Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
En adaptant le roman de Lionel Duroy, Jacques Otmezguine évolue dans un climat à la Sautet, restituant une belle et tendre histoire d'amitié avec des personnages joués par des acteurs subtils et convaincants. Une jolie peinture d'une génération qui a encore des valeurs.
Ouest France
par La rédaction
[...] On pense beaucoup au cinéma de Claude Sautet, quand le déroulé de cette comédie douce-amère s'installe entre gens de bonne compagnie, plutôt nantis et vaguement intellos (...). Du Sautet certes, mais en version plus sombre et torturée (...)
TéléCinéObs
par Alain Riou
(...) un film sextuor très musical, avec un thème commun (....) chaque interprète apportant sa voix instrumentale. Trois couples en quête d'orage ? Six acteurs du tonnerre, des éclats, des éclairs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
France Soir
par Richard Gianorio
Dans Trois couples en quête d'orages, le réalisateur Jacques Otmezguine adapte avec beaucoup d'humanité un roman de Lionel Duroy et filme une histoire d'amour et d'amitié au sein d'une tribu, trois hommes et trois femmes saisis par la crise de la quarantaine avec sa sarabande de doutes, de désillusions et de tentations aussi.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) Otmezguine se contente de faire ce qu'il sait faire : du gros téléfilm lisse et bien écrit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Camille Brun
Les acteurs ne sont pas mauvais (mention spéciale à la trop rare Claire Nebout), la mise en scène n'est pas très inspirée mais ne dessert pas pour autant le propos. Une chose fondamentale manque pourtant : l'émotion.
Paris Match
par Alain Spira
Ce film choral inégal sur les soubresauts affectifs d'une bande de quadragénaires a comme qualité principale ses interprètes. [...] Volontairement décousue, jouant avec les flash-back, cette comédie de moeurs est suffisamment grande pour emplir le petit écran, mais pas davantage.
Première
par Alexis Trosset
Moins simpliste que son titre ne le laisse paraître, cette adaptation du roman éponyme de Lionel Duroy est le juste portait de trois couples, un film choral sur six quadragénaires perdus (...). La sincérité des émotions rachète une exécution qui dépasse à peine la qualité téléfilm.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Yasmine Youssi
Dommage que ce film, contruit à coups de flash-back comme un puzzle, se révèle inégal. Brillant par l'excellente interprétation des comédiens, juste et subtile pour évoquer le couple Olivier-Rémy, mais malheureusement ankylosé par sa longueur
Brazil
par Caroline Vié
La crise de fois de quadragénaires est filmée de façon fort mollassonne par Jacques Ortmezguine. Cette chronique vue 8800 fois ne pousse ni à l'enthousiasme ni à la vindicte.
Cahiers du Cinéma
par Xavier Tresvaux
Trois couples a pour défaut de compliquer une intrigue simple par un imbrouillamini temporel. [...] C'est un déballage. Chiffons bobos, charités usées à la trame, bavardage psycho-cynique, auto-censure à zéro dévoilent jusqu'où peuvent aller des quadras embourgeoisés - "loin".
L'Humanité
par Vincent Ostria
Méli-mélo raplapla. Une valse des couples assez factice, distillant une vague mélasse sentimentale comme il en coule à flots sur le petit écran (...). Chabadabadas version quadra, avec surenchère de cabotinage à la clé. Du nanan pour France 2.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il n'y a pas loin de l'orage au naufrage (...) les dialogues sentencieux et souvent déclamatoires sont là pour ne laisser aucune part à la libre interprétation. C'est vrai pour le spectateur, mais aussi pour les comédiens, dont les efforts méritoires font peine à voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par La rédaction
Les allers et retours entre le passé et le présent d'une bande de potes, avant et après l'accident qui paralyse l'un d'entre eux, donnent lieu à de consternantes réflexions sur la vie (c'est chouette), la mort (ça fait peur), l'amour (c'est compliqué) et l'amitié (c'est trop fort).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) un véritable naufrage : un naufrage scénaristique (...), naufrage stylistique (...), naufrage de l'interprétation (je ne citerai pas de nom).
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Rania Hoballah
(...) pour passer habilement d'une histoire à l'autre et se permettre digressions et flash-back dans un récit destructuré, il faut une parfaite maîtrise de la mise en scène et un scénario béton. Otmezguine n'étant ni Altman, ni Inárritu, son film est confus, brouillon.
Le Figaroscope
En adaptant le roman de Lionel Duroy, Jacques Otmezguine évolue dans un climat à la Sautet, restituant une belle et tendre histoire d'amitié avec des personnages joués par des acteurs subtils et convaincants. Une jolie peinture d'une génération qui a encore des valeurs.
Ouest France
[...] On pense beaucoup au cinéma de Claude Sautet, quand le déroulé de cette comédie douce-amère s'installe entre gens de bonne compagnie, plutôt nantis et vaguement intellos (...). Du Sautet certes, mais en version plus sombre et torturée (...)
TéléCinéObs
(...) un film sextuor très musical, avec un thème commun (....) chaque interprète apportant sa voix instrumentale. Trois couples en quête d'orage ? Six acteurs du tonnerre, des éclats, des éclairs.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
Dans Trois couples en quête d'orages, le réalisateur Jacques Otmezguine adapte avec beaucoup d'humanité un roman de Lionel Duroy et filme une histoire d'amour et d'amitié au sein d'une tribu, trois hommes et trois femmes saisis par la crise de la quarantaine avec sa sarabande de doutes, de désillusions et de tentations aussi.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Chronic'art.com
(...) Otmezguine se contente de faire ce qu'il sait faire : du gros téléfilm lisse et bien écrit.
MCinéma.com
Les acteurs ne sont pas mauvais (mention spéciale à la trop rare Claire Nebout), la mise en scène n'est pas très inspirée mais ne dessert pas pour autant le propos. Une chose fondamentale manque pourtant : l'émotion.
Paris Match
Ce film choral inégal sur les soubresauts affectifs d'une bande de quadragénaires a comme qualité principale ses interprètes. [...] Volontairement décousue, jouant avec les flash-back, cette comédie de moeurs est suffisamment grande pour emplir le petit écran, mais pas davantage.
Première
Moins simpliste que son titre ne le laisse paraître, cette adaptation du roman éponyme de Lionel Duroy est le juste portait de trois couples, un film choral sur six quadragénaires perdus (...). La sincérité des émotions rachète une exécution qui dépasse à peine la qualité téléfilm.
Zurban
Dommage que ce film, contruit à coups de flash-back comme un puzzle, se révèle inégal. Brillant par l'excellente interprétation des comédiens, juste et subtile pour évoquer le couple Olivier-Rémy, mais malheureusement ankylosé par sa longueur
Brazil
La crise de fois de quadragénaires est filmée de façon fort mollassonne par Jacques Ortmezguine. Cette chronique vue 8800 fois ne pousse ni à l'enthousiasme ni à la vindicte.
Cahiers du Cinéma
Trois couples a pour défaut de compliquer une intrigue simple par un imbrouillamini temporel. [...] C'est un déballage. Chiffons bobos, charités usées à la trame, bavardage psycho-cynique, auto-censure à zéro dévoilent jusqu'où peuvent aller des quadras embourgeoisés - "loin".
L'Humanité
Méli-mélo raplapla. Une valse des couples assez factice, distillant une vague mélasse sentimentale comme il en coule à flots sur le petit écran (...). Chabadabadas version quadra, avec surenchère de cabotinage à la clé. Du nanan pour France 2.
Le Monde
Il n'y a pas loin de l'orage au naufrage (...) les dialogues sentencieux et souvent déclamatoires sont là pour ne laisser aucune part à la libre interprétation. C'est vrai pour le spectateur, mais aussi pour les comédiens, dont les efforts méritoires font peine à voir.
Les Inrockuptibles
Les allers et retours entre le passé et le présent d'une bande de potes, avant et après l'accident qui paralyse l'un d'entre eux, donnent lieu à de consternantes réflexions sur la vie (c'est chouette), la mort (ça fait peur), l'amour (c'est compliqué) et l'amitié (c'est trop fort).
Positif
(...) un véritable naufrage : un naufrage scénaristique (...), naufrage stylistique (...), naufrage de l'interprétation (je ne citerai pas de nom).
aVoir-aLire.com
(...) pour passer habilement d'une histoire à l'autre et se permettre digressions et flash-back dans un récit destructuré, il faut une parfaite maîtrise de la mise en scène et un scénario béton. Otmezguine n'étant ni Altman, ni Inárritu, son film est confus, brouillon.