Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Austère et sensible, un très beau film qui nous éloigne des schémas habituels du triangle amoureux pour ne retenir que les silences, les regards, les non-dits des personnages. (...) le Belge Frédéric Fonteyne tire d'une histoire banale une réflexion profonde sur l'amour et la trahison, sur la légèreté de la chair et la force des sentiments.
Première
par Nicolas Schaller
(...) un film envoûtant sur le tiraillement entre l'humain et le sacré, où chaque image, mise en scène comme un tableau, porte le poids de la trahison, de la culpabilité et du pardon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par La rédaction
Le réalisateur d'Une liaison pornographique peaufine un style fait de suggestion et de silences, de paroles troubles laissant la place à l'hésitation entre le fantasme et la vérité... Entre ses deux héroïnes, subissant un peu trop le poids du formalisme forcé de la mise en scène, se détache le mari, interprété par Clovis Cornillac, qu'on ne cesse de trouver formidable de film en film.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
par Michel Ciment
La Femme de Gilles parvient à nous convaincre. En surface, le film appartient au registre naturaliste. (...) Nous sommes dans un cinéma de la chronique descriptive parfois pesante, insistante (...) Mais c'est une dimension plus secrète qui nous attache, le portrait d'une femme magnifiquement interprétée par Emmanuelle Devos.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Par la force rigoureuse de sa mise en scène, Frédéric Fonteyne parvient à rendre à ce drame ambiguïté et dimension tragiquement humaine.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Humanité
par Vincent Ostria
Situé dans le Nord dans les années trente, ce mélo sur un ouvrier qui trompe sa femme, présente tous les symptômes d'un drame ordinaire à la Zola. Pourtant, il offre quelques bonnes surprises. (...) On aimerait que cela sorte un peu plus des sentiers battus, mais on ne peut pas tout avoir.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une adaptation littéraire qui ne manque pas de qualités tout en tombant parfois dans l'ornière académique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Frédéric Fonteyne ne doit pas aimer les histoires d'amour traditionnelles. (...) le film aurait largement mérité d'être plus court, on plonge doucement dans une douce et ennuyeuse torpeur, bien loin de notre enthousiasme du début.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Chaque détail est chargé d'intention, les plans passent, comme des plats, les informations de l'oeuvre originale (...) Sans relief, le film déroule ce récit naturaliste daté, sans âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Gilles Renault
Claquant toutes ses économies dans la reconstitution du Nord prolo de l'entre-deux-guerres, le film n'en finit plus, entre bal musette et pique-nique dominical, de forcer le trait naturaliste, sans parvenir à se rattraper aux branches d'une interprétation convenue.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le Belge Frédéric Fonteyne, fidèle au roman qu'il adapte, maintient l'action dans les années 30, chez des gens de peu. Mais sa mise en scène pointilliste freine l'émotion (...) Un film trop maniéré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
Austère et sensible, un très beau film qui nous éloigne des schémas habituels du triangle amoureux pour ne retenir que les silences, les regards, les non-dits des personnages. (...) le Belge Frédéric Fonteyne tire d'une histoire banale une réflexion profonde sur l'amour et la trahison, sur la légèreté de la chair et la force des sentiments.
Première
(...) un film envoûtant sur le tiraillement entre l'humain et le sacré, où chaque image, mise en scène comme un tableau, porte le poids de la trahison, de la culpabilité et du pardon.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Le réalisateur d'Une liaison pornographique peaufine un style fait de suggestion et de silences, de paroles troubles laissant la place à l'hésitation entre le fantasme et la vérité... Entre ses deux héroïnes, subissant un peu trop le poids du formalisme forcé de la mise en scène, se détache le mari, interprété par Clovis Cornillac, qu'on ne cesse de trouver formidable de film en film.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
La Femme de Gilles parvient à nous convaincre. En surface, le film appartient au registre naturaliste. (...) Nous sommes dans un cinéma de la chronique descriptive parfois pesante, insistante (...) Mais c'est une dimension plus secrète qui nous attache, le portrait d'une femme magnifiquement interprétée par Emmanuelle Devos.
TéléCinéObs
Par la force rigoureuse de sa mise en scène, Frédéric Fonteyne parvient à rendre à ce drame ambiguïté et dimension tragiquement humaine.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Situé dans le Nord dans les années trente, ce mélo sur un ouvrier qui trompe sa femme, présente tous les symptômes d'un drame ordinaire à la Zola. Pourtant, il offre quelques bonnes surprises. (...) On aimerait que cela sorte un peu plus des sentiers battus, mais on ne peut pas tout avoir.
Les Inrockuptibles
Une adaptation littéraire qui ne manque pas de qualités tout en tombant parfois dans l'ornière académique.
MCinéma.com
Frédéric Fonteyne ne doit pas aimer les histoires d'amour traditionnelles. (...) le film aurait largement mérité d'être plus court, on plonge doucement dans une douce et ennuyeuse torpeur, bien loin de notre enthousiasme du début.
Le Monde
Chaque détail est chargé d'intention, les plans passent, comme des plats, les informations de l'oeuvre originale (...) Sans relief, le film déroule ce récit naturaliste daté, sans âme.
Libération
Claquant toutes ses économies dans la reconstitution du Nord prolo de l'entre-deux-guerres, le film n'en finit plus, entre bal musette et pique-nique dominical, de forcer le trait naturaliste, sans parvenir à se rattraper aux branches d'une interprétation convenue.
Télérama
Le Belge Frédéric Fonteyne, fidèle au roman qu'il adapte, maintient l'action dans les années 30, chez des gens de peu. Mais sa mise en scène pointilliste freine l'émotion (...) Un film trop maniéré.