Venez venez tous voir cette histoire sortie des sentiers battus, du fantastique réalité virtuelle sur l’horreur révélée, whaou que c’est beau..... une mise en scène esthétique au fond visuel inconfortable 3D immersive, c’est bien Silent Hill, le jeux vidéo Konami et son inspiration puisée du cinéma, il y en a des cinéphiles concepteurs consoles chez eux, y’a pas photo comme cliché angoissant.
Comme une PlayStation, manette au commande guidant l’attraction qu’exerce derrière cette colline silencieuse sur ces personnages intrigués, égarés, assommés, évanouis, réveillés dans cette ville esprits rebelles réunissant tous les maux du monde.
Une petite communauté adoratrice du fanatisme, la bigoterie allume le bûcher pour brûler les héros loyaux martyrs innocents, que ça fait très mal cette vérité douloureuse, ses membres sont des fous du diable, créant cette brume recouvrant la maudite ville perdue dans ses cendres envahissants, les sacrifices rituels sataniques abusifs y sont pour quelque chose, mon pauvre enfant...
La mise en scène de l’intrigue qui avance à grand pas, sur le long terme et finira par s’achever, est remplie de questionnement, des parallèles aux droites linéaires coordonnées, alignées, des problèmes à résoudre se laissera suspendre.
Une réalisation virtuose du pacte des loups geek français, de crying Freeman for me together...., ce film est juste bourré de clin d’œil au genre japonais, les larmes ensanglantées à l’infirmerie, quelle poisse ce jeux vidéo...... c’est violent quand cela est justifié, à combattre l’obscurantisme et les injustices impunités, leurs yeux fermés sont crimes impunis, frustration de plus submerge cette folle cité.
L’émouvante aventure torturé entre une mère et sa fille, tel dark water, la philosophie réflexion sur des liens perpétuels forts maternisants, papa prendra la suite salvatrice et impénétrable.