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dug99
34 abonnés
91 critiques
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0,5
Publiée le 9 février 2011
Le meilleur exemple des production jambon europa corp, le film alimentaire: au rayon charcuterie de voudrais des acteur charismatique comme une terrine fleuri michon, une réalisation sandwich sodebo et un scénario jambon reconstitué. Ca nourri mais c'est franchement immonde Moi j'ai vomi avant la fin du repas trop gras trop lourd trop faisandé. estomac fragile ne tenter pas l'aventure.
Après de nombreuses expériences (Wasabi, Yamakasi, Taxi et autres conneries) L’apprenti sorcier du cinéma français, Luc Besson, inventa la technique qui lui permettrait de déféquer directement sur la pellicule et ainsi obtenir un film en moins de 9 mois (Respect). Technique magnifiée par le méphitique Banlieue 13. Je passe sur les acteurs nuls (Bibi Nacéry a une gueule d’acteur mais il ferait mieux de la fermer vu comment il joue), la réalisation clipesque, la photo moche pour aller directement dans le cœur de la meule pourrie de ce banlieue 13, le message insidieux qui se cache derrière cette diarrhée Bessonienne. Dans ce film, les cités sont gouvernées par des bandits, les honnêtes gens subissent de terrible pressions (fusillades et viols de petite sœur) la police n’entre plus dans les quartiers, les écoles ferment, tout le monde adore le tuning. Y’a une bombe atomique et c’est pas bien…. Non, ce film n’est pas correct, il ne représente absolument pas le monde des banlieues passé présent ou futur, tout au plus il ressemble au plus racoleur des « droits de savoir ». Non ce film ne défends pas les cités contre « les méchants politiciens qui veulent rien qu’à faire des choses méchantes ! », non, ça n’est pas logique cette histoire de bombe. Non, le gars qui fait le mafieux au début ne sait pas imiter l’accent hispanique. Non, ce film ne présente pas une image réaliste de quoi que ce soit, même Bibi Nacéry qui respire, ça n’a pas l’air réaliste. Non, la présentation de ce genre d’œuvre n’est pas innocente, elle conforte les racistes et xénophobes de tout poils dans leurs préjugés sur les banlieues ou sur l’Etat, un genre de film qui pratiquerait la rupture avec le bon goût tout en pratiquant l’ouverture avec les idées les plus scandaleuses de démagogie, d’où quelle viennent, donc, nous sommes en droit de nous demander : à qui profite le crime ?... Avis aux amateurs 4 étoiles.
Production Besson «nienne », Pierre Morel à la réalisation tombé par accident au commande de cette production. Besson dans sa grande générosité lui fait lire le scénario et lui propose en baptême du feu de le réaliser… Une nuit de réflexion, une question qui le taraude, une blague en guise de réponse de Besson et voilà comment un directeur de photographie se retrouve jeté dans le monde du cinéma… « Jeté » car après avoir réalisé une merde comme ça, il va falloir ramer pour refaire surface ! Film prophétique ou pas, Morel se refuse à cataloguer son projet de « film de banlieue » et même s’il le décrit plutôt comme un film politique-fiction en pensant que « (…) le devenir de ces banlieues pourraient ressembler à ceci dans quelques années si personne ne fait rien » m’a beaucoup amusé car réussir à justifier de l’intérêt de son film et de son improbable scénario comme future ligne directrice d’un combat politique n’est qu’une connerie de plus dans la longue liste des absurdités de « réalisateurs et acteurs» ! Je m’emporte et m’éloigne du sujet quoique peu intéressant tant il n’y a rien à garder dans cet imbroglio scénaristique. Le jeu est mauvais, débile et d’une simplicité déconcertante mêlant le gentil flic (Cyril Raffaelli) prêt à se dévouer corps et âmes pour la justice et la tolérance (c’est beau…) et son compère naïf (David Belle) dans sa quête de vengeance face à un méchant désabusé interprété par Bibi Naceri. Outre des cascades impressionnantes réalisées sans trucage ne rappelant que le désastreux « Yamakasi », parcours urbain auquel David Belle a donné naissance, il n’y a rien à sauver de ce film ou "essai" pour Pierre MOREL. Passer votre chemin…
Les + : -L'action pire qu'impressionnante (les cascades,poursuites et autres fusillades) -Les dialogues mordants (L'apparition de Mc jean gab'1) -Plutot rythmé -Les chorégraphies des combats irréprochables.
Les - : -Le jeu d'acteur laisse parfois a désirer mais pour la plupart sont des cascadeurs. -Lé théme de l'intolérance envers les banlieues trop peu développé.Ca aurait pu etre un trés bon film d'action doublé d'une reflexion sur l'intégration.
En conclusion : Un trés bon film d'action largement au dessus de certains films américains mais a la morale juste un peu simpliste.Les fans d'action a couper le souffle comme moi seront loin d'etre decus par contre.
Bon quand on regarde ce genre de film on sait qu'il faut mettre son cerveau sur off, mais ici le scénario et tellement mauvais et prévisible que ça ne passe pas.
Quand la machine Besson est en marche... Rien de bien nouveau dans ce film d'action à la française : acteurs, musique, réalisation, dialogues, humour, tout est au ras des pâquerettes. Eh oui !, quel manque d'originalité ! Alors, si l'on est un peu condescendant, on se contentera des chorégraphies qui, à l'instar des Yamakasis, sont assez bien foutues et qui font qu'on peut essayer de ne pas décrocher. Yes men. Explications. Luc Besson connaît son cinéma. Après avoir dominé les années 1990 (Le grand bleu, Nikita, Jeanne d'Arc), il revient dans les années 2000 pour plaire à ce jeune public générationnel. En résulte la saga Taxi (avec un premier opus très divertissant), Yamakasi, Wasabi, des petits films français qui visent à ce que le réalisateur de Léon ne tombe pas dans l'oubli et l'assure du financement de sa société de production (tout comme ses productions à l'exportation, telles Le transporteur). Ah oui !, j'oubliai son Arthur et ses minimoys, franc succès au box-office français, suivi donc du Transporteur. Depuis, Luc Besson est une marque de fabrique qui s'intéresse au cinéma pour mettre en confiance ce jeune public. Oui, Banlieue 13 fait assurément partie de ce package qui n'a ainsi rien d'intéressant à se mettre sous la dent (si ce n'est l'action non-stop). A voir donc, si l'on y arrive, au douzième degré, et même si le sceau de pop-corn est difficile d'accès (comme mettre ses yeux au fond du sceau pour bien vérifier qu'on a tout bien terminé). Luc Besson, quand tu nous tiens !
J'ai eu l'impression d'être devant un film porno où les scènes de sexe auraient été remplacées par des scènes d'actions : l'histoire est ridiculement pas développée et ridicule, et les acteurs sont très mauvais. Un film vraiment à voir que pour les scènes d'action.