Je ne donne que 3 étoiles car le film d'origine est devenue une comédie un peu trop burlesque. C'est une comédie qui fait rire mais sans plus. Un peu décevant mais on passe un très beau moment.
Cette suite arbore le même style que le premier film, avec un humour assez léger ou décalé dans l'ensemble et des personnages identiques. Bridget Jones est donc toujours aussi maladroite et gaffeuse devant deux hommes très opposés (Grant n'ayant plus qu'un second rôle), et tente de conserver son bonheur si précieux, le tout nous offrant des moments assez drôles. Amusant, mais inégal face à l'original.
Loin d'être à la hauteur du premier volet. On sent que les scénaristes ont eu bien du mal à trouver des idées. Rien demieux qu'une incarcération... Et à ce moment là... Ca devient long, très long... Surtout que ce moment du film ne sert en rien ni l'Histoire, ni le personnage et encore moins nous pauvre spectateur. 1 scène marrante au début (le coup de fil pendant la réunion) et les scènes avec un Hugh grant tojours aussi salaud et charmant. A part ça pas grand chose de neuf.
Que dire de Bridget Jones ? Oui c'est la trentenaire grassouillette et gaffeuse à laquelle on est toute censés s'identifier... Et elle ne manque pas de nous faire rire tout le long du film, ce qui est son but principal. Certaines scènes sont vraiment très drôles, à contrario d'autres sont poussives (le passage en prison n'est-il pas un peu too much ?). Bref nous retiendrons comme toujours l'excellente prestation de Renée Zelwegger ainsi que celle de Hugh Grant, eclipsant largement celle de Colin Firth. Après c'est le schéma classique des comédies romantiques où tout est bien qui finit bien même si on a frôlé le pire, rien de bien nouveau sous le soleil, mais le tout réussi tout de même à faire mouche sans besoin de vulgarité, et ça ça fait du bien !
Une suite poussive qui ne parvient pas à se hisser au niveau du premier épisode et qui aura du mal à ne pas décevoir les fans du roman culte. Est-ce le remplacement de Sharon Maguire par Beeban Kidron au poste de réalisateur ou le cahier des charges imposé par les producteurs (et alourdi par de nombreux passages obligés, suite au succès de l’opus précédent) qui est venu dénaturer l’univers de la trentenaire la plus célèbre du moment ? Difficile à dire mais une chose est sûre, ce second opus donne dans la redite avec une fainéantise certaine (on retrouve le gag de la culotte géante, l’engueulade avec Darcy sur fond de quiproquo et le combat entre les deux prétendants) quand elle ne sombre pas carrément dans le grotesque de mauvais goût (les scènes dans la prison pour femmes thaïlandaise, le coup de la rivale qui s’avère être lesbienne…). Concernant la mise en scène, on sent une vague volonté de coller formellement à l’opus (avec la voix off de Bridget en guide) mais les trous d’airs sont beaucoup plus nombreux, le film n’étant pas aidé, il est vrai, par son scénario terriblement décousu. Cette suite pourrait d’ailleurs se résumer par le look arboré par sa star, Renée Zellweger. Si l’actrice avait su emporter tous les suffrages dans l’épisode précédent avec ses rondeurs pleines de charme, sa prise de poids est ici bien moins harmonieuse, au point que le personnage est désormais plus proche de la grosse rougeaude que de l’anglaise un peu gironde. Pour autant, le public féminin sera heureux de retrouver un de ses personnages cultes ainsi que le duo de mâles composé par le strict Colin Firth et le cynique Hugh Grant, sans oublier quelques sympathiques second rôles (Jim Broadbendt et Gemma Jones en parents atypiques, Sally Phillips en meilleure amie, Jacinda Barrett en rivale potentielle…). Dépourvu de la place de son illustre prédécesseur dans la culture populaire et maladroit dans sa forme, "L’Age de raison" ne vaut donc pas mieux qu’un banal film romantique avec ses rebondissement si attendus et son happy end convenu. On pourra difficilement s’en satisfaire…
C'est tellement exagéré par rapport au premier volet que ça en devient irréaliste. Pourtant le film est tellement drôle qu'on est obligé de se laisser emporter...
Une suite digne de son prédécesseur. Le scénario est certes un peu à leau de rose mais le film a au moins le mérite de ne pas être chiant. Pas besoin dêtre une fille pour accrocher à ce film. Cest un humour assez simpliste mais bon ça détend. Les acteurs sont très bons dans leur rôle.
Mais qu'ont-ils fait de Bridget Jones ? Pour préserver dans notre souvenir tout le charme de l'adorable comédie qu'était "Le Journal de Bridget Jones", on oubliera vite fait cette pâle suite au scénario inexistant, où nos trois acteurs se noient. Dommage.
"Bridget Jones, L'Âge De Raison", ou plutôt "Bridget Jones, Elle N'a Pas Changée". Et oui, ce deuxième volet des aventures de notre amie journaliste adorée s'avère être décevant. En effet, tous les ingrédients du premier sont là... mais ils sont copiés. Malgré un scénario très lourdeau et beaucoup moins de présence pour Hugh Grant et Colin Firth que dans le premier film, on s'amuse et on rigole tout de même sur certains gags. Certains gags d'ailleurs bien réussis puisque l'on a aucun doute sur ces moments de fou rires. Beeban Kidron réalise là, une suite plutôt ratée du premier "Bridget Jones" en nous montrant une succession de conneries pas marrantes mais de gags plutôt bien tenus jusqu'à la fin, qui nous font former un sourire. Pourtant, sa réalisation n'est pas terrible, le scénario est mal vu et surtout, on s'éloigne beaucoup de l'idée de départ et du personnage créé par Helen Fielding. Les amis de Bridget pratiquement oubliés, de nouveaux personnages qui sèment leur pagaille et se ridiculisent... Merci les studios, mais nous, spectateurs, on attendait quelque chose de bien meilleur, qui reste dans l'esprit de l'excellent premier film. En gros, sans Renée Zellweger et son personnage charismatique, le film ne serait rien ou plutôt serait un gros nanard. Décevant... Film très moyen !!!
La suite du premier épisode où l'on reprend les ingrédients déjà usités du premier opus. Bien sûr, cela fonctionne un peu moins bien, et je dois même dire que les manières de la Briget finissent un peu par lasser dans ce scénario plein de clichés (le séducteur invétéré, les champignons thaïlandais, et le futur mari coincé).