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chrischambers86
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2,5
Publiée le 2 avril 2009
Le visage ènigmatique et le regard aussi froid que son automatique, Charles Bronson règle ici ses comptes avec l'organisation du crime! Rythmè par des accords d'Ennio Morricone, ce thriller de Sergio Sollima donne au comèdien l'occasion de retrouver à l'ècran sa propre femme Jill Ireland! Contrairement à ses prècèdents rôles, elle est ici son ennemie et l'oblige à affronter des personnages dangereux et avides de puissance: Telly Savalas, un chef de bande rèpugnant et richissime, Umberto Orsini, un jeune avocat sans scrupule, et Michel Constantin, un truand droguè! Un produit de bonne facture ou Bronson tient un rôle à la mesure de son tempèrament et de son physique...
Tout juste deux étoiles. La fin est forte et bien filmée et la musique de Morricone vraiment bonne. Mais les défauts ne manquent hélas pas. Le scénario, qui oscille entre lutte de pouvoir pour contrôler l' "Organisation", une structure mafieuse, et jeu amoureux entre Charles Bronson et Jill Ireland, n'est pas franchement captivant. Le rythme est lent, la mise en scène le plus souvent plate et laborieuse. On n'est jamais transporté par l'action, si ce n'est la course-poursuite initiale en voiture, très bien filmée, la fin tragique du pilote de la voiture n°7 de la course automobile, et le final dans l'ascenseur de verre. Autant Bronson est plutôt crédible en tueur impénétrable, autant il apparaît complètement décalé et hermétique dans les scènes sensuelles. Il ne dégage absolument rien de tel, rendant les scènes avec Jill Ireland grotesques. Quant à cette dernière, elle peine à incarner cette fofolle qui se mue on ne sait trop comment en femme de tête qui s'impose à la tête de l'Organisation. Scénario bâclé, mise en scène juste acceptable, interprétations inégales... A voir une fois, mais guère plus !
Un excellent thriller avec un Charles Bronson efficace dans le role d'un tueur à gages. Il n'y a pas beaucoup d'action comme pourrait le faire croire le titre mais cette histoire de vengeance et de trahison est plutot plaisante à suivre.
Un film avec de nombreuses longueurs et où les scènes d'action sont très rares. Les acteurs eux-mêmes ont l'air de s'ennuyer. Rien à voir avec "Un justicier dans la ville" avec le même Bronson qui nous avait habitué à mieux (comme Michel Constantin et Telly Savalas d'ailleurs).
Malgré quelques longueurs, La cité de la violence n'est pas un trop mauvais film. Et puis on est toujours content de trouver un film avec une musique d'Ennio Morricone qui reste le plus grand compositeur de musique de cinéma.
Sollima dans un film de commande, met en scène les pérégrinations du couple Bronson-Jill Ireland. Le scénario est bancal, le jeu des acteurs indigent ! Quelques beaux plans de Sollima, un casting intéressant avec un Telly Savalas qui se complaît dans les rôles d'affreux et un Michel Constantin dans un rôle de junkie !! Même la musique de Morricone n'est pas terrible ! Bref, une curiosité nanardesque à consommer avec modération !
Je m'attendais à un bon d'action bien musclé et mouvementé mais il n'en est rien car La Cité de la violence (où la violence est peu présente ainsi que l'action) n'est jamais prenant à cause d'un scénario mal écrit. Charles Bronson est fait pour incarner ce type de personnage (un tueur à gages solitaire) et la mise en scène est correcte mais l'histoire se perd trop dans du mélo et l'approche dramatique ne fonctionne pas. Il n'y a pas eu les fusillades et l'action que je souhaitais.