critique cannoise)
aVoir-aLire.com
La musique comme dans les autres films de Gatlif est omniprésente et porte les pas de Zano et Naïam à qui Lubna Azabal offre une sensualité lumineuse. Elle ne suffit pas néanmoins à faire oublier un trop grand nombre de temps morts.