Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
TéléCinéObs
par Alain Riou
Philippe de Broca met en scène cette adaptation avec une alacrité, même dans la férocité qui fait briller Catherine Frot d'un éclat inattendu. Du fiel qui se boit comme du petit lait. Un étrange délice.
Aden
par la rédaction
Vipère au poing s'en tient à une illustration, qualité France, pas déshonorante mais sans âme. On avait vraiment envie, grâce à Vipère au poing, d'avoir enfin l'occasion d'écrire l'admiration que l'on porte à Philippe de Broca ; on ne peut hélas que le faire à moitié.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Pour ce qui est du film, il se laisse voir sans se pousser ni du coude ni du col. Certains jours, on se dit que c'est une qualité.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Sophie Grassin
De Broca adapte Hervé Bazin dans un parfum d'encaustique et haine mortelle (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Adaptation trop sage du roman cruel d'Hervé Bazin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Le fantôme d'Alice Sapritch est prié de ne pas hanter les traits plus doux de Catherine Frot, la Folcoche d'aujourd'hui. C'est clair : le film joue contre le livre, qui ne carbure qu'à la méchanceté, la rancoeur et la haine. Du roman, le film n'aime que son aspect Guerre des boutons : blagues de gosses, affrontements épiques avec la reine mère, confrérie secrète des enfants martyrs, avec contrat signé au sang.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il aurait fallu sans doute un tempérament moins heureux que celui de Philippe de Broca pour distiller à l'écran le venin de la vipère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Camille Brun
Jules Sitruk (...) le jeune comédien, révélé au cinéma par Monsieur Batignole, s'avère, avec sa bouille d'ange et ses mimiques forcées, parfaitement incapable de faire croire à la haine qui le lie paradoxalement à sa mère. Ce qui se voulait le portrait vénéneux d'une terrible famille n'est alors qu'une banale chronique, aussitôt vue, aussitôt oubliée.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
TéléCinéObs
Philippe de Broca met en scène cette adaptation avec une alacrité, même dans la férocité qui fait briller Catherine Frot d'un éclat inattendu. Du fiel qui se boit comme du petit lait. Un étrange délice.
Aden
Vipère au poing s'en tient à une illustration, qualité France, pas déshonorante mais sans âme. On avait vraiment envie, grâce à Vipère au poing, d'avoir enfin l'occasion d'écrire l'admiration que l'on porte à Philippe de Broca ; on ne peut hélas que le faire à moitié.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Pour ce qui est du film, il se laisse voir sans se pousser ni du coude ni du col. Certains jours, on se dit que c'est une qualité.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
De Broca adapte Hervé Bazin dans un parfum d'encaustique et haine mortelle (...).
Télérama
Adaptation trop sage du roman cruel d'Hervé Bazin.
Chronic'art.com
Le fantôme d'Alice Sapritch est prié de ne pas hanter les traits plus doux de Catherine Frot, la Folcoche d'aujourd'hui. C'est clair : le film joue contre le livre, qui ne carbure qu'à la méchanceté, la rancoeur et la haine. Du roman, le film n'aime que son aspect Guerre des boutons : blagues de gosses, affrontements épiques avec la reine mère, confrérie secrète des enfants martyrs, avec contrat signé au sang.
Le Monde
Il aurait fallu sans doute un tempérament moins heureux que celui de Philippe de Broca pour distiller à l'écran le venin de la vipère.
MCinéma.com
Jules Sitruk (...) le jeune comédien, révélé au cinéma par Monsieur Batignole, s'avère, avec sa bouille d'ange et ses mimiques forcées, parfaitement incapable de faire croire à la haine qui le lie paradoxalement à sa mère. Ce qui se voulait le portrait vénéneux d'une terrible famille n'est alors qu'une banale chronique, aussitôt vue, aussitôt oubliée.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com