Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Libération
par Antoine de Baecque
Le premier film de fiction d'Atiq Rahimi est empreint d'une majesté qui rend justice à un pays magnifique, l'Afghanistan, (...) où l'on ne doit pas rigoler tous les jours.La splendeur formelle pourrait surprendre : elle n'est pourtant pas une esthétisation de la guerre, mais le signe des retrouvailles sentimentales, d'une sensualité topographique, d'un homme longtemps tenu éloigné d'un pays aux racines si profondes.
Ouest France
par La Rédaction
Simple, dépouillé et lumineux, un récit entre tradition et futur. À l'image du pays qu'il raconte, toujours douloureux des blessures de la guerre et des ravages des extrémismes.
Première
par Sophie Grassin
Terre et Cendres fait surgir sa lumière du rouge d'une pomme à peine croquée ou de la toile vive d'un baluchon décentré, revisite les toiles de Goya et de Mantegna, puise ses racines dans le néoréalisme. C'est du cinéma. Humble au plus beau sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ecran large, images magnifiques, un peu trop composées peut-être parfois, un peu trop belles sans doute, au risque de faire perdre à l'histoire un peu de son âpreté. "Terres et cendre" n'en est pas moins un beau film (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
ce bout de route devient au fil des séquences, sans effets dramatiques bouleversants, simplement par l'entrecroisement de bribes d'histoires, une représentation extraordinairement vivante d'un monde en guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Terre et Cendres est un livre d'images -sans y mettre quoi que ce soit de péjoratif : c'est d'abord un paysage vaste, triste, grandiose dans les tons or et ocre (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Caroline Collard
Exilé depuis de longues années, Atiq Rahimi avait jusqu'à présent choisi le documentaire pour parler de son pays. Son premier long métrage de fiction lui permet d'ouvrir plus grand les portes de l'évocation et de l'émotion.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Le film sans concession nous promène sur une terre dévastée où tout est à reconstruire. A commencer par les esprits et la mémoire collective. Sans lyrisme excessif mais avec insistance, Rahimi filme les visages comme pour nous dire : "Regardez ces hommes. A travers leurs regards s'incarne l'avenir".
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Un film lent, beau et mystérieux. (...) Par moments, certes, on aurait préféré une mise en scène moins hiératique, moins visiblement soucieuse d'esthétique. Mais comment oublier la détresse du vieux Dastaguir, qui ne comprend plus rien à ce monde dont les valeurs ont volé en éclats...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Vous pensiez au Kandahar de Makhmalbaf ? Vous n'aviez pas tort. C'est le même déploiement fastueux de sensations, léché extrême des images et précision de la bande-son, la même world-quality. En vain.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Zurban
par Eric Quéméré
Le film livre le portrait d'un vieillard dont les plus profondes convictions sont mises à l'épreuve. Une dimension qui, avec le naturel de l'enfant jouant Yassin, constitue la meilleure part du film...
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Pas une fiction (...), juste un fait divers comme tant d'autres, appauvri par sa banalité, écrasé par le soleil et la rocaille, délavé par sa triste familiarité. Un temps suspendu qui rappelle et annonce un cauchemar qu'imaginerait n'importe quel poivrot du café du commerce. Rahimi ne filme pas, il larmoie, il fait la manche.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Score
par G.D. Jones
Cette fable contemplative, émaillée d'aphorismes ou de dictons poétiques sur la situation de l'Afghanistan, finit, à force de dépouillement, par lasser et perdre son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Score
Libération
Le premier film de fiction d'Atiq Rahimi est empreint d'une majesté qui rend justice à un pays magnifique, l'Afghanistan, (...) où l'on ne doit pas rigoler tous les jours.La splendeur formelle pourrait surprendre : elle n'est pourtant pas une esthétisation de la guerre, mais le signe des retrouvailles sentimentales, d'une sensualité topographique, d'un homme longtemps tenu éloigné d'un pays aux racines si profondes.
Ouest France
Simple, dépouillé et lumineux, un récit entre tradition et futur. À l'image du pays qu'il raconte, toujours douloureux des blessures de la guerre et des ravages des extrémismes.
Première
Terre et Cendres fait surgir sa lumière du rouge d'une pomme à peine croquée ou de la toile vive d'un baluchon décentré, revisite les toiles de Goya et de Mantegna, puise ses racines dans le néoréalisme. C'est du cinéma. Humble au plus beau sens du terme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Ecran large, images magnifiques, un peu trop composées peut-être parfois, un peu trop belles sans doute, au risque de faire perdre à l'histoire un peu de son âpreté. "Terres et cendre" n'en est pas moins un beau film (...).
Le Monde
ce bout de route devient au fil des séquences, sans effets dramatiques bouleversants, simplement par l'entrecroisement de bribes d'histoires, une représentation extraordinairement vivante d'un monde en guerre.
Les Inrockuptibles
Terre et Cendres est un livre d'images -sans y mettre quoi que ce soit de péjoratif : c'est d'abord un paysage vaste, triste, grandiose dans les tons or et ocre (...).
MCinéma.com
Exilé depuis de longues années, Atiq Rahimi avait jusqu'à présent choisi le documentaire pour parler de son pays. Son premier long métrage de fiction lui permet d'ouvrir plus grand les portes de l'évocation et de l'émotion.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Le film sans concession nous promène sur une terre dévastée où tout est à reconstruire. A commencer par les esprits et la mémoire collective. Sans lyrisme excessif mais avec insistance, Rahimi filme les visages comme pour nous dire : "Regardez ces hommes. A travers leurs regards s'incarne l'avenir".
Télérama
Un film lent, beau et mystérieux. (...) Par moments, certes, on aurait préféré une mise en scène moins hiératique, moins visiblement soucieuse d'esthétique. Mais comment oublier la détresse du vieux Dastaguir, qui ne comprend plus rien à ce monde dont les valeurs ont volé en éclats...
Cahiers du Cinéma
Vous pensiez au Kandahar de Makhmalbaf ? Vous n'aviez pas tort. C'est le même déploiement fastueux de sensations, léché extrême des images et précision de la bande-son, la même world-quality. En vain.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Zurban
Le film livre le portrait d'un vieillard dont les plus profondes convictions sont mises à l'épreuve. Une dimension qui, avec le naturel de l'enfant jouant Yassin, constitue la meilleure part du film...
Chronic'art.com
Pas une fiction (...), juste un fait divers comme tant d'autres, appauvri par sa banalité, écrasé par le soleil et la rocaille, délavé par sa triste familiarité. Un temps suspendu qui rappelle et annonce un cauchemar qu'imaginerait n'importe quel poivrot du café du commerce. Rahimi ne filme pas, il larmoie, il fait la manche.
Score
Cette fable contemplative, émaillée d'aphorismes ou de dictons poétiques sur la situation de l'Afghanistan, finit, à force de dépouillement, par lasser et perdre son spectateur.