Avis : Ong-Bak - Page 5

Enfin un bon film de "kung fu" à la Bruce Lee. C'est-à-dire avec des combats précis et lisibles, et pas des combats avec des coups qui vont exagérément trop vites comme les films de Jet Lee ou autre Jackie Chan.

Les film d'arts martiaux mème avec Bruce Lee ont toujours eu un scénario tres tres simple et répétitif. Ong bak n'y fait pas vraiment exeption mais il y a quand mème de l'amélioration. Tant niveau combat aussi réalistes que réussit, que courses poursuites tres distraillantes. une révélation surtout pour les grand fan d'arts martiaux.

Un film d'arts martiaux qui rempli son contrat avec de très belle chorégraphie de combat et un peu plus violent qu'à l'accoutumé.

Mauvais...

On passera sur la réalisation quelconque d'Ong-Bak et son scénario passe-partout car ce film d'action (faisant penser à ceux des eighties) est très divertissant ; la maîtrise des scènes de combats nous impressionne de plus Ong-Bak possède quelques sympathiques course-poursuite et un humour pas déplaisant.

Je n'aurais jamais pensé mettre 1 étoile pour ce film, la bande-annonce m'avait scotché et c'était avec impatience que je voulais voir ce film, résultat j'en ressors morose et dégouté. L'acteur principal a des capacités et il gravira les échelons comme Jet Li ou Jackie Chan, ça il n'y a aucun doute, pour ce qui est du film un scénario comme ça ne devrait plus se voir de nos jours, même dans les moments dramatiques on rit, les acteurs sont plus ou moins amateurs (la grand-mère qui pleure c'est extraordinaire, j'avais jamais vu ça avant). Besson a retouché des scènes (encore des taxis c'est affligeant :-( ), la musique (merci pour tragédie au générique, g cru que j'allais vomir, en tout cas je suis parti en courant), alors s'il vous plait M.Besson remettez vous en question et ARRETEZ de produire et tout vouloir diriger, un film que les fans d'art martiaux doivent éviter mais qui plaira aux simples d'esprit issu de quartier difficile, c'est le public de Besson remarquez ;-)

Un petit film à la réalisation bancale mais qui malgré sa violence et ses scènes de combat bien réalisées arrive à faire partager des valeurs de paix et de non violence.

Ahhhh ! La belle époque des Banlieue 13, Roméo doit mourir, Danny The dog... Ong Bak ! J'avais 13 ans quand le film est sorti et je baignais dans les Bruce Lee & les Jackie Chan, alors autant vous dire que j'étais impressionné ! Ce film m'a clairement marqué et quand j'avais appris que c'était lui qui faisait toutes ses cascades... Tony Jaa a clairement été une découverte avec ce film, mais je suis déçu qui il n'a pas percé plus que ça.

Nostalgie oblige, je me replonge dans ce film pour pouvoir le noter, avec mes yeux d'adulte et non pas par nostalgie et franchement, toujours aussi bien, j'adore toujours autant ce film ! Pas déçu de l'avoir revu.

Ong Bak est un navet à l'état pur.
La mise en scène est nulle, le scénario inexistant, la photo indigeste, le montage raté,... Enfin bref, rien n'est bon.
Quant aux combats, ils sont ridicules et se résument à une succession de tassements de vertèbres indolores. Sinon, le film n'évite pas les clichés: la grande gueule qui sert à amuser la gallerie, le costaud imbattable, l'hystérique qui sert à rien,...
Ong Bak est LE film à éviter absolument !!!

Tony Jaa est un excellent athlète et le réalisateur mets en avant toute sa magnifiscience ! Les combats sont ahurissant et on sent que le réalisateur veut faire renaitre les films de combats et c'est réussi.

Sans être un chef-d’œuvre, le film de Prachya Pinkaew tient fort bien la route. Le cinéaste se sert d’un scénario assez banal : un jeune villageois part à la ville, pleine de périls, pour accomplir une mission, et s’en revient victorieux, et adulé des siens. Banal donc, mais plein de candeur et d’authenticité . De plus, si le Thaïlandais choisit de raconter ce scénario de manière linéaire, il parvient parfaitement à le mettre en valeur, en exploitant intelligemment plusieurs aspects culturels urbains et ruraux Thaïlandais. Les scènes de combat sont magnifiquement bien filmées, et montrent l’immense talent de Tony Jaa en tant qu’expert en arts martiaux, et son extraordinaire inventivité en tant que chorégraphe de scènes de combat. Hélas, Pracha Pinkaew, veut trop en faire. Et le fait de repasser plusieurs fois certaines cascades, sous des angles différents, devient lourd et pesant à la longue. Une fois suffisait amplement pour susciter l’admiration. On ne le répétera jamais assez : le mieux est l’ennemie du bien.

Je vois déjà bon nombre de fans qui me regardent, de leur œil du tigre, prêts à me faire passer un sale quart d’heure pour avoir donné une telle note à l’un des films d’arts-martiaux jugés comme les plus mémorables de ces dernières années. Mais croyez-moi : donner une notation à ce genre de divertissement, c’est plutôt une tâche ardue ! Car il faut choisir entre le spectacle de combats et tout bonnement le film. J’ai choisi la seconde option, que cela vous plaise ou non !

Alors, pour calmez les esprits, commençons par les atouts d’Ong-Bak : les séquences de combats. Cascades réalisées sans effets spéciaux. Tony Jaa qui se donne à fond, corps et âme, dans des prouesses arts-martiales indiscutables. Une énergie folle qui se fait ressentir à chaque instant où les coups pleuvent comme du petit pain. Des scènes qui durent suffisamment longtemps pour que le spectateur puisse en profiter comme il se doit. Oui, il n’y a vraiment pas à dire : Ong-Bak est véritablement un divertissement fait pour tous les mordus de castagne asiatique. Leur proposant un concurrent potentiel à Jet Li et consorts (ne citons pas Bruce Lee pour éviter le blasphème) en la personne de Tony Jaa (même si les techniques diffèrent).

D’accord, je ferme également les yeux sur le pitoyable scénario qu’offre le film. Soit un simple fermier quasi invincible au combat qui part en ville retrouver une tête de Bouddha enlevée dans son village. Qui devra faire équipe avec un de ses semblables reniant ses origines, face à des trafiquants d’arts. Une histoire qui ne vole pas bien haut, d’autant plus que le personnage de Tony Jaa (Ting) n’est présent que pour distribuer des coups, rien de plus ! Pas travaillé, pas d’histoire… rien ! Alors que celui de Petchtai Wongkamlao (George) possède un passé qu’il désire enterrer, lié à la relation avec son père. Le film s’intéresse quelques minutes à celle-ci, sans jamais réussir à lui faire prendre de l’ampleur à nos yeux (étant racontée n’importe comment, image sombre, musique douce trop appuyée en fond).

C’est sans doute l’un des plus gros défauts d’Ong-Bak qu’est représenté via cette relation. Celui de se prendre au sérieux. Et malgré quelques passages qui se veulent comiques (comme quand George joue les lâches face à l’adversité), le film garde constamment son air mature alors qu’un humour bon enfant ne lui aurait pas fait de mal. Histoire d’alléger le tout et de rendre les personnages un chouïa attachants. Qui, franchement, ne sont pas aidés par leur comédien respectif, tout simplement inexistant. Encore une fois, Tony Jaa est là pour se battre. Et on sent en lui cette envie pressante d’affronter quelqu’un. Il doit pourtant patienter entre chaque séquence, faisant office d’acteur de seconde zone, et cela se sent malheureusement.

C’est là que je vous entends hausser la voix ! Il est vrai qu’Ong-Bak est un long-métrage calibré comme tel : l’histoire a beau être nulle, les interprètes moyens, il n’empêche que cela reste un film de combat, donc on veut du combat ! Ce n’est pas moi et mon coup de cœur, dans un autre genre, avec la saga Transformers qui vont vous faire la leçon (je veux voir des robots qui se battent, le film ne livre que des robots qui se battent, oubliant le reste mais on s’en fiche royalement !). Alors pourquoi ne pas remonter la note de cet Ong-Bak et le considérer comme un film de combat comme les autres ? Eh bien, à cause de la mise en scène, qui gâche le spectacle d’anthologie que cela aurait pu être.

Les combats ont une énergie de malade, mais pas la caméra qui suit les mouvements des protagonistes. Elle reste plantée là, à filmer la scène. Alors qu’elle aurait très bien pu bouger (portée à l’épaule) pour donner encore plus de vitalité à l’ensemble. Mais non, le seul effet qu’elle procure, c’est cette sensation de voir des pirouettes hautement chorégraphiées, qui perdent en crédibilité (on voit que le combattant frappe dans le vide, le cascadeur faisant un geste – comme reculer subitement sa tête – pour simuler le coup qu’il prend). Heureusement que le montage arrange les choses. Mais même de ce côté-là, le film en fait trop ! Notamment avec certaines cascades qui se répètent sous nos yeux au moins 3-4 fois en quelques secondes. Comme si nous n’avions rien vu ni compris de ce qui s’était passé à l’écran. Un effet qui peut être sympa s’il est utilisé à bon escient, mais pour Ong-Bak, cela frôle la surdose ! Au point que certains combats se transforment en clip, c’est pour dire ! Et enfin, ne parlons pas de la musique, qui gâche amplement ces mêmes scènes, renforçant justement cette allure clipesque.

Voilà pourquoi Ong-Bak ne restera pas pour moi un grand film d’arts-martiaux. Les cascades ont beau être ahurissantes, si la mise en scène ne les met pas correctement en valeur, ce n’est même pas la peine d’en faire tout un plat ! D’autant plus qu’avec ce constat en tête, il en devient difficile de fermer les yeux sur tous les autres défauts dont on aurait très bien pu oublier en regardant le film. Tant ils ne sont pas la priorité première dans ce genre de divertissement. Vraiment dommage, car Ong-Bak avait de quoi mettre K.O. !

Ong bak ne vaut que pour ses combats inédits qui revigorent le genre en y affichant une certaine beauté visuelle.

C’est pas tout les jours que je regarde un film thaïlandais ! Les dialogues, le scénario, les situations et l’histoire sont d’une banalité affligeantes, on a droit à tous les clichés, mais est ce vraiment grave pour un film d’action/karaté ?! Pour le positif, nous avons droit ici a quelques scènes de combats et de courses poursuite très très bien chorégraphiés qui suffisent à se vider le cerveau est à passer un moment divertissant si on supporte ce genre de film. La fin est réussie. En plus on peut s’amuser à deviner dans quel film on a déjà vu des séquences identiques (exemple la course poursuite en tuk-tuk est un mélange de Taxi et de Speed, le combat avec les mains tressées à Kickboxer, etc …).

Les films du style JCVD ont pris un coup de vieux avec Ong Bak. On découvre une discipline brutale, spectaculaire, des coups qui semblent réellement portés, une ambiance glauque. UN film techniquement bien réalisé, le scénario est lui assez prévisible (le paysan qui monte à la ville récupéré le trésor du village volé par un méchant jeune de la ville).