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Mokrom
1 abonné
19 critiques
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1,5
Publiée le 5 août 2010
N'ayant pas lu le livre de Dickens, je ne peux pas critiquer l'adaption fait au cinema. J'ai l'impression que Roman Polanski s'est un peu perdu lors de la réalisation du film. A qui ce film est-il adressé?? a un jeunes public, a des ados ou a des adultes... On ne sait pas trop, c'est le plus gros reproche que j'aurais a faire de ce film. Sinon pour ne parler que du film, les jeunes comediens notament Barney Clark se débrouillent très bien dans des roles plutot difficiles. De plus les décors sont vraiment magnifiques.
Alors là je dois avouez : chapeau !! Je ne comprend pas les gens ki mettent ke les acteurs sont mauvais, au contraire ils sont GENIAUX nottament celui ki joue le petit oliver twist (peut être un future grand acteur?). ce ki ma le plus plu c l'émotion ke ce film fait passer. on s'attache facilement aux personnages et on passe un excelent moment. j'ai perso même lachée une petit larme à la fin !! :)
Comme un conte, ça finit bien. Mais l'émotion est au rendez-vous des détours des ruelles sordides de l'Est londonien du 19ème siècle victorien, extraordinairement bien reconstitué en studio. Mais tout de même, le méconnaissable et stupéfiant Ben Kingsley aurait mériter d'échapper à la logique de l'ordre alphabétique dans le générique !
Un film très bien réalisé avec des décors splendides et de très bons acteurs! Le seul bémol à ce film, c'est qu'il manque cruellement d'entrain, de quelque chose qui nous fasse plus accrocher.
De ce film on retient surtout Fagin (Ben Kingsley) et Coquin qui jouent leur rôle à la perfection!
Je suis surpris par les commentaires portés au sujet du film de Polansky , quand je vois des critiques comme " ce film est mal tourné" , "c'est le pire de ¨Polansky" , je le dis , je suis indigné ,comment une telle critique peut-être possible. C'est un film magnifiquement réalisé qui nous porte au détour de l'imagination ce film est comme à l'habitude de Polansky parfait, avec des reconstitution parfaite de Londres, un choix des acteurs sans erreurs, un divertissement de tout les instants. Bravo Polansky pour ce film admirable. Et pour ceux qui trouvait ce film ennuyeux retenez cette phrase " de l'ennui naquit l'imagination" vous en aurez besoin.
Beaux décors, belle reconstitution de l'ambiance d'époque ceci dit pour moi ce film est plutôt fait pour rivaliser avec Harry Potter dans la tranche d'age 10-14 ans...
J'avais vraiment hâte de voir le dernier film de Polanski; un cinéaste que je respecte énormément. Tout d'abord, il faut dire que faire suite au film "Le pianiste" était un grand défi et pour moi, il l'a relevé. "Oliver Twist" est un film fidèle à l'oeuvre de Dickens, filmé impeccablement, avec de grands moyens, et des interprètes parfaits. Il y a tout d'abord Sir Ben Kingsley en Fagin, le vieux voyou qui va « éduquer » Oliver. Un Fagin vraiment terrifiant parfois, et pourtant non sans relief, un vrai méchant de contes de fées, affreux et tordu. Une interprétation qui donne une vraie profondeur au personnage. Face à lui, le jeune Barney Clark parvenant à jouer entre sensiblerie et intelligence avec le talent d'un futur grand comédien, interprète un Oliver ballotté par le hasard et les coïncidences. La photographie est tout simplement sublime, d'une beauté esthétique rare. Les Costumes et les décors d'une précision et d'un réalisme incroyable. La musique composé par Rachel Portman crée une ambiance qui se confond parfaitement à l'histoire en restant simple mais avec des mélodies vraiment magnifiques. La mise en scène de Polanski est à la fois sobre, rigoureuse et époustouflante. Chaque plan est minutieusement travaillé, aucun n'est de trop, aucun ne manque. Polanski nous signe un "Oliver Twist" qui affirme haut et fort la nécessité de lamour, qui revendique sa foi en lamour, qui refuse de céder à la médiocrité quil ne fait que constater et subir. Car il y a aussi des gens aimants. Et ce film nous raconte et nous dit la quête fondamentale et perpétuelle de lamour, le besoin absolu damour, la nécessité daimer et dêtre aimé à laquelle Oliver ne renonce pas malgré le destin qui sacharne et contre lequel il ne peut lutter. Cet "Oliver Twist" est donc une adaptation Sublime, une reconstitution exceptionnelle de l'Angleterre victorienne... un film qui devrait devenir un classique, largement à la hauteur du roman de Dickens.
Un très beau film avec des paysages et un décor éblouissants : on se croirait vraiment au XIXe siècle. Maquillages parfaits et superbes costumes favorisent l'immersion du spectateur dans cet autre siècle. Cependant, malgré de très belles images, l'émotion semble être la grande absente de ce film.
Après le film du formidable David Lean dans les années trente, Roman Polanski nous projette à son tour dans l'Angleterre victorienne. D'un côté les riches (cultivés et dotés parfois d'une once de générosité) et de l'autre les misérables (sales, voleurs, incultes et sans éducation); les hommes de loi faisaient l'interface entre les gens aisés et les misérables, ils protégeaient les premiers de la horde sauvage (les seconds). Cette situation tragique décrite par le grand Dickens (l'équivalent par le talent et l'engagement de notre Victor Hugo) est transposée magistralement à l'écran par un génial Roman Polanski. Quand celui-ci est inspiré, ses films sont des chef d'oeuvre. Tout au long du film, l'atmosphère lourde de l'époque y est restituée avec précision et justesse. Et tout au long des péripéties de Twister, de l'orphelinat où les conditions de survie sont inhumaines au happy end réjouissant, l'émotion forte demeure intacte. Ben Kingsley (Gandhi, la liste de schindler,...), c'est-à-dire le vieux et avare Fagin, tient un rôle sheckspearien à la mesure de son immense talent. Oliver Twist est un film dramatique pour une communion entre toutes les tranches d'âge, ce qui constitue un bel exploit. Le film nous ouvre durant deux heures les portes d'une époque révolue que l'on aimerait surtout pas connaitre..sinon par le biais d'un grand magicien de l'image nommé Roman Polanski.
J'ai 9 ans et j'ai adoré le film. L'histoire,les acteurs,la façon de filmer, sont vraiment bien. Je n'ai jamais lu le livre mais,j'ai envie de le lire. Je le conseille.
Fortement déçu par Polanski, auteur du meilleur comme du pire ! Le pire en l'occurence avec ce film : c'est long, interminable, mal joué, les plans se succèdent sur les allées et venues des enfants, les décors sont proprets et ne reflètent pas l'ambiance de Londres de l'époque, et le pauvre Oliver est bien gentil, on le croirait posé là en attendant que ça se passe, prêt à subir tout les malheurs : même quand il a la possibilité de s'échapper, il attend sagement que son bourreau arrive ... en bref : un bon navet.
j'ai trouvé ce film un peu mou du genou, mais interressant. le temps était long parfois mais les images nous plongent bien dans un univers à la dickens.
Ce film respecte bien le roman et donne l'impression de faire partie de l'histoire,comme si on y était et que l'on observait toutes les scènes d'un regard attentif et concerné mais sans pouvoir intervenir. Pour résumer ce film est à voir (surtout si on a aimé le roman.)
Sattaquer en 2005 à une énième adaptation dOliver Twist relevait presque dune hérésie. Dabord parce quil est quasi impossible de transcrire en image la flamboyance des mots de Dickens. Ensuite parce que passer derrière la version de Lean (1947), la plus accomplie jusque là, allait entraîner des comparaisons. Mais Polanski, en plus dêtre un éminent cinéaste est également un admirateur de luvre. Deux atouts qui font de son film une réussite. Celle que lon nosait attendre. Il contourne la difficulté de ladaptation fidèle à la virgule en extirpant lessence du roman quil sublime avec sa propre interprétation des faits et son vécu. Il ne cherche aucun artifice dune adaptation moderne, qui ferait dOliver un « pti gars des banlieues ». Au contraire Roman Polanski se veut très respectueux de lhistoire en lillustrant au mieux. Pour cela il sest entouré dune équipe de techniciens admirables, et sest doté dun casting brillant à commencer par les gamins. Quant à Ben Kingsley, il est de loin le meilleur Fagin quil nous ait été donné de voir. Il pousse son personnage vers la caricature : monstrueux, repoussant, tendre, cupide. Tel, que notre imaginaire denfant lavait créé il y a quelques années en le lisant.