AlloCiné
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Votre avis sur À la recherche du bonheur ?
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Le rêve américain sous son meilleur jour. Une belle fable à suivre avec plaisir et émotions. C'est aussi une bonne façon de faire comprendre aux recruteurs que l'ont peut être compétent sans avoir fait de grandes études et une façon assez adroite de montrer à certains le sens des priorités et tout l'écart qui sépare les différentes classes sociales américaines (quand certains sortent du travail pour s'amuser, d'autres font la queue pour trouver un toit pour dormir ; quand certains n'ont pas sur eux 5 dollars, d'autres ne les ont même pas sur leur compte en banque). En plus, d'autres thèmes sont bien rendus comme les difficultés d'une relation père-fils perturbée par le manque d'argent et une relation de couple dont la confiance entre les conjoints a disparu. Enfin, j'ai bien aimé le running-gag de la course après la fameuse boite blanche perdue ou volée.
Film à voir absolument, une prestation magnifique de Will Smith sur ce scénario exceptionnel inspiré de fait réel.
"Ne laisse jamais personne te dire que c'est impossible"
"Ne laisse jamais personne te dire que c'est impossible"
J'adore ce film . Tellement touchant . On est avec lui du début à la fin et on a tellement envie qui s'en sorte . Quel courage et intelligence de cet homme, tiré d'une histoire vraie . Will Smith joue super et retranscrit admirablement les émotions . A voir et revoir . Une leçon de vie
gabdias
Bien que la fin ne fasse aucun doute et regorge de beaux sentiments dont seuls les USA savent nous en distiller à haute dose, ce qui importe c’est la proximité et la complicité entre Smith père et fils à l’écran comme à la ville, c’est puissant et hyper émouvant. Le parfait American Dream, W.Smith est exemplaire.
film émouvant, plein de suspense et de force, d'émotion, l'amour d'un père pour son fils est très fort
sa détermination le récompense à la fin : c'est le graal
sa détermination le récompense à la fin : c'est le graal
Je penses que c'est l'un des meilleurs films que j'ai vu !
Le rôle du père, sa force, le moral en béton, pratiquement toutes les qualités qu'un papa doit avoir !
Le rôle du père, sa force, le moral en béton, pratiquement toutes les qualités qu'un papa doit avoir !
Je lui aurais donné une meilleure note pour un titre différent que celui choisi. Je pourrai accepter à la recherche du succès, à la recherche de la solution à ses problèmes peut-être aussi, voire même à la recherche d'un bonheur pour être vraiment indulgent mais pas à la recherche du bonheur, surtout pas, jamais. Avec tout ce que cela implique comme sens philosophique à cette phrase complexe, on en est très loin, on est tout juste proche de ce qu'on appelle "Le rêve américain". Mais pour moi ce n'est absolument pas ça LE bonheur, quasi-ultime, précédé du pronom défini marquant l'unicité de sa définition. On partage la vie de Chris Gardner qui, avec sa femme, peinent à boucler leur fin de mois avec tout ce que cela engendre comme problèmes de vie quotidienne, de couple et de dettes. Comme si cela ne suffisait pas cela va aller en empirant et générer plus d’ennuis. En fait, on se rend compte finalement que tout se résume à une histoire...d'argent ! On est malheureux car on n'a pas assez d'argent, donc on souffre et le bonheur, selon la stricte définition du film, est synonyme d'argent à profusion, donc la fin de ses galères. Plus on en a, plus on est heureux, c'est ce type de clichés que semble défendre ce film.
spoiler:
Il n’y a qu’à voir le regard scintillant de Will Smith devant la voiture de sport rouge. Quelle idée aussi d’aller lier la notion de bonheur à un travail dans un milieu aussi impitoyable, avide et sans scrupules que celui de courtier ? Il y avait peut-être moyen de trouver un autre métier plus noble, restons dans la vertu. Une voie d’or pour se faire un paquet d’argent rapidement certes, mais réputée pour être crapuleuse.
Ça correspond donc à cela être heureux ? Oui, évidemment, il n'y a pas que ça, il y a le fait de croire en ses rêves, d’être patient, de ne jamais rien lâcher, d’oser pour arriver à ses fins, de tout tenter malgré le cumul des difficultés pour offrir les meilleures conditions de vie à sa progéniture. Tout autant de messages, qui n'ont qu'une seule finalité au bout du compte, bien gagner sa vie, et qui dévient ainsi du sujet sensé être principal : en quoi consiste la recherche perpétuelle du bonheur ? On essaie de nous attendrir avec la relation du gentil papa qui fait tout pour son petit garçon tout mignon, comment ils vivent cette quête ensemble en restant toujours optimiste, et prenant les obstacles avec sérénité. Pour autant, on nous ne le vends pas vraiment comme moments de bonheurs, mais plutôt comme des galères, une souffrance inévitable saupoudrée de conseils pseudo-émouvants. Effectivement, cette relation reste bien sympathique, mais sans plus, on est bien loin d'égaler la tendresse d'un "La vie est belle" par exemple. spoiler: Pire, le fils est même exclu de la scène de fin où il annonce la partie de sa a vie qu’Il appelle ‘le bonheur’. La moindre des choses aurait été qu’il attende d’abord de le prendre dans ses bras pour l’annoncer, en s’empressant pour ce faire, afin de signifier que tout ce qu’il a fait et enduré c’était pour lui. Un moment partagé d’émotion délivrante après tant de souffrances, plutôt qu’un succès personnel le rendant fier de ce qu’il a réussi à accomplir.
En parlant de souffrance, même les problèmes qui se cumulent lors de la quête de Chris finissent par être trop prévisibles, à en devenir barbants. Surtout avec des concours de circonstances et coïncidences tellement improbables que ça fait perdre toute crédibilité en la chose, on finit par ne même plus s’attendrir. spoiler: Les gouttes qui font déborder le vase : les deux Hippies qu'il recroise quelques jours après avec la machine volée qu'ils sont bêtement en train de transporter, bis repetita avec le sdf et bien sûr comme par hasard, c'est toujours lorsqu'il y a un truc important ou urgent à faire qu'il se retrouve coincé dans une situation indélicate.
Ce qui est insupportable également, c'est le sort réservé à la mère, un personnage oublié auquel aucune place dans ce fameux bonheur n'a été réservé, plus un poids qu'autre chose. Laissée de côté, on ne lui accorde aucune espèce d'importance dans cette entreprise, ni non plus à sa finalité. Une mère de famille, on dirait n’est pas un maillon qui en vaille la peine pour être une famille heureuse. Ni bon ni réellement mauvais, ce film est loin d'avoir fait mon bonheur, il aurait au final mieux valu aller le rechercher ailleurs.
Ça correspond donc à cela être heureux ? Oui, évidemment, il n'y a pas que ça, il y a le fait de croire en ses rêves, d’être patient, de ne jamais rien lâcher, d’oser pour arriver à ses fins, de tout tenter malgré le cumul des difficultés pour offrir les meilleures conditions de vie à sa progéniture. Tout autant de messages, qui n'ont qu'une seule finalité au bout du compte, bien gagner sa vie, et qui dévient ainsi du sujet sensé être principal : en quoi consiste la recherche perpétuelle du bonheur ? On essaie de nous attendrir avec la relation du gentil papa qui fait tout pour son petit garçon tout mignon, comment ils vivent cette quête ensemble en restant toujours optimiste, et prenant les obstacles avec sérénité. Pour autant, on nous ne le vends pas vraiment comme moments de bonheurs, mais plutôt comme des galères, une souffrance inévitable saupoudrée de conseils pseudo-émouvants. Effectivement, cette relation reste bien sympathique, mais sans plus, on est bien loin d'égaler la tendresse d'un "La vie est belle" par exemple. spoiler: Pire, le fils est même exclu de la scène de fin où il annonce la partie de sa a vie qu’Il appelle ‘le bonheur’. La moindre des choses aurait été qu’il attende d’abord de le prendre dans ses bras pour l’annoncer, en s’empressant pour ce faire, afin de signifier que tout ce qu’il a fait et enduré c’était pour lui. Un moment partagé d’émotion délivrante après tant de souffrances, plutôt qu’un succès personnel le rendant fier de ce qu’il a réussi à accomplir.
En parlant de souffrance, même les problèmes qui se cumulent lors de la quête de Chris finissent par être trop prévisibles, à en devenir barbants. Surtout avec des concours de circonstances et coïncidences tellement improbables que ça fait perdre toute crédibilité en la chose, on finit par ne même plus s’attendrir. spoiler: Les gouttes qui font déborder le vase : les deux Hippies qu'il recroise quelques jours après avec la machine volée qu'ils sont bêtement en train de transporter, bis repetita avec le sdf et bien sûr comme par hasard, c'est toujours lorsqu'il y a un truc important ou urgent à faire qu'il se retrouve coincé dans une situation indélicate.
Ce qui est insupportable également, c'est le sort réservé à la mère, un personnage oublié auquel aucune place dans ce fameux bonheur n'a été réservé, plus un poids qu'autre chose. Laissée de côté, on ne lui accorde aucune espèce d'importance dans cette entreprise, ni non plus à sa finalité. Une mère de famille, on dirait n’est pas un maillon qui en vaille la peine pour être une famille heureuse. Ni bon ni réellement mauvais, ce film est loin d'avoir fait mon bonheur, il aurait au final mieux valu aller le rechercher ailleurs.
Gros coup de cœur pour l'un des meilleurs films de Will Smith. Très bonne fin. Je ne m'en lasse pas. Le seul film avec son fils que j'ai aimé..
Un film toxique, une propagande abjecte qui fait prendre une sensibilité toute orientée pour une humanité alors qu'il n'y a autant dans l'apparence que dans le fond de ce qui est montré qu'un monument à la gloire du Dieu argent. Le bonheur résumé à l'égoïsme, la gloire du capitalisme et l'hypocrisie mièvre à tout va. Qui peut faire avaler cela ? ce film le fait tout autant dans l'apparence que dans le fond. Le message du film est un panégyrique d'inepties, Le personnage de Will Smith côtoie les plus miséreux et les plus riches qui bien que légèrement raciste sont affables avec lui, il leur ressemble, il a des qualités humaines. Ces qualités c'est : tout faire pour réussir, hypocrisie sans complexe, savoir se vendre. Vis à vis de la violence elle est dissipée dans un brouillard car elle n'est pas dans le sens du film, sa situation est assez violente mais lui arrive à se maîtriser face au malheur à la malchance qui s'acharne depuis qu'il a fait un mauvais investissement. Les pauvres sont des décérébrés, des loques qui font la queue qui profitent d"un charité sans spiritualité, sinon des égoïstes sans joie ni intelligence. Les riches savent vivre : avec le sport, les belles voitures et au moment où il atteint le bonheur, il arrive à s'extirper de la fange de tous les losers. Ses problèmes de famille ; c'est de la faute de sa femme qui travaille tant qu'elle est incapable de s'occuper de son fils. S'il y a bien du racisme dans ce film c'est la misogynie dans le rôle de cette femme qui abandonne son enfant de 5 ans alors qu'il est presque à la rue, c'est à vomir d'hypocrisie tel que c'est présenté. Regardez à nouveau ce film si besoin, c'est un sommet de l'horreur de l'influence capitaliste sur un monde qui essaye d'y surnager en même temps avec des traits réalistes et en même temps des tas de mensonges sur cette réalité orientée par une idéologie malsaine. Dans l'idée du film aucune échappatoire si tu n'es pas un adepte du système qui seul donne le bonheur à quelques uns par le mérite, tu es un moins que rien.
Prenant du début à la fin, les acteurs sont à fond dedans, une vraie histoire, certes triste mais heureuse, mais d'un e autre époque, notre monde d’aujourd’hui n'aura aucune pitié devant ce scénario. Nostalgique bientôt ?
Quelle magnifique leçon de cinéma, tous les grands anciens dans l’industrie du cinéma peuvent s’ébahir devant ce chef d’œuvre, qui pourrait être un jour, un de mes futurs 5/5. Will Smith parfait dans le rôle du père débrouillard, qui après s’être fait lâché par sa femme, avec son fils sur les bras, après s’être fait retenir injustement par les policiers durant des heures, alors qu’il devait se rendre à son entretien d’embauche, après s’être fait voler arbitrairement 600 euros par l’état, après avoir brutalement perdu son appartement, et j’en passe, réussi à s’en sortir, à limiter les dégâts et à préserver son fils.
On est immergé dans de nombreuses communautés différentes, nombreux styles de quartiers différents, nombreux modes de vies différents. C’est également intéressant de voir comment ça se passe chez les courtiers, le monde de la bourse est fascinant. Le film me fait penser aux comédies françaises bourrées de quiproquos, par le nombre de rebondissements, de problèmes ou encore de retournements de situation époustouflant. Le scénario est donc incroyable et attire l’attention, sans oublier les magnifiques dialogues qui stimulent l’histoire en permanence.
Je pense que l’œuvre a connu l’un des plus beaux plans de l’histoire : Celui où on voit le père et son fils (les Gardner) finir leur partie de basket, et qu’on les observe devant le grillage à regarder San Francisco dans son ensemble avec le soleil qui se couche, et le drapeau des USA sur le coté. Ça me rappelle brillamment l’esclavage, avec des noirs derrière un grillage. Ou même la prison car ces noirs sont jeunes et jouent au basket dans un terrain clos, mais d’autre part le plan montre la liberté et le droit de réussir avec le drapeau. Tout ça sur cette splendide vue qui montre le coté contemporain avec les buildings éblouissants. Je pense que ce plan résume le film, ce que l’on a voulu nous montrer dans ces 110 minutes.
Un film qui connaît une fin plus ou moins heureuse, après un somptueux mélange d’émotions. Très très bon film, un des meilleurs de l’année. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 4/5
On est immergé dans de nombreuses communautés différentes, nombreux styles de quartiers différents, nombreux modes de vies différents. C’est également intéressant de voir comment ça se passe chez les courtiers, le monde de la bourse est fascinant. Le film me fait penser aux comédies françaises bourrées de quiproquos, par le nombre de rebondissements, de problèmes ou encore de retournements de situation époustouflant. Le scénario est donc incroyable et attire l’attention, sans oublier les magnifiques dialogues qui stimulent l’histoire en permanence.
Je pense que l’œuvre a connu l’un des plus beaux plans de l’histoire : Celui où on voit le père et son fils (les Gardner) finir leur partie de basket, et qu’on les observe devant le grillage à regarder San Francisco dans son ensemble avec le soleil qui se couche, et le drapeau des USA sur le coté. Ça me rappelle brillamment l’esclavage, avec des noirs derrière un grillage. Ou même la prison car ces noirs sont jeunes et jouent au basket dans un terrain clos, mais d’autre part le plan montre la liberté et le droit de réussir avec le drapeau. Tout ça sur cette splendide vue qui montre le coté contemporain avec les buildings éblouissants. Je pense que ce plan résume le film, ce que l’on a voulu nous montrer dans ces 110 minutes.
Un film qui connaît une fin plus ou moins heureuse, après un somptueux mélange d’émotions. Très très bon film, un des meilleurs de l’année. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 4/5
J'ai longtemps pensé que Will Smith, enfin...Chris Gardner...s'égarait dans sa vie. Et que ce poste tant convoité dans cette société de trader, il finirait par le laisser tomber pour aller à sa découverte ailleurs, aux vues des innombrables mésaventures. En fin de compte le film retrace l'abnégation, la volonté de parvenir à un but et que les efforts finissent par payer. Ce n'est pas comme cela que j'imaginais le film, mais j'ai fini par comprendre et accepter cette tournure.
En parallèle de ce film je conseille de visionner sa vidéo sur le "I retire". Il se retire d'essayer de rendre sa femme heureuse. Je pense que le bonheur est propre à chacun en effet.
3.5/5
En parallèle de ce film je conseille de visionner sa vidéo sur le "I retire". Il se retire d'essayer de rendre sa femme heureuse. Je pense que le bonheur est propre à chacun en effet.
3.5/5
Shawn777
Ce film, réalisé par Gabriele Muccino et sorti en 2006 est très bon. Pourtant, je ne m'attendais pas vraiment à accrocher, je pensais effectivement que ça allait être le genre de production américaine larmoyante et devant laquelle on s'ennuie plus qu'autre chose mais j'ai donc finalement été assez surpris. Le film est adapté de la vraie histoire de Chris Gardner, un SDF vivant avec son enfant qui a su se débrouiller et est maintenant devenu multimillionnaire. Alors, je ne connaissais pas du tout son histoire avant de regarder le film, ni même son nom à vrai dire et je dois dire que j'ai été complètement transporté par l'histoire. Je trouve en effet ce film très enrichissant et qui peut beaucoup faire réfléchir sur sa propre vie et ses soucis personnels. Alors oui, malgré la ténacité et le courage du héros, il a quand même eu un peu de chance et a su ouvrir les bonnes portes au bon moment mais tout de même, rien n'est impossible lorsque l'on croit vraiment en quelque chose et c'est ce que le film démontre très bien. De plus, les acteurs jouent très bien, la complicité père/fils fonctionne forcément très bien puisqu'ils ont réellement cette affiliation, d'ailleurs à savoir Will Smith et Jaden Smith. "À la recherche du bonheur" (le titre est d'ailleurs très bien choisis) est donc un très bon film qui ne manquera pas de toucher plus d'un spectateur sans pour autant être plaintif.
On savait déjà que Will Smith était un acteur hors du commun. Et pourtant à chaque film à caractère dramatique je suis étonnée par la qualité de son interprétation.
Le film suit un père et son fils qui se retrouvent avec eux seuls pour repère. Will Smith se démène pour trouver un travail. Tout le long du film on ne peut cesser d’en vouloir au destin qui semble s’acharner sur cette petite famille !
Le film est beau et heureusement il fini bien !
A regarder absolument
Le film suit un père et son fils qui se retrouvent avec eux seuls pour repère. Will Smith se démène pour trouver un travail. Tout le long du film on ne peut cesser d’en vouloir au destin qui semble s’acharner sur cette petite famille !
Le film est beau et heureusement il fini bien !
A regarder absolument
Un film sur la volonté et l'abnégation de toujours croire en soi et en ses rêves. En plus de ne pas tomber dans la surenchère du sentimentalisme, le réalisateur se tourne avec brio vers la tendresse ( la relation sans faille d'un pere et son flis ) et l'amour propre ( garder sa dignité dans des situations terrible). Une belle leçon de vie emmenée par un excellent Will Smith.
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