AlloCiné
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Votre avis sur Ma mère ?
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"ma mère, qu'on voit danser le longs des golfes clairs, la lala lalala"... bon euh la non c'est pas trop ca !!! c'est plutôt "voyage au dessus d'un nid de crasseux", je m'explique : un film creux, vide, nul, avec un intérêt a taux zéro (tu vois le genre !), un films avec des scenes de nus mimant des actes sexuels, jusque la pas de quoi s'affoler mes petits grizzlys, sauf que ben c'est une sexualité de gros pervers décadent : sado-maso-lesbo-incesto, c'est grosso merdo du pipeau pseudo-intello, isabelle huppert me casse les --bips-- depuis qu'elle a décidé de jouer que des grosses --bips-- dépravées, avec un louis garrel agacant tellement son personnage est con et pue le caca d'adolescent qui fouette dans ses pompes, bon si on est un gros voyeur obsédé du cul pervers comme moi même je le suis on se délectera, la bave a la bouche et les yeux exhorbités, de passer le film en accéléré pour voir les scènes chic, pour voir les scènes choc, et toc !!! par contre a côté c'est trop trop naze mon poteau !! je crois que les réalisateurs chics, chocs, intellect-en-tocs, ont tous d'un commun accord décidé de se calquer a un standard : "bon les gars, on va faire des films centrés sur la perversion sexuelle glauque, mais attention !!! on va pas faire de porno parce que c'est has-been et pas assez subversif, non, nous on va faire des films lents, tout en longueurs, avec un budget rikiki (sinon on sera jugé mainstream, la honte !! on risquerait de gagner de l'argent et de faire des apparitions aux enfants de la télé sur TF1 !!!) et puis même que on fera ca le plus neutre possible, sans aucune morale, parce que la morale c'est pour les cons, et nous on est mieux !!!" ok poteau ??? si t'a saisi ca, t'a tout saisi au films de cristophe honoré, michael haneke, et l'autre grec qui a fait "canine" (une copie de copie d'haneke), et tout les autres que j'oublie, les génies incompris que y'a qu'eux qui se comprennent tellement y'a rien a comprendre !!
Artriste
"Film" sans queue ni tête, complètement malsain remplis de scènes choque qui sont la juste pour choquer sans aucun message derrière, aucun scénario, juste une multitude de séquences mal montées pour montrer du sexe, la réalisation est affreuse, certaines scènes sont tournées au ralenti et c'est complètement dégueulasse et sans intérêt à part pour prolonger des moments inutiles. De plus les acteurs surjouent les dialogues, dialogues qui d'ailleurs ne riment à rien, une véritable orgie familiale très choquante que seul les dingues prendrons du plaisir à regarder. Comment peut-on financer cela? Ce machin est une honte qui devrait être censurée. On peut parler de sujets graves et de sexe en ayant un vrai fond et du talent suffit de voir Larry Clarks. Je n'ai pas réussi à passer l'heure tant c'est pitoyable! Un porno familiale, tous ceux qui ont participé de près ou de loin à ce projet devraient avoir honte! Je ne ressens que du dégout et de la colère en voyant ce téléfilm pour violeur en série!
Décidément, il est difficile d'échapper aux films interdits aux moins de 16 ans ces temps çi !
Tout d'abord, le film vaut la peine, uniquement pour la prestation d'Emma de Caunes, méconnaissable en bimbo sentimentale perdue dans les mélanges philosophiques du scénario.
Ensuite, on accède à la décadence ou la déconfiture d'une pensée occidentale du jusqu'au boutisme quant à l'hédonisme élevé en dernier rempart contre le néant de l'existence. Bien avant celui de la mort.
C'est un sujet difficile à mettre en scène sans tomber dans le glauque le plus sordide et le "sad end" téléphoné. On peut dire que, tout en surfant dangereusement sur la corde, le réalisateur réussit à éviter la caricature, c'est sans doute la raison pour laquelle deux prestigieuses actrices ont accepté le script.
Bien sûr il y a du sexe racoleur, quoique toujours avec une pincée d'originalité ou de sens. Bien sûr c'est très malsain.
Mais. C'est filmé au soleil, ce qui donne une émotion lumineuse, un peu comme le premier "Emmanuelle" dans la scène avec Boisson, il y a un charme de la chair qui évite le plastique désincarné hollywoodien pour atteindre la sensualité pantagruélique.
Le propos est limité, quoique, c'est un des seuls choix lorsque l'on comprend, une fois dans sa vie, le désenchantement. Mais il a le mérite d'être correctement filmé avec un rythme soutenu et un semblant de scénario.
Un road movie immobile, existentialiste, non dénué d'humour noir, un peu scandaleux, mais un peu universel quand même.
A réserver à un public averti néanmoins, et pas seulement pour les scènes scabreuses.
Tout d'abord, le film vaut la peine, uniquement pour la prestation d'Emma de Caunes, méconnaissable en bimbo sentimentale perdue dans les mélanges philosophiques du scénario.
Ensuite, on accède à la décadence ou la déconfiture d'une pensée occidentale du jusqu'au boutisme quant à l'hédonisme élevé en dernier rempart contre le néant de l'existence. Bien avant celui de la mort.
C'est un sujet difficile à mettre en scène sans tomber dans le glauque le plus sordide et le "sad end" téléphoné. On peut dire que, tout en surfant dangereusement sur la corde, le réalisateur réussit à éviter la caricature, c'est sans doute la raison pour laquelle deux prestigieuses actrices ont accepté le script.
Bien sûr il y a du sexe racoleur, quoique toujours avec une pincée d'originalité ou de sens. Bien sûr c'est très malsain.
Mais. C'est filmé au soleil, ce qui donne une émotion lumineuse, un peu comme le premier "Emmanuelle" dans la scène avec Boisson, il y a un charme de la chair qui évite le plastique désincarné hollywoodien pour atteindre la sensualité pantagruélique.
Le propos est limité, quoique, c'est un des seuls choix lorsque l'on comprend, une fois dans sa vie, le désenchantement. Mais il a le mérite d'être correctement filmé avec un rythme soutenu et un semblant de scénario.
Un road movie immobile, existentialiste, non dénué d'humour noir, un peu scandaleux, mais un peu universel quand même.
A réserver à un public averti néanmoins, et pas seulement pour les scènes scabreuses.
Un fiml que j'ai beaucoup aimé et ma agréablement surprise, un scenario très "trash" ainsi que des images, la fin est assez brutal, ames sensibles s'abstenir
Un film étrange d'une grande beauté plastique avec un gros travail sur la lumière. Le jeu des acteurs est bon ( mention spéciale à Garrel et De Caunes) mais inégal. Le film est toutefois un peu bancal bien loin des films suivant comme Les Chansons d'Amour par exemple. En résumé c'est un film convenable mais pas le meilleur d'Honoré.
Heureusement en DVD il ne coûte pas cher. Non, le jeu de Louis Garrel est mauvais, Isabelle Huppert est un cran nettement au-dessus mais je n'appréécie pas bien cette façon de faire volontairement de la diction théâtrale : la touche Honoré frôle ici la prétention. Le film donne une image vachement glauque de Maspalomas, quand même, presque glaciale. Où est le désir, là-dedans ? On a l'impression de le voir, qu'on nous le montre, alors qu'en réalité tout fait chiqué. Les passages sur l'expérience sado-masochiste sont un peu longuets ; ça pleurniche on sait pas trop pourquoi, ça pète un plomb on ignore bien pourquoi, tout ça au nom du trouble intérieur insoluble vécu par le fils... image phantasmatique d'un C. Honoré bisexuel marqué (ici, torturé) par le poids d'une bigoterie bretonne qui lui tient aux neurones. L'image de la mère "salope", dépassant absolument toute avancée libératrice en matière sexuelle, reste la projection imaginaire d'un esprit qui manifestement a beaucoup réfléchi au risque de rapports mentaux dangereusement incestueux entre mère et fils. Quand on pense que ça va fnir, eh bien, non, ça continue, et le film paraît sans fin, sauf qu'il y en a bien une, dans le genre "je vais essayer de traumatiser le spectateur"... ce qui nous vaut ces notes très basses, sous l'effet de l'écœurement infligé ou d'une lassitude à devoir finalement subir à la chaîne ces tentatives peu cohérentes de parvenir à un trouble plausible. Ceci dit, le film a tout de même le mérite d'exister, ne serait-ce que parce qu'il tranche avec tous les produits filmiques globalement aseptisés qu'on nous sert à l'écran. Toutefois, pour les esprits qui en ont vu d'autres, la volonté de choquer ne prend pas, mis à part sans doute à la fin. Le manque d'ancrage, de réalité même des caractères y semble pour beaucoup.
Une ambiance curieuse et opressante dans ce film très particulier ,mais pas désagréable .
Le jeu d'acteur de Louis Garrel est bien la seule chose qui sauve ce film inepte. Moi qui suis une grande fan de Christophe Honoré, c'est bien la première fois qu'un de ses films m'inspire une si forte répulsion, et ceux, dés les premières secondes du film
L'histoire n'est pas mauvaise en soi, mais le tout est très mal filmé et très mal joué
L'histoire n'est pas mauvaise en soi, mais le tout est très mal filmé et très mal joué
Wouahou!!!! un rôle parfait pour Isabelle Huppert, les tourments d'une mère qui ne sait plus, qui déborde d'elle-même, qui lâche tout du plus profond d'elle-même.Faire le plein des tourments, détournements de soi et de l'autre, la corruption de la chair par la relation mère-fils, un film dérangeant, brut, impudique! A voir
Le film de Christophe Honoré - intéressant à plus d'un niveau - ne cherche jamais à se rendre sympathique ni à complaire de quelque manière que ce soit : c'est en même temps sa force, son audace et son échec. Ma Mère est une oeuvre sèche, superbement interprétée par un Louis Garrel taciturne, évoquant les tangos parisiens de son mentor : l'incontournable Jean-Pierre Léaud. Isabelle Huppert, l'oeil sanguin, peine à trouver la puissance du personnage qu'elle incarnait dans La Pianiste de Michael Haneke - ce dernier film partageant quelques points communs avec le métrage de Christophe Honoré. Si Ma Mère peut décevoir, c'est surtout dans son incapacité à amplifier la fable, celle-ci d'emblée étouffée par une intellectualisation des rapports dramatiques, certes parfois passionnante, mais cruellement figée. Le film est une proposition non dénuée de qualités, proche de l'ébauche à vocation auteuriste. Un film à re-voir, probablement... du moins si l'impact est au rendez-vous, au quel cas l'objet - prototype de l'inachèvement - se révèlera purement intriguant.
Ma mère n’est pas un très bon film de Christophe Honoré. Scénario peu intéressant, mise en scène du réalisateur à revoir avec notamment des scènes inutiles, des images choquantes, un film peu intéressant, dérangeant etc… Bref, à éviter…
Second film de Christophe Honoré , "ma mére" surprend plus qu'il ne dégoute, intrigue plus qu'il ne choque.Le film s'attarde sur la relation ambigue qu'entretient une mére avec son fils,et ainsi à la ligne transgressive qui sépare l'amour maternelle du désir...Au début , ça semble être un drame bourgeois presque suranée mais trés vite le climat génerale s'allourdit : Maman Huppert picolle en vociférant des chants paillards , fréquente des nymphos hysteros ,pratique des jeux sexuels inquiétant... Le fils quant à lui hésite entre honte et amour , entre mépris et résignation , utilisant Dieu comme éxutoire. Enfin , Emma De Caunes vient semer un plus le trouble , dans un rôle plus névrotique qu'érotique.Tout ça fait un drame oedipien plutôt réussit : trés beau formellement (du génerique à la lumiére),rigoureusement interpretée par une Isabelle Huppert habituer aux rôles de névrosées ( cf Erika Kohut dans "la pianiste" ...), de véritables instants de grâces( la déscription de l'équarisseur,la conclusion) et une B.O perfect pour desamorcer la lourdeur du propos. Dommage que Honoré veuille rendre l'oeuvre plus opaque en pratiquant des ellipses gratuites et en ommetant de donner des fils explicatifs( trés peu d'informations sur les personnages secondaires : que ce soit le pére ou le couple que Louis Garrel vire sans ménagement) , ce qui est assez frustrant pour le spéctateur.Cependant le film reste maîtrisé, ne s'aventurant jamais dans le chic et choc,Honoré écorche le mythe de la mére protectrice et nourrissiére et lui préfere une mére vénéneuse vampirisé par des désirs incestueux.
Un film très particulier qui ne peut laisser froid. De nombreuses scènes sont surprenantes voire choquantes mais c'est surtout leur caractère inexplicable, arbitraire et hermétique qui m'a frappé. Très vite le film m'a paru avoir une mécanique interne peu accessible et donc méprisante pour le spectateur, qui me semble nié voire négligé. Un film prétentieux donc.
Un film assez spécial, dans les relations menées entre les personnages; une mère qui va faire découvrir à son fils le vice et l'atmosphère parfois malsaine du film.
Ca peut paraître choquant mais j'ai plutôt été surpris par son déroulement (Isabelle Huppert et Emma De Caunes sont irréprochables); ce qui m'a le plus gêné et le nombre de monologue et de passages ralentissant le film, le côté religieux est bof!
Ca peut paraître choquant mais j'ai plutôt été surpris par son déroulement (Isabelle Huppert et Emma De Caunes sont irréprochables); ce qui m'a le plus gêné et le nombre de monologue et de passages ralentissant le film, le côté religieux est bof!
Un film qui en veut trop, qui se veut trop intimiste, et au final, c’est pesant. L’idée de départ est bonne : un jeune homme qui va découvrir qui est vraiment sa mère, alors que celle-ci ne supporte plus cet amour plus que filial qu’il lui offre. Mais après, c’est une suite de scènes « osées », qui se veulent choquantes, avec, entre deux scènes, rien. J’avais acheté ce film pour Isabelle Huppert, j’ai maintenant presque honte qu’il soit dans ma collection dvd.
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