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Dommage que l'histoire de cet embrigadement n'évite pas toujours les raccourcis un peu attendus (...). Au-delà de cette faille, reste une histoire forte d'amitié, qui, si elle vire un peu au mélo à la fin, n'en est pas moins émouvante.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Aussi convenu dans sa mise en scène du romanesque que du politique, ce film, qui se veut spectaculairement utile, se révèle inutilement spectaculaire. La séduction nazie y semble - selon une interprétation causale à bon compte qui est précisément celle du révisionnisme - historiquement fondée, à quarante ans de distance, par la réaction au totalitarisme rouge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Passons sur les Enfants de la colère, qui aborde avec peu de distance l'incarcération de deux jeunes Allemands de l'ex-RDA qui ratent leur fuite vers l'ouest. Du viol des prisonniers à l'entrée chez les néonazis, rien ne nous est épargné.
LES ENFANTS DE LA COLERE se place d'emblée comme le pendant sombre et négatif du beau GOOD BYE LENIN !. On est donc a priori conquis... Malheureusement, le premier film de Winfried Bonengel ne tient pas vraiment ses promesses. S'il nous attache efficacement à ses héros, deux loosers en rébellion contre le régime faute de mieux à faire, il ne parvient pas, à cause d'une mise en scène trop légère, à nous faire comprendre et suivre l'évolution psychologique qui les mène au néonazisme.
Aden
Dommage que l'histoire de cet embrigadement n'évite pas toujours les raccourcis un peu attendus (...). Au-delà de cette faille, reste une histoire forte d'amitié, qui, si elle vire un peu au mélo à la fin, n'en est pas moins émouvante.
TéléCinéObs
Un foufroyant antidote à la malicieuse nostalgie véhiculée par "Good bye Lenin !" (...)
Télérama
Une analyse plus fouillée, une psychologie moins sommaire n'auraient pas nui.
Le Monde
Aussi convenu dans sa mise en scène du romanesque que du politique, ce film, qui se veut spectaculairement utile, se révèle inutilement spectaculaire. La séduction nazie y semble - selon une interprétation causale à bon compte qui est précisément celle du révisionnisme - historiquement fondée, à quarante ans de distance, par la réaction au totalitarisme rouge.
Libération
Passons sur les Enfants de la colère, qui aborde avec peu de distance l'incarcération de deux jeunes Allemands de l'ex-RDA qui ratent leur fuite vers l'ouest. Du viol des prisonniers à l'entrée chez les néonazis, rien ne nous est épargné.
MCinéma.com
LES ENFANTS DE LA COLERE se place d'emblée comme le pendant sombre et négatif du beau GOOD BYE LENIN !. On est donc a priori conquis... Malheureusement, le premier film de Winfried Bonengel ne tient pas vraiment ses promesses. S'il nous attache efficacement à ses héros, deux loosers en rébellion contre le régime faute de mieux à faire, il ne parvient pas, à cause d'une mise en scène trop légère, à nous faire comprendre et suivre l'évolution psychologique qui les mène au néonazisme.