Derniers Avis : Ong-Bak - Page 3

C'est dommage, s'il y avait eu un scénario, une intrigue intéressante, du rythme, des personnages secondaires attachants et un montage réalisé par un professionnel, ça aurait été un bon film... Non, sans blaguer, on est bouche-bée devant les scènes d'actions ahurissantes mais frustré par la faiblesse du reste. Un élément m'a choqué : les ralentis sur les scènes d'actions. C'est tellement risible !

Un film d’action médiocre d’une longueur interminable basé sur un scenario inexistant ou simplet au possible, rendant un film sans âme avec des combats, des scènes d’actions et cascades bonnes mais sans saveurs, sans but et sans intérêt, mais aussi surjoués et pas crédible, en réalisant des sauts et figures irréalistes. Le tout avec un casting pas terrible, des dialogues niais, une musique entraînante mais monotone, des effets spéciaux calamiteux … On ne peut qualifier ça d’arts martiaux, ce serait salir le terme. Aucun intérêt cinématographique, aucun intérêt sport de combats. Le seul but est de montrer des gens se taper dessus sans raison. Du grand n’importe quoi.

Fan inconditionnel d'arts martiaux, je n'ai donc pas manqué de voir Ong Bak.

L'histoire et le scénario, disons le franchement, sont nuls, ils ne servent de prétexte pour mettre en valeur les superbes qualités athlétiques de Tony Jaa. En effet, les cascades, les acrobaties et les combats sont de toute beauté! Un réel plaisir, même plus de 10 ans après sa sortie, je ne me lasse pas de regarder ce film.
Côté jeu d'acteur, Tony a encore BEAUCOUP de travail à faire, par contre une mention spéciale au second rôle, Petthai Wongkumlao, il porte le film à bout de bras. Il amène tout l'humour dont le film a besoin pour palier le pauvre scénario. J'ai fini par m'attacher à son personnage roublard, petite frappe sans envergure, mais finalement comprend la quête du héro et va l'aider...

Bien que le film souffre d'un budget limité (par rapport à Hollywood, quelques scènes manquent cruellement de lumière), j'ai trouvé la mise en scène correcte, et les prises de vue pas trop mal. Avec quelques clins d'oeil par messages écrits à Luc Besson, si, si, je ne vous dit pas où, cherchez!! ;-) ...A la fin, on passe un moment symphatique malgré la légèreté de l'histoire, on pardonnera pour cette fois :-)

Un petit film à la réalisation bancale mais qui malgré sa violence et ses scènes de combat bien réalisées arrive à faire partager des valeurs de paix et de non violence.

excellent film, un peu d'humour, des combats et des poursuites spectaculaires

Arts martiaux et action, voilà l'essentiel de ce film. C'est bien au début mais il y a surdose.

Bon, soyons clair, contrairement à ce que pensent les 150 personnes passées avant moi, ce n’est pas un chef-d’œuvre. Le début m’a fait un peu peur, avec un doublage français dont le ton tend à faire passer les gens issus de la ruralité plus pour des neuneus plus qu’autre chose. Mais à la quatorzième minute, la sonorité change du tout au tout en même temps que nous changeons de monde en arrivant en ville. Sur un scénario au parfum de déjà vu, ce film thaïlandais joue la carte du spectaculaire. Bien que les dialogues soient parfois de qualité médiocre dans la teneur des propos, on suivra avec un certain intérêt la mission dont Ting (Tony Jaa) s’est chargé, intérêt qui s’en retrouvera décuplé dès le premier combat. Enfin… si on peut appeler ça un combat… Le fait est que les scènes de combat sont très dynamiques et possèdent une chorégraphie très élaborée et esthétique. Tony Jaa parvient à impressionner tellement ça paraît facile, en gardant ce calme typiquement asiatique des gens sages envers et contre tout, y compris en phase de combat. Admiratif devant cette insolente maîtrise, je ne peux m’empêcher de déplorer cette manie qui a été prise de répéter parfois à l’infini certains coups donnés lors des combats, ou certaines phases acrobatiques, voire même de les répéter au ralenti. On a voulu amplifier le côté spectaculaire ? C’est évidemment une intention louable, mais cela casse un peu le rythme du film, et c’est pour cela aussi que "Ong-bak" reste purement et simplement un film d’arts martiaux. On louera cependant la mise en avant des us et coutumes ainsi que des croyances des populations locales que le monde occidental ne connaît pas ou peu, et que le monde en général, tout du moins celui qui est gangréné par la cupidité, bafoue en vertu d’un certain profit.

Ce film est très bon et les scènes de combats sont parfaitement mise en scène. Malheureusement, la suite de la série est pitoyable.

Ong-Bak : Un film qui faut dire m’avait sacrément bluffé et impressionné à l’époque. C’est très nerveux et stupéfiant : vraiment les combat sont terriblement efficace dans ce film : brute, dur, nerveux, magistralement bien mit en scène et d’une violence inouïe : Grâce a un style de combat qui fait dans le redoutablement efficace. Grâce a un nouveau dragon au cinéma : Tony Jaa qui est vraiment très, très fort. Il est d’une puissance, d’une agilité et d’une nervosité qui me rappelle Bruce Lee. Vraiment, il a la même détermination/niake que Bruce Lee et il impose sont style de combat brute et nerveux (avec les coups de coudes, les acrobaties impressionnante…). Car vraiment, les scènes d’action sont époustouflante de réalisme, on dirait vraiment qui frappe, on ressent les coups de poing et tout : c’est saisissant. Et il faut dire que les scènes d’action et de combat sont assez varié : cours poursuit, acrobatie, scène de combat dans différent lieux… Et puis, c’est aider par une réalisation qui envoie du lourd : on a le temps de voir l’action, de voir les magnifique combat et acrobaties. Et la mise en scène est vraiment superbe : de jolie ralenti et de excellent retour en arrière pour voir un moment sous différent angle : vraiment énorme ça. Ensuite niveau scénario : on se laisse prendre dans cette quête pour retrouver la tête de ong bak. Scénario classique mais sympathique et divertissement. Mais le principal, c’est les scènes d’action qui sont juste énorme. Les acteurs sont convaincant, pas tous. Mais Tony Jaa est vraiment excellent et très impressionnante. Voila, un film qui faut vraiment le coup d’œil rien que pour les scènes d’action qui sont époustouflante. Je vous conseil vraiment ce film car c’est un chef-d’œuvre du genre art martiaux : un coup de cœur.

Film très osez mais génial dans son genre, il ne faut pas le prendre comme un film de combat réaliste et vous passerez un très bon moment, profitez en car le 2 et le 3 sont des navet complet, c'est incroyable de cacher un tel film. Je conseille fortement le 1.

Ong Bak, je crois que c'est de loin le film d'arts-martiaux qui m'aura le plus impressionné. Les combats sont stupéfiants de brutalité. Puissant !

Un bon film qui nous montre le destin de ting qui ont évolué de manière diferente . Les séné de combat son setaculaire et très bien travailler

L'intérêt premier de "Ong-Bak" vient de l'emploi et de la mise en lumière du Muay Thaï (un art martial thaïlandais) dans un long métrage d'arts martiaux. Cela nous change du kung-fu, de la boxe et compagnie privilégiés dans les autres films du genre. Cet apport est d'autant plus intéressant que le Muay Thaï s'avère impressionnant (merci à Tony Jaa pour son entrainement assidu) et assure le spectacle. En revanche, "Ong-Bak" ne se définit que par cette nouveauté et, en l'absence d'un scénario correct et de variétés dans les scènes d'action, finit par tourner en rond. On se trouve donc face à un pur divertisement (pas de problème de ce côté là) mais qui ne va malheureusement pas au delà.

Malgré son scénario plus que simplet comme les nombreux films du genre, Ong-Bak tire son épingle du jeu en faisant découvrir le talentueux Tony Jaa qui crève littéralement l'écran à travers de l'action propre comme bien dosée au fil d'une course contre la montre menée à tambours battants d'une bande sonore excellente. À consommer sans modération.

Je vois déjà bon nombre de fans qui me regardent, de leur œil du tigre, prêts à me faire passer un sale quart d’heure pour avoir donné une telle note à l’un des films d’arts-martiaux jugés comme les plus mémorables de ces dernières années. Mais croyez-moi : donner une notation à ce genre de divertissement, c’est plutôt une tâche ardue ! Car il faut choisir entre le spectacle de combats et tout bonnement le film. J’ai choisi la seconde option, que cela vous plaise ou non !

Alors, pour calmez les esprits, commençons par les atouts d’Ong-Bak : les séquences de combats. Cascades réalisées sans effets spéciaux. Tony Jaa qui se donne à fond, corps et âme, dans des prouesses arts-martiales indiscutables. Une énergie folle qui se fait ressentir à chaque instant où les coups pleuvent comme du petit pain. Des scènes qui durent suffisamment longtemps pour que le spectateur puisse en profiter comme il se doit. Oui, il n’y a vraiment pas à dire : Ong-Bak est véritablement un divertissement fait pour tous les mordus de castagne asiatique. Leur proposant un concurrent potentiel à Jet Li et consorts (ne citons pas Bruce Lee pour éviter le blasphème) en la personne de Tony Jaa (même si les techniques diffèrent).

D’accord, je ferme également les yeux sur le pitoyable scénario qu’offre le film. Soit un simple fermier quasi invincible au combat qui part en ville retrouver une tête de Bouddha enlevée dans son village. Qui devra faire équipe avec un de ses semblables reniant ses origines, face à des trafiquants d’arts. Une histoire qui ne vole pas bien haut, d’autant plus que le personnage de Tony Jaa (Ting) n’est présent que pour distribuer des coups, rien de plus ! Pas travaillé, pas d’histoire… rien ! Alors que celui de Petchtai Wongkamlao (George) possède un passé qu’il désire enterrer, lié à la relation avec son père. Le film s’intéresse quelques minutes à celle-ci, sans jamais réussir à lui faire prendre de l’ampleur à nos yeux (étant racontée n’importe comment, image sombre, musique douce trop appuyée en fond).

C’est sans doute l’un des plus gros défauts d’Ong-Bak qu’est représenté via cette relation. Celui de se prendre au sérieux. Et malgré quelques passages qui se veulent comiques (comme quand George joue les lâches face à l’adversité), le film garde constamment son air mature alors qu’un humour bon enfant ne lui aurait pas fait de mal. Histoire d’alléger le tout et de rendre les personnages un chouïa attachants. Qui, franchement, ne sont pas aidés par leur comédien respectif, tout simplement inexistant. Encore une fois, Tony Jaa est là pour se battre. Et on sent en lui cette envie pressante d’affronter quelqu’un. Il doit pourtant patienter entre chaque séquence, faisant office d’acteur de seconde zone, et cela se sent malheureusement.

C’est là que je vous entends hausser la voix ! Il est vrai qu’Ong-Bak est un long-métrage calibré comme tel : l’histoire a beau être nulle, les interprètes moyens, il n’empêche que cela reste un film de combat, donc on veut du combat ! Ce n’est pas moi et mon coup de cœur, dans un autre genre, avec la saga Transformers qui vont vous faire la leçon (je veux voir des robots qui se battent, le film ne livre que des robots qui se battent, oubliant le reste mais on s’en fiche royalement !). Alors pourquoi ne pas remonter la note de cet Ong-Bak et le considérer comme un film de combat comme les autres ? Eh bien, à cause de la mise en scène, qui gâche le spectacle d’anthologie que cela aurait pu être.

Les combats ont une énergie de malade, mais pas la caméra qui suit les mouvements des protagonistes. Elle reste plantée là, à filmer la scène. Alors qu’elle aurait très bien pu bouger (portée à l’épaule) pour donner encore plus de vitalité à l’ensemble. Mais non, le seul effet qu’elle procure, c’est cette sensation de voir des pirouettes hautement chorégraphiées, qui perdent en crédibilité (on voit que le combattant frappe dans le vide, le cascadeur faisant un geste – comme reculer subitement sa tête – pour simuler le coup qu’il prend). Heureusement que le montage arrange les choses. Mais même de ce côté-là, le film en fait trop ! Notamment avec certaines cascades qui se répètent sous nos yeux au moins 3-4 fois en quelques secondes. Comme si nous n’avions rien vu ni compris de ce qui s’était passé à l’écran. Un effet qui peut être sympa s’il est utilisé à bon escient, mais pour Ong-Bak, cela frôle la surdose ! Au point que certains combats se transforment en clip, c’est pour dire ! Et enfin, ne parlons pas de la musique, qui gâche amplement ces mêmes scènes, renforçant justement cette allure clipesque.

Voilà pourquoi Ong-Bak ne restera pas pour moi un grand film d’arts-martiaux. Les cascades ont beau être ahurissantes, si la mise en scène ne les met pas correctement en valeur, ce n’est même pas la peine d’en faire tout un plat ! D’autant plus qu’avec ce constat en tête, il en devient difficile de fermer les yeux sur tous les autres défauts dont on aurait très bien pu oublier en regardant le film. Tant ils ne sont pas la priorité première dans ce genre de divertissement. Vraiment dommage, car Ong-Bak avait de quoi mettre K.O. !