Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dommage que Zig-Zag n'ait pas emprunté à Babe la richesse de ses scénarios. Ceci dit, on conseille (...) d'emmener les mômes voir ce charmant petit film plutôt que le mou de l'animation comme du rythme Madagascar.
Fable sur la différence et le dépassement de soi, Zig-Zag évite la morale à la Disney. L''humour risque de passer bien souvent au-dessus de la tête des plus petits. Il permettra au moins à leurs parents de ne pas s'ennuyer.
Destiné aux (petits) enfants, ce cocktail de clichés et de bons sentiments mêle animaux de basse-cour dressés et bêtes de campagne en dessin animé. Tous volubiles et doublés par des acteurs bêlants. Pour amateurs de zoos de ferme, et encore.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On est quand même en droit de faire la fine gueule devant les jeux de mots " pouët pouët " et la réalisation mollassonne. Et puis côté doublage, censé être le point fort de ce genre de films, on tire carrément la tronche : côté VO, il y a Snoop Dogg, Dustin Hoffman, Whoopi Goldberg alors que le public français a droit aux chanteurs de la Star Ac' 4 et Gérard Klein. La classe !
Humour facile, dialogues lourdingues, bons sentiments, morale convenue, l'ensemble, articulé autour de personnages et de situations clichés, est d'une niaiserie pesante.
Dommage que le moindre rebondissement de cette intrigue sente le rechauffé à plein nez, au grand désarroi du spectateur de moins de 7 ans qui devrait se sentir lésé.
La critique complète est disponible sur le site Score
Côté humains, on frôle l'indigence : le papa veuf depuis un accident de cheval refuse que sa gentille fifille coure, la propriétaire de l'hippodrome, prête à tout pour gagner, fait une méchante bien falote... De vieux ingrédients que la pincée de modernité numérique ne parvient pas relever.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
Dommage que Zig-Zag n'ait pas emprunté à Babe la richesse de ses scénarios. Ceci dit, on conseille (...) d'emmener les mômes voir ce charmant petit film plutôt que le mou de l'animation comme du rythme Madagascar.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
TéléCinéObs
Fable sur la différence et le dépassement de soi, Zig-Zag évite la morale à la Disney. L''humour risque de passer bien souvent au-dessus de la tête des plus petits. Il permettra au moins à leurs parents de ne pas s'ennuyer.
Zurban
Bravo aussi aux (...) trouvailles animalières, telles le pélican et les deux mouches, qui rendent cette histoire agréable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Destiné aux (petits) enfants, ce cocktail de clichés et de bons sentiments mêle animaux de basse-cour dressés et bêtes de campagne en dessin animé. Tous volubiles et doublés par des acteurs bêlants. Pour amateurs de zoos de ferme, et encore.
MCinéma.com
On est quand même en droit de faire la fine gueule devant les jeux de mots " pouët pouët " et la réalisation mollassonne. Et puis côté doublage, censé être le point fort de ce genre de films, on tire carrément la tronche : côté VO, il y a Snoop Dogg, Dustin Hoffman, Whoopi Goldberg alors que le public français a droit aux chanteurs de la Star Ac' 4 et Gérard Klein. La classe !
Ouest France
Humour facile, dialogues lourdingues, bons sentiments, morale convenue, l'ensemble, articulé autour de personnages et de situations clichés, est d'une niaiserie pesante.
Première
Un film tout plat.
Score
Dommage que le moindre rebondissement de cette intrigue sente le rechauffé à plein nez, au grand désarroi du spectateur de moins de 7 ans qui devrait se sentir lésé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Côté humains, on frôle l'indigence : le papa veuf depuis un accident de cheval refuse que sa gentille fifille coure, la propriétaire de l'hippodrome, prête à tout pour gagner, fait une méchante bien falote... De vieux ingrédients que la pincée de modernité numérique ne parvient pas relever.