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Un visiteur
3,5
Publiée le 29 février 2012
Un bon film d'action très efficace franchement, c'est sur que le scénario ne casse pas 3 pattes à un canard, mais les scènes de combat sont époustouflantes et on a plaisir à le revoir. Le second volet est autrement plus médiocre.
C'est avec des cascades impressionnantes que "Banlieue 13" lance les opérations. Réalisé par Pierre Morel, ce film d'action brute français montre un gros travail de forme dans ses chorégraphies mais livre également de grosses lacunes dans son script qui s'apparente plus à un récit d'adolescents en mal de sensations fortes qu'à un scénario de film. C'est donc en cette occasion que l'on découvre police stéréotypée, mafia parodiée et gros méchants pas contents. Jonglant plus ou moins bien sur un rythme bien construit, Cyril Raffaelli et David Belle enchaîne les prouesses corporelles en boxant, sautant et grimpant tout ce qui se dresse sur leur passage. Divertissant par moment, "Banlieue 13" reste tout de même très primitif dans son écriture et c'est ce qui restera tristement de ce long-métrage à l'arrivée du générique final.
Production Besson «nienne », Pierre Morel à la réalisation tombé par accident au commande de cette production. Besson dans sa grande générosité lui fait lire le scénario et lui propose en baptême du feu de le réaliser… Une nuit de réflexion, une question qui le taraude, une blague en guise de réponse de Besson et voilà comment un directeur de photographie se retrouve jeté dans le monde du cinéma… « Jeté » car après avoir réalisé une merde comme ça, il va falloir ramer pour refaire surface ! Film prophétique ou pas, Morel se refuse à cataloguer son projet de « film de banlieue » et même s’il le décrit plutôt comme un film politique-fiction en pensant que « (…) le devenir de ces banlieues pourraient ressembler à ceci dans quelques années si personne ne fait rien » m’a beaucoup amusé car réussir à justifier de l’intérêt de son film et de son improbable scénario comme future ligne directrice d’un combat politique n’est qu’une connerie de plus dans la longue liste des absurdités de « réalisateurs et acteurs» ! Je m’emporte et m’éloigne du sujet quoique peu intéressant tant il n’y a rien à garder dans cet imbroglio scénaristique. Le jeu est mauvais, débile et d’une simplicité déconcertante mêlant le gentil flic (Cyril Raffaelli) prêt à se dévouer corps et âmes pour la justice et la tolérance (c’est beau…) et son compère naïf (David Belle) dans sa quête de vengeance face à un méchant désabusé interprété par Bibi Naceri. Outre des cascades impressionnantes réalisées sans trucage ne rappelant que le désastreux « Yamakasi », parcours urbain auquel David Belle a donné naissance, il n’y a rien à sauver de ce film ou "essai" pour Pierre MOREL. Passer votre chemin…
Inutile de faire long pour critiquer ce film, vu que le réalisateur n'a pas dû en passer beaucoup plus pour le peaufiner. Pour faire bref: acteurs miteux, scénario affligeant, dialogues consternants et scènes d'action minables. Un seul très vague intérêt: quelques jolies cascades mais ce n'est absolument pas assez pour faire tenir un film debout. Couplez à ça du rap français en guise de bande son et vous obtenez un bon gros produit culturel français à l'état bouse.
Un film qui se laisse regarder ! Notamment grâce a ses cascades impressionnante ! Certes le scenario n'est pas au top, mais le film est bon. De plus c'est un film Français, chose rare dans le genre action !
Un film d' action qui mélange des art martiaux et un sujet d' actualité bien connu aujourd' hui. On pourrait s' attendre à un nanard exposant des scènes de combat et de cascades suréalistes, mais non! Les cascades ont été realisées sans trucages ni retouchage informatique, avec seulement de simples filets de sécurité. Concernant le scénario, on va pas le critiquer, il est simpliste et prévisible. Pour ce qui est la miseen scène, c' est bourré de clichés américains (contre-plongée derrière un canon de pistolet, etc... ) Les dialogues ne sont pas très recherchés et sont sourtout composés de blagues primaires et d' insultes inutiles. Pour conclure, Banlieue 13 reste un bon film d' action à voire pour ses poursuites et son ambiances qui rend pas mal, pour le reste, c' est cliché, réchauffé, mais on ne va pas voir un film d' action pour son scénario.
Wesh, ça vous dit genre de voir un film d'action à la française façon Kaïra. Genre le scénario est écrit par un môme de dix ans, on y entend que des insultes et on accumule les clichés des grosses prod américaines. Bah si vous voulez voir ce qu'est capable de faire la France en terme de film d'action, ce film est pour vous.
Un film qui ne s'est pas embêté avec les intrigues superficielles, c'est donc de l'action du début à la fin qui a le mérite d'être assez bien mise en scène. La réalisation a fait du bon travail, avec de bons plans, de la vitesse, une bande originale ultra-simple mais qui colle aux images pour maintenir la tension. Les deux acteurs principaux sont bons dans les poursuites et cascades, mais moins crédibles en conversation... Ceci est aussi dû aux dialogues qui se veulent rapides, puissants, voire philosophiques ; en pure perte puisqu'ils dénaturent certains passages et n'ont finalement pas d'intérêt particulier. Le scénario rappelle un peu "New York 1997", une dose de vitesse en plus mais beaucoup d'autres choses en moins... A voir quand on a soif d'action et pas envie de réfléchir.
Super film Le scénario est bien, les acteurs sont (très) bons, les scènes d'actions sont bonnes et les scènes de poursuite, sont ... comment dire ... absolument, incroyablement, superbement géniales Un vrai chef d’œuvre du course-poursuite. Un peu cliché sur les banlieues, mais sans ça, il n'y aurai pas de film ... vraiment excellent, à voir et a revoir.
C'est, certes une immonde daube mais qui n'est tout de même pas dénuée d'intérêt, je ne l'aurais pas regardé sinon étant en connaissance du talent de Luc Besson. La seule chose à retenir, ce sont les dialogues : - C’est pas possible Leïto ! On tue pas 2 millions de personnes sous prétexte qu’on arrive pas à résoudre leurs problèmes. - On en a bien tué 6 millions sous prétexte qu’ils n’étaient pas blond aux yeux bleus !
20 million, ça fait 10 euros par tête, à peine le prix d’un happy meal !
Rien que pour cela ça vaut le coup de le regarder (enfin uniquement gratuitement). Et encore, ce n'est qu'une mise en bouche.
Scénario prévisible sans aucun intérêt, mais les scènes d'actions et surtout les parkour sont vraiment terrible c'est tout ce que je retiens de ce film
En lui-même, le film est plutôt moyen, les scènes d'action sont trop longues, et assez ridicules (oui, les héros peuvent courir, sauter à travers des fenêtres, peuvent faire des combats en passant leur pied derrière leur tête avec leur main dans le dos et l'autre main se grattant la nuque...mais bon, c'est amusant 5 minutes), les dialogues sont ahurissants de bêtises mais bon, on ne s'ennuie pas trop durant le premier quart d'heure...
Mais lorsqu'intervient le personnage le plus ridicule de toute l'histoire du cinéma français, j'ai nommé Carlos Montoya, on atteint des sommets... La scène est longue, abrutie et totalement superflue. Marc Andreoni est mauvais comme on ne peut l'imaginé et on pense alors tout de suite à une parodie des Inconnus...Il ne faut pas non plus oublier toute l'espèce de revendication sur l'abandon des banlieues (ridicule, le leitmotiv de ce film) qui donne à ce film le ton politiquement correct et nauséabond que je lui critique. J'ai rarement vu un film aussi mauvais, dû à cette idée idiote d'en faire un film à revendication. A noter l'apparition de Ludovic Berthillot qui prépare son rôle dans le film Black, 5 ans avant, tout comme celle de MC Jean Gab’1 qui a peut-être la phrase la plus drôle du film : "Ici c'est pas Monaco, ici c'est Baghdad...". Le pauvre, être réduit à dire ça après avoir prouvé ses qualités de parolier avec le jouissif J’t’emmerde.
Après Samouraïs de Giordano Gederlini, on a trouvé la nouvelle honte du cinéma français. Ce film a perdu de l'argent et a malheureusement engendré une suite que je n'ai pas encore vue...
Assez aberrant et invraisemblable, mais pourquoi pas, un scénario à l'avenant, écrit à l'américaine, sur des bases de sable mouvants, cependant ça fonctionne. Des acteurs de seconde zone (une copie grise de Sami Naceri, devant et derrière la caméra), un jeu limite pitoyable, summum de la Bessonnerie, et évidemment la présence féminine indo asiatique qui nous rappelle qui est le producteur, au cas où les effets incessants de caméra nous l'aurait fait oublier. Cependant... c'est un très bon film d'action, des cascades de Yamakasi confirmés qui font plaisir à voir, bien filmés, des gros bras aux têtes d'assassins de salle de muscu qui défilent comme sur un podium, de l'humour bas de plancher, mais de l'humour quand même, avec un peu de trouvailles scénaristiques (quoique d'une finesse qui s'apparente à une poutre en chêne). Contrairement à l'insupportable et invraisemblable queue de "Taxi" (2 et 3), ici on a ici une atmosphère construite, de la très bonne action et un peu de morceaux de bravoure, parfois presque... de la psychologie. Il caresse son public, les jeunes des cités, dans le sens du poil, mais avec un peu plus d'intelligence que d'habitude. Un divertissement en somme.
ce nanar d'action made in France aurait pu être plus convaincant car en dépit des cascades spectaculaires et des scènes de combats survitaminés, l'intrigue de banlieue 13 est expédiée comme un bidon de lessive et se termine en une pseudo morale bien pensante sur les banlieue françaises, à éviter d'urgence si vous cherchez un film intéressant mais si vous voulez mettre vos neurones à zéro c'est le nanar parfait.