Je n'ai pas aimé ce film, en fait, je m'attendais à mieux ou plutôt, j'espérais que c'était mieux que ce que l'on voyait dans la bande annonce mais non, en gros la police laisse les "méchants" se débrouiller entre eux, elle a même carrément construit un mur autour d'une "cité" super "chaude". Dans ce quartier, il y a un mec censé être un "méchant" qui est contre la traffic de drogue et qui s'avère être en fait un gas super idéaliste qui veut sauver son quartier et un flic qui lui par contre ressemble à une vieille racaille, j'ai trouvé mais qui est très démago, enfin un mélange très bizarre et un film décevant. Sinon, point de vue cascade, c'est très bien, effectivement, l'inventeur du sport "le parcours" et maître en quelque sorte des Yamakasi se débrouille vraiment très bien et c'est un ravissement pour les yeux mais pour ce qui est du scénario, ça reste très moyen...
"Banlieue 13" avait du talent a revendre. Avec le roi du "Parkour" en tête d'affiche, le film promettait des scènes de cascades intenses. Malheureusement, on déchante très vite devant le scénario faiblard qui ne sert que de prétexte pour de la castagne pure et dure. Certes, ces scènes là sont particulièrement réussi mais cela ne compense nullement la faiblesse du scénario et le jeu d'acteur. Même si le film n'est pas du grand cinéma (il n'en a pas la prétention d'ailleurs), on se divertit pendant 1h30 et on ne s'ennuie pas. Et ça, c'est un signe qui ne trompa pas !
Quoi ??!!? J'ai aimé !! Nan, sérieux, c'est digne d'un bon film d'action américain, avec une petite touche en plus, le côté lourdingue en moins. Le message que le scénariste veut faire passer : l'état s'occupe pas de la banlieue est un peu simpliste et Bessonien, mais comme le film a le bon gout de pas en rajouter, ça passe comme une fable. Sinon le film est rythmé, avec des trucs amusants comme le rat qui s'échappe du mur de la banlieue, ou le bisou de la soeur pour s'assurer la visite de "Damien". L'acteur qui joue "K2" ( Tony D'Amario) est vraiment excellent. Je susi pas un gros fana de rap, mais la musique accompagne bien le film. Au final, je suis agréablement surpris :-) Un peu comme je l'ai été pour "le baiser mortel du dragon".
Encore une production Besson, trés "discrimination positive", bourrée de clichets banlieusards bidons pas du tout stylés ! Seul intérêt ? les cascades vertigineuse de l'ex-Yamakasi (d'où étoile). Sinon, dialogues creux et ridicules, personnages bouffons et hystériques (comme dans presques toutes les prod besson...), scénario complaisant et ininteressant... Bref, une bouse...
tout simplement pourrie, même si il faut reconnaitre l'habilité des deux adeptes de parkour, le jeu d'acteur est vraiment, mais vraiment nulissime et pitoyable, et cette caricature de la banlieue est à vomir. encore une prod bessonnienne et europacorp qui laisse à se demander quand il arriveront à faire un film sortant des clishé, comme besson a su si bien le faire par le passé.
Comme d'habitude. Les noirs, les arabes etc sont des racailles. Les blancs des skins. De quoi hatiser la haine. De plus, des policiers et des militaires tous blancs alors que ça se passe en banlieue parisienne où il n'est pas rare de voir des patrouilles sans aucun blancs. Ah oui, un arabes chez les flics, le bras droit du chef, mais corrompu bien sûr. Et puis, les flics en prennent plein la gueule. Pas fort, pour un pays dont les policiers sont les moins respectés et les plus mal payés d'europe occidentale. Conclusion, les non blancs tous des racailles, les blancs tous des skins et les flics tous blancs, corrompus et sans cerveau. Bravo. Vive la France! Tu m'étonne que ça ne soit pas sorti en banlieue.
L'idée aurait put être bonne mais elle à été incroyablement mal mené par un scénario des plus conventionnel. Le message passe mal car il se résume à "c'est eux les méchants et nous les gentils mais on cours sur les murs alors on va gagner". Ce film n'aura servi qu'a montrer le talent de Cyril Raffaelli et David Belle (au moins dans la cascade).
Bien que je n'aime pas ce film, je le conseil tout de meme au fan de tony Dja et Yamakasi.
Pierre Morel nous livre un film d'Action plutôt bien réaliser qui laisse penser que les films d'Action Français peuvent être réussi. Un certain Luc Besson comme scénariste rien d'étonnant. L'histoire est bien trouver, on se dit presque que l'on pourrait voir sa dans quelque année, j'espère que non! On a droit au sosie de Titoff comme principal. Bon film d'action à mais à ne pas voir d'urgence.
Paris, 2013. Damien est l'élite de la police. Officier d'une unité spéciale d'intervention, expert en arts martiaux, il est passé maître dans l'art de l'infiltration et sait mener à terme ses opérations par des actions rapides, précises et néanmoins musclées. Et c'est bien la mission la plus extrême de sa carrière qui vient de lui être confiée : une arme de destruction massive a été dérobée par le plus puissant gang de la banlieue. Damien est chargé d'infiltrer dans le secteur pour désamorcer la bombe ou la récupérer. Pour Pierre Morel, "Banlieue 13" est synonyme de baptême du feu. Après avoir été directeur de la photographie sur Le "Transporteur" et "L'Américain", et cadreur pour "La Vérité sur Charlie" et "L'Art (délicat) de la séduction", il se frotte pour la première fois à la mise en scène. Ce long-métrage se présente sous deux aspects. De prime abord, la première ambition de "Banlieue 13" consiste à se prétendre divertissant un tant qu'honorable film d'action. Le savoir faire Pierre Morel est indéniable, fraichement émancipé de l'école Besson, ce cinéaste parachève un mise en scène qui ne ménage pas ses effets de style. Toutefois il aurait été plus sage d'orchestrer des scènes d'actions, plus resserrées, moins tirées en longueur et surtout, moins saccadées. "Banlieue 13" s'apparente également à une politique-fiction. Filmé dans les quartiers les plus glauques de Roumanie, cette relecture de "New-York 1997", propose un message politique passablement fumeux pour certains, et prédicateur pour d'autres. On déplore le parti pris et la faiblesse d'un propos dénué d'intelligence et de passion. L'excès d'unilatéralisme nuit à la dimension politique, le film se contente d'aligner scolairement les séquences chocs et démonstrative, à défaut de n'être guère capable de traiter un sujet sensible avec nuance. Des combats, certes, soignés, impressionnants ; l'ensemble reste, hélas, très anecdotique.
Une étoile pour l'action et les cascades à la Yamakazi. Le reste n'est qu'une succession de clichés, d'acteurs pourraves, de démagogie, de dialogues débiles, et Besson nous envoie un message douteux... Bref, à regarder avec des potes en picolant histoire de se marrer.
OK le scénario du film tiens sur un post-it rédigé au coin d'une table, OK on accumule les clichés et les stereotypes sur les banlieues. Mais ce n'est pas la que réside l'interet de ce film. Faisant fi de tout cela, il suffit de se régaler des scènes d'actions percutantes, d'un méchant des plus amusant et d'un duo Belle/Raffaelli qui fonctionne bien. Une fois le cerveau débranché, on découvre un très bon divertissement.