Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) documentaire exemplaire (...)
Télérama
par Isabelle Fajardo
En plantant sa caméra dans la maison de Tuzla, où l'on panse la mémoire encore à vif de ces femmes, Laurent Bécue-Renard ne se contente pas de faire oeuvre d'historien. De briser le silence qui s'abat sur les victimes quand les armes se sont tues et que les télévisions ont plié bagage. Il nous offre une saisissante chroni- que de la renaissance. Tout en sobriété et retenue. Il nous parle de la guerre, et touche le nerf de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
On a l'impression d'être vraiment face à ces femmes et d'entendre leurs paroles, comme si elles s'adressaient directement à nous. Le film ne cherche pas à aller au-delà. C'est sa limite ; c'est aussi ce qui le distingue de beaucoup d'autres : le total respect qu'il manifeste pour ses " personnages ", ses intervenants, pour qui le drame vécu n'est pas du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Isabelle Régnier
Peu inspiré d'un point de vue cinématographique, le film n'en est pas moins servi par son humour, et surtout par l'élégance de son acteur principal (Kalomba Mbuyi) et l'inventivité de son scénario. Avec une réelle liberté de ton, Dominique Standaert installe des personnages attachants dans une intrigue où s'entrechoquent maladroitement, entre humanisme et nostalgie révolutionnaire, des éléments de la culture populaire, d'autres issus de la tradition pygmée ou encore du surréalisme belge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Isabelle Régnier
Après avoir commencé dans le registre plutôt unidimensionnel de l'étude de cas, il prend, avec l'éclosion de ses personnages, une dimension proprement cinématographique. Sa structure en chapitres lui donne un aspect romanesque, voire initiatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La rédaction
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
(...) le film de Laurent Bécue-Renard se distingue par l'extrême sobriété qu'il met à communiquer la proximité de ces expériences "extrêmes" l'émigration clandestine, les ravages de la guerre que l'éloignement et la distorsion de la virtualité télévisuelle nous ont habitués à prendre pour "étrangères".
Positif
par Dominique Martinez
La démarche du cinéaste rend leur humanité à ces femmes et nous laisse un fragile sentiment d'apaisement.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
L'utilisation de la DV, certes moins coûteuse et plus maniable que la caméra, ôte à De guerre lasses un souffle documentaire, une ambition à laquelle le huis-clos presque théâtral du centre thérapeutique aurait pu contribuer. Les impératifs de temps et le coût de la pellicule 16 ou 35 lui auraient sans doute imprimé une urgence, un rythme qui lui manquent, et auxquels un découpage selon les saisons vient pauvrement se substituer.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Laurent Bécue-Renard transforme le spectateur en témoin direct de ces confessions, mais il le fait avec pudeur et discrétion, sans voyeurisme. Cependant, par sa construction répétitive, ce " huis-clos thérapeutique " atteint progressivement ses limites. Si l'émotion demeure, elle perd néanmoins de son intensité.
L'Humanité
(...) documentaire exemplaire (...)
Télérama
En plantant sa caméra dans la maison de Tuzla, où l'on panse la mémoire encore à vif de ces femmes, Laurent Bécue-Renard ne se contente pas de faire oeuvre d'historien. De briser le silence qui s'abat sur les victimes quand les armes se sont tues et que les télévisions ont plié bagage. Il nous offre une saisissante chroni- que de la renaissance. Tout en sobriété et retenue. Il nous parle de la guerre, et touche le nerf de la vie.
Aden
On a l'impression d'être vraiment face à ces femmes et d'entendre leurs paroles, comme si elles s'adressaient directement à nous. Le film ne cherche pas à aller au-delà. C'est sa limite ; c'est aussi ce qui le distingue de beaucoup d'autres : le total respect qu'il manifeste pour ses " personnages ", ses intervenants, pour qui le drame vécu n'est pas du cinéma.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Peu inspiré d'un point de vue cinématographique, le film n'en est pas moins servi par son humour, et surtout par l'élégance de son acteur principal (Kalomba Mbuyi) et l'inventivité de son scénario. Avec une réelle liberté de ton, Dominique Standaert installe des personnages attachants dans une intrigue où s'entrechoquent maladroitement, entre humanisme et nostalgie révolutionnaire, des éléments de la culture populaire, d'autres issus de la tradition pygmée ou encore du surréalisme belge.
Le Monde
Après avoir commencé dans le registre plutôt unidimensionnel de l'étude de cas, il prend, avec l'éclosion de ses personnages, une dimension proprement cinématographique. Sa structure en chapitres lui donne un aspect romanesque, voire initiatique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) le film de Laurent Bécue-Renard se distingue par l'extrême sobriété qu'il met à communiquer la proximité de ces expériences "extrêmes" l'émigration clandestine, les ravages de la guerre que l'éloignement et la distorsion de la virtualité télévisuelle nous ont habitués à prendre pour "étrangères".
Positif
La démarche du cinéaste rend leur humanité à ces femmes et nous laisse un fragile sentiment d'apaisement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
L'utilisation de la DV, certes moins coûteuse et plus maniable que la caméra, ôte à De guerre lasses un souffle documentaire, une ambition à laquelle le huis-clos presque théâtral du centre thérapeutique aurait pu contribuer. Les impératifs de temps et le coût de la pellicule 16 ou 35 lui auraient sans doute imprimé une urgence, un rythme qui lui manquent, et auxquels un découpage selon les saisons vient pauvrement se substituer.
MCinéma.com
Laurent Bécue-Renard transforme le spectateur en témoin direct de ces confessions, mais il le fait avec pudeur et discrétion, sans voyeurisme. Cependant, par sa construction répétitive, ce " huis-clos thérapeutique " atteint progressivement ses limites. Si l'émotion demeure, elle perd néanmoins de son intensité.