Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Lorsque son ultime intervieweur lui demande d’imaginer que le monde serait soudain débarrassé de tout ce qu’il déteste, Pasolini répond que cette imagination est déjà à l’oeuvre dans ses films et ses textes, et qu’elle n’a rien de magique. Ferrara embrasse cette conviction et lui donne une forme : "Pasolini".
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Avec une précision, un sens du cadre, une connaissance de l’Italie qui transparaît à chaque plan, Ferrara décrit un homme qui se sent vieillir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
Vrai film de fantômes donc que ce "Pasolini", beau comme un rayon de soleil traversant la poussière, aux aguets d'un éclat mystique.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Pasolini, à son tour, compte les heures qui s'écoulent en direction d'une scène attendue, laquelle dépose en retour une aura tragique sur tout ce qui la précède. À ce titre, le film vise moins le « biopic » qu'une sorte de procès verbal fantasmé, comme le faisait déjà "Welcome to New York".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Reste qu’en dépit du folklore touristique (visite du cinéma de Ferrara par le détour d’une caricature de celui de Pasolini) des scènes tournées d’après Porno – Téo – Kolossal – qui en appauvrit fatalement la rage et le génie –, Pasolini séduit les sens bien plus qu’il ne déçoit sur le terrain de l’instruction des faits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Gabriela Monelle
Chaque séquence permet d’évoquer une arborescence de faits que les connaisseurs sauront bien sûr retrouver – mais "Pasolini" va au-delà du film à clefs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Isabelle Giordano
Allez-voir ce portrait sensible d'un homme que rien n'apaise. Ni la poésie, ni les films, ni les romans. Et qui se laisse mener par le goût de la provocation et de la révolte.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Le Dauphiné Libéré
par La rédaction
Abel Ferrara, visiblement proche du personnage, reconstitue de façon troublante, non seulement ce jour ultime, mais l’univers même du poète et cinéaste, et son monde imaginaire.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) (Abel Ferrara) réalisateur au début de sa carrière de deux sulfureux succès jamais renouvelés, filmeur fiévreux et damné, (...) a enfin trouvé avec ce film l’énergie et la manière de marquer son admiration pour son glorieux aîné.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Julien Gester
Par-delà la révérence, la valeur de ce superbe portrait antispectaculaire réside dans sa façon de restituer sans ânonnements béats un Pasolini en liberté (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un propos parfois confus, mais une performance passionnante de Willem Dafoe.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Magnifique mise en abîme sur l’art de créer, "Pasolini" s’érige comme une fascinante fantaisie poétique et métaphysique, loin des contingences terrestres du biopic, auquel il échappe miraculeusement, restaurant le prestige écorné de Ferrara.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) le film n'a rien de racoleur et s'apparente davantage au cinéma expérimental qu'à la biographie riche en scènes choquantes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le Pasolini de Ferrara, brillant, mais dévitalisé (malgré la séquence, attendue, de la mise à mort sauvage de l’artiste sur la plage d’Ostie), ne manque pas de grâce et de classe, mais reste exempt de tout lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Marianne
par Danièle Heymann
Rien d'illégitime dans le "Pasolini" d'Abel Ferrara, hommage extatique au poète assassiné, puzzle narratif à la fois fièrement bordélique et curieusement trop rangé, restituant la parole même de Pasolini avec une piété sans faille.
Télérama
par Jacques Morice
Willem Dafoe, visage émacié d'Amérindien intello, donne à ses moindres paroles et gestes une densité toute prophétique. « Nous sommes en danger », prévient-il. On pressent ce danger tout au long de ce portrait sombre et aux tons fauves, crépusculaire (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un film pas très net, bâtard, bavard, que sauvent le jeu hypnotique de Willem Dafoe et l'apparition ensoleillée de Ninetto Davoli.
Positif
par Adrien Gombeaud
L'auteur de "King of New York" a conservé de ses grandes années son sens visuel: le style à la fois décadent et élégant qui a fait sa marque. [Mais] Ferrara semble se désintéresser des enjeux de l'époque et surtout de Pasolini lui-même.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) ce biopic atypique ne dit pas grand-chose de l’homme et de l’artiste, se contentant d’aligner des scènes insignifiantes traversées de saillies faussement scandaleuses, à la limite du ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Transfuge
par Damien Aubel
Un cauchemar, oui, le meurtre sans doute pas du siècle, mais d'un grand cinéaste, Ferrara lui-même.
Cahiers du Cinéma
Lorsque son ultime intervieweur lui demande d’imaginer que le monde serait soudain débarrassé de tout ce qu’il déteste, Pasolini répond que cette imagination est déjà à l’oeuvre dans ses films et ses textes, et qu’elle n’a rien de magique. Ferrara embrasse cette conviction et lui donne une forme : "Pasolini".
Les Inrockuptibles
Avec une précision, un sens du cadre, une connaissance de l’Italie qui transparaît à chaque plan, Ferrara décrit un homme qui se sent vieillir.
TF1 News
Vrai film de fantômes donc que ce "Pasolini", beau comme un rayon de soleil traversant la poussière, aux aguets d'un éclat mystique.
Chronic'art.com
Pasolini, à son tour, compte les heures qui s'écoulent en direction d'une scène attendue, laquelle dépose en retour une aura tragique sur tout ce qui la précède. À ce titre, le film vise moins le « biopic » qu'une sorte de procès verbal fantasmé, comme le faisait déjà "Welcome to New York".
Critikat.com
Reste qu’en dépit du folklore touristique (visite du cinéma de Ferrara par le détour d’une caricature de celui de Pasolini) des scènes tournées d’après Porno – Téo – Kolossal – qui en appauvrit fatalement la rage et le génie –, Pasolini séduit les sens bien plus qu’il ne déçoit sur le terrain de l’instruction des faits.
Culturopoing.com
Chaque séquence permet d’évoquer une arborescence de faits que les connaisseurs sauront bien sûr retrouver – mais "Pasolini" va au-delà du film à clefs.
Femme Actuelle
Allez-voir ce portrait sensible d'un homme que rien n'apaise. Ni la poésie, ni les films, ni les romans. Et qui se laisse mener par le goût de la provocation et de la révolte.
Le Dauphiné Libéré
Abel Ferrara, visiblement proche du personnage, reconstitue de façon troublante, non seulement ce jour ultime, mais l’univers même du poète et cinéaste, et son monde imaginaire.
Le Monde
(...) (Abel Ferrara) réalisateur au début de sa carrière de deux sulfureux succès jamais renouvelés, filmeur fiévreux et damné, (...) a enfin trouvé avec ce film l’énergie et la manière de marquer son admiration pour son glorieux aîné.
Libération
Par-delà la révérence, la valeur de ce superbe portrait antispectaculaire réside dans sa façon de restituer sans ânonnements béats un Pasolini en liberté (...).
Ouest France
Un propos parfois confus, mais une performance passionnante de Willem Dafoe.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Magnifique mise en abîme sur l’art de créer, "Pasolini" s’érige comme une fascinante fantaisie poétique et métaphysique, loin des contingences terrestres du biopic, auquel il échappe miraculeusement, restaurant le prestige écorné de Ferrara.
20 Minutes
(...) le film n'a rien de racoleur et s'apparente davantage au cinéma expérimental qu'à la biographie riche en scènes choquantes.
L'Humanité
Le Pasolini de Ferrara, brillant, mais dévitalisé (malgré la séquence, attendue, de la mise à mort sauvage de l’artiste sur la plage d’Ostie), ne manque pas de grâce et de classe, mais reste exempt de tout lyrisme.
Marianne
Rien d'illégitime dans le "Pasolini" d'Abel Ferrara, hommage extatique au poète assassiné, puzzle narratif à la fois fièrement bordélique et curieusement trop rangé, restituant la parole même de Pasolini avec une piété sans faille.
Télérama
Willem Dafoe, visage émacié d'Amérindien intello, donne à ses moindres paroles et gestes une densité toute prophétique. « Nous sommes en danger », prévient-il. On pressent ce danger tout au long de ce portrait sombre et aux tons fauves, crépusculaire (...).
La Voix du Nord
Un film pas très net, bâtard, bavard, que sauvent le jeu hypnotique de Willem Dafoe et l'apparition ensoleillée de Ninetto Davoli.
Positif
L'auteur de "King of New York" a conservé de ses grandes années son sens visuel: le style à la fois décadent et élégant qui a fait sa marque. [Mais] Ferrara semble se désintéresser des enjeux de l'époque et surtout de Pasolini lui-même.
Le Journal du Dimanche
(...) ce biopic atypique ne dit pas grand-chose de l’homme et de l’artiste, se contentant d’aligner des scènes insignifiantes traversées de saillies faussement scandaleuses, à la limite du ridicule.
Transfuge
Un cauchemar, oui, le meurtre sans doute pas du siècle, mais d'un grand cinéaste, Ferrara lui-même.