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    Revolver
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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Le film offre de bons moments de cinéma mais l'histoire est alambiquée à souhait et le métrage souffre d'un manque de rythme.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    103 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2017
    Ce qui s’annonçait comme un simple film de mafieux se révèle être bien plus compliqué, une sorte de thriller psychologique, inclassable et inhabituel. Le film se décompose en 2 parties assez distinctes, la première où l’intrigue tient en haleine, et une seconde (la dernière demi-heure) où malheureusement on part un plus dans des délires scénaristiques confus. Mais commençons par le bon. Le thriller (oui c’est un thriller pas qu’un simple film policier) démarre bien avec quelques citations qui seront habilement réutilisés au cours du film. L’histoire prend assez vite avec beaucoup de suspens et un certain attrait vers ce suspens et ces questions sans réponses. On est ainsi dans la peau de Jason Staham, dont on se prend d’empathie. Et tout se passe bien jusqu’au premier semblant de réponse ou d’éléments troublants. La suite est alors confuse, très brouillon, ou le vrai méchant spoiler: n’est pas physique mais mentale
    et où franchement on n’a pas tout compris, notamment la scène de l’ascenseur. Guy Ritchie reprend un peu les codes d’un Usual Suspect ou Fight Club, mais oublie l’élément principal : la révélation du complot. Alors oui, il donne ce qui peut s’apparenter à une réponse, mais c’est confus, incohérent et inutilement compliqué pour … absolument rien. Pour résumer, Revolver, c’est un film mafieux, psychologique et intéressant mais brouillon et au final quasi grotesque. Certains aimeront, d’autres pas du tout.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2016
    Après Arnaque, crimes et botaniques ainsi que Snatch, Guy Ritchie retrouve Jason Statham dans un nouveau thriller avec gangsters qui se la racontent, flingues, citations et symboliques proposant une certaine morale. Sauf que là, la narration est trop décousue et on n'arrive plus à suivre, et encore moins où le film veut en venir avec toutes ses citations et ses personnages qui se prennent tous pour le plus fort. Le background de Statham est intéressant, mais certains flash-back trop brouillon, et la trame scénaristique trop peu claire pour rendre l'intrigue intéressante, et ce malgré une certaine qualité musicale (aussi bien de bonnes musiques d'action que du classique comme La Sonate au Clair de Lune) et de jolis plans lors des parties d'échec montrant chaque joueur en fond avec les pions et le plateau en perspective. Autant de jolis effets qui ne parviennent pas à rendre le film suffisamment prenant, une complexité mal maîtrisée.
    fandecaoch
    fandecaoch

    1 038 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2016
    Revolver : Un film avec Jason Statham, je suis toujours partant, surtout un film ou il la des cheveux et une barbe, ça annonce que du bon, en plus, c’est un film d’arnaque et de gangster avec pas mal de tête d’affiche, que demande de mieux. Mais plus on avance dans le film, et plus j’ai du mal à comprendre et ou le film veux nous mené. C’est vrai qu’on se rend vite compte que le scénario est très brouillon et confus et quand on perd le film, c’est souvent trop tard. Donc, pendant une bonne heure, je commence a trouvé le temps long et le film assez lent avec que du blabla et ça part un peu dans tout les sens. C’est que vers les dernières 30 minutes que le film part dans un délire fou et psychologique avec un montage a l’ouest qui colle bien au ton, et c’est la que l’intérêt revint mais malheureusement, le dénouement est insuffisant et nous permet pas de mieux comprendre, au contraire. Et c’est la que un deuxième visionnage sera peut être nécessaire et c’est peut être une fois que ça sera claire que la note augmentera et que ma critique sera plus favorable. Car j’hésite entre le film psychologique, monté comme un puzzle ou une partie d’échec monté avec des phrases, un peu comme des chapitres a la Tarantino, d’ailleurs, le film et surtout le délire fait pensé un peu a son univers, surtout que il y a un moment ou sait en dessin animé le film, comme dans Kill Bill. Donc, j’hésite entre ça et le film serait du génie ou le contraire, c’est confus et brouillon. Sinon, comme je disais, la réalisation a de bonne chose, tente des effets de stylés, avec un bon montage et une mise en scène délirant bon des fois, c’est très rapide et brouillon pendant l’action mais ça tente quelque chose et c’est bien. Coté acteurs, ils sont tous a fond, ce n’est pas le meilleur rôle de Jason, mais il est très classe avec des cheveux ^^ c’est surtout que il n’a pas sa vrai voix VF et ça peu gêné. Donc voila, mitigé et assez incompréhensible, a voir une deuxième fois je dis.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mai 2016
    Le film replonge dans une histoire jonchée de couleur mafieuse, sanguinolente, et des histoires d'argent à dormir debout, qui reste plaisant à voir, sous un chic pas trop prononcé. Revolver permet de remettre en doute notre inconscient, cette arme contre qui, le combat est éternel. Bien que la fin n'est pas envisageable, mais presque rationnelle, par la cohérence du film, on se sent frustré, à l'image de l'acteur principal, car nous croyons avoir vu clair sur un jeu qui l'est, mais qui en réalité nous dépasse. Le réalisateur semble vouloir créer cette frustration, qui est difficile à vivre pour le spectateur, mais qui, une fois comprise, nous permet de faire surgir l'intérêt du film, celui de t'avoir berné, chapeau bas.
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 octobre 2015
    Voilà un film totalement barré où on se perd dans l’intrigue. Si c’est ce que voulaient les scénaristes, les monteurs et le réalisateur, alors ils ont réussi brillamment leur pari spoiler: , à l’image de Dorothy Macha (Ray Liotta)
    . Personnellement, j’ai une sainte horreur d’être perdu dans un film en apparence décousu, tant les plans peuvent être démultipliés sur une scène qui ne tient qu’en quelques mots. En effet, ces plans sont mélangés dans la chronologie des faits, seulement pour récupérer les propos pour en faire une réplique à la logique schizophrénique. Une logique que je conteste car je me suis (encore une fois, j’insiste) perdu et, je l’avoue, désintéressé du film. Lobotomisé par ce style anarchique, il fallait que je sache quand même le fin mot de l’histoire, et je dois reconnaître que le traitement et le ton adopté sont à l’image des personnages. Tout est complètement barré, me rappelant un certain "Las Vegas parano" que j’ai également détesté. Ici, on peut être cependant admiratif devant ce style puisqu’il correspond à la psychologie des personnages, mais à en voir la note moyenne obtenue, ça n’a pas fait mouche. Guy Ritchie s’est donné beaucoup de mal avec sa caméra, cherchant une symétrie dans l’image dès que c’était possible, comme s’il voulait inclure de l’esprit cartésien dans la tête on ne plus dérangée des protagonistes. On le constate à plusieurs reprises, comme ce plan où il filme par-dessus une voiture qui traverse l’écran. Mais j’ai tenu bon tout au long des 110 minutes, et je fus content que d’une seule chose : que ça se termine ! Je ne recommanderai donc pas ce film au titre raccoleur, mais si vous voulez voir Jason Statham avec des cheveux, je vous laisse à votre curiosité… à vos risques et périls. Pour ma part, je dessine un grand zéro, j’y peints en son centre un point rouge, vise et tire dedans avec mon revolver pour en faire un zéro pointé.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    176 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 septembre 2015
    Guy Ritchie possède un style bien particulier avec ces films de gangsters version petites frappes aux dialogues percutants. "Snatch" ou "Arnaques, crimes et botaniques" était des excellents films. Ce "Revolver" est un navet complet avec une histoire schizophrènique difficile à suivre. Il y a quand même quelques bon moment (tueur a gage) mais c est trop peu pour remonter le tout,
    x4ndr972
    x4ndr972

    15 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2015
    Pourtant averti par une connaissance m'ayant fait part de sa déception du film, j'ai quand même voulu vérifier par moi-même ses dires et il s'avère qu'elle en disait vrai.Au début du film,j'ai accroché mais très rapidement,l'histoire devient ennuyeuse,complexe avec de multiples revirements incessants qui finissent par agacer le spectateur.Clairement le plus mauvais long-métrage de Guy Ritchie qui m'ait été donné l'occasion de voir.
    David S.
    David S.

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2015
    Je sors tout juste du visionnage de Revolver et... p*tain mes méninges, elles ont pris cher. Néanmoins je n'ai pu m'empêcher d'apprécier ce délire cinématographique de Guy Ritchie, qui s'aventure hors de ses sentiers battus (on est loin de Snatch ou Arnaques, Crimes, et Botanique). Et ce pour trois raisons :
    - Les thèmes abordés que sont la schizophrénie, l'alter-ego, les arnaques et les règlements de compte.
    - Un Jason Statham avec des cheveux, un Mark Strong qui bégaye et un Ray Liotta irradié aux UV.
    - Le fait que je n'ai pas tout saisi au premier visionnage. Ni au deuxième d'ailleurs.

    Mais après évalué plusieurs thèses et explications d'internautes, je vous offre la mienne :
    [Attention : Spoiler à partir d'ici]

    spoiler: Jack Green (Jason Statham) est un ancien employé de Dorothy Macha, le gérant mafieux d'un casino. Jack Green, amoureux du jeu, part en prison après avoir compromis une soirée de poker avec d'autres malfrats. 7 ans en isolement ou 14 ans en incarcération normale, il choisit les 7 ans. Il va y faire la "rencontre" de deux personnes, les plus importantes de la trame : Un expert aux échecs, et un expert en arnaques. Sûrement les meilleurs dans leurs domaines, il va les côtoyer en interceptant leur conversation faite à travers des bouquins, car les 2 hommes sont séparés par la cellule de Jack Green. Or les deux hommes travaillent à l'élaboration de la supercherie ultime, celle qui permettrait de gagner à n'importe quel jeu. Ici il faut noter un point : je pense qu'ils partagent délibérément leurs notes avec Jack Green, l'introduisant dans l'équation de la supercherie. Ils lui inculquent au passage des phrases du genre "On ne devient plus fort qu'en affrontant un adversaire plus fort." etc. Ils vont avoir besoin de lui pour réaliser leur coup. Or on apprend qu'ils se sont évadés de prison. Autre point : 7 ans isolé dans une pièce impersonnelle, vide et blanche, c'est long : on a vite fait de devenir fou, délirer, développer d'autres personnalités afin de continuer à dialoguer avec une tierce personne. Peut-être est-ce l'origine de la voix-off narratrice de Jack Green, qui serait une sorte de double lucide, à la Fight Club. Ps : il développe une sorte de claustrophobie du à l'isolement, fuyant les petits espaces, comme l'ascenseur. On en revient à Green : Il sort de prison, mais les trois frères Eddy au service de Macha l'attendent pour le buter, de peur qu'il se venge pour l'emprisonnement et le meurtre de sa belle-soeur. (Jack a un frère) Il leur offre la possibilité de "gagner de l'argent" pour eux, en échange de sa vie. Là commence sa 1ère arnaque : il empoche l'argent de chacun des frères, ainsi que celui de Macha, devenant ainsi très vite riche. Une fois dépouillés, les trois frères se voient "punis" par un Macha furieux de s'être fait roulé et qui ne veut pas reconnaître que Green est derrière ça. Ensuite, il se pointe chez Macha avec son argent, et lui prend encore plus d'argent pour continuer dans la vengeance par l'humiliation car, pour Jack : "Il n'y a rien de pire que l'humiliation et la perte d'argent." En sortant, un homme (Vinnie Pastore) lui tend un papier. "Ne prend pas l'ascenseur" intriguant que cet homme sache pour sa peur des ascenseurs. Macha cherche à se venger, et charge ses hommes de buter Green, mais celui-ci en réchappe, notamment grâce à l'aide du mec, Zach, qui lui a filé le papier. Il l'invite à le suivre, lui fait rencontrer son ami Avi (André Benjamin), usurier et joueur "amateur" d'échecs. Sans le savoir, Jack Green vient de faire la rencontre de ses deux compagnons de cellule, qui lui ont tout appris du jeu et de l'arnaque sans qu'il le sache. Ils vont alors jouer avec ses nerfs, lui faire la pire chose : l'humilier et lui faire perdre tout son argent, car pour lui c'est ce qu'il y a de pire. Ainsi, ils vont lui révéler indirectement l'invention de Sam Gold : la meilleure invention sur quoi repose le film. Sam Gold, c'est une invention, un concept : C'est un mec, que personne connait, n'a vu, qui voit tout, qui sait tout, que tout le monde craint et que personne ne veut décevoir. A mon avis, Sam Gold, c'est la supercherie ultime, sur quoi Avi et Zach ont travaillé pendant toutes leurs années en taule. Pratique de mettre un nom sur le sentiment de peur de l'homme, afin de tout controler. Du coup, ils nous est dit que Sam Gold est en nous, en vous, c'est l'adversaire à vaincre, afin qu'on ne soit plus une victime. Avi et Zach, créateurs de Sam Gold, vont tenter de vaincre le Sam Gold (la peur) présent dans la tête de Jack Green, déjà enclin à la schizophrénie depuis son séjour en taule, et l'inculquer en Macha. Ainsi, ils récupéreront l'argent de Jack Green, l'argent de Macha, et la came de John Lord, ennemi juré de Macha, et tout cela grâce à un concept uniquement présent dans l'esprit de leurs pions. Car chacun est considéré comme un pion sur un jeu d'échec, et Avi et Zach en sont les deux joueurs, essayant d'instaurer le plus de contrôle sur leur pièce maîtresse : Jack Green. Or Jack Green aurait pu se confronter à son Sam Gold et ses autres voix en se trouvant face à son angoisse la plus importante : la claustrophobie, qui déclenche les voix dans sa tête. Mais Avi et Zach font tout pour l'en empêcher, sauf quand ils le désirent, pour le tester. Commençant par la scène du monte-charge, afin de tester son contrôle sur lui, puis l'épisode des usuriers, puis la scène avec les deux asiatiques, et la vieille (sûrement mis en scène) pour tester la soumission de Jack, notamment avec le flingue déchargé que Jack veut retourner contre Avi. L'important, c'est que la victime pense tout contrôler. Ici, Jack dit ça à Avi en pensant qu'il est l'adversaire et Avi la victime, en gagnant notamment toutes ses parties d'échec. Mais Avi le laisse faire, sous forme d'Inception : je te fais croire que je te contrôle, pour que tu penses en fait être plus malin que moi et me contrôler, pour que je te contrôle encore mieux. Ainsi, sans jamais tuer personne, les deux compères, Avi et Zach, échafaudent la supercherie parfaite step by step, en piégeant Macha, John Lord, et en laissant croire à Macha que Sam Gold est Jack Green, car celui-ci va déposer tout son argent en son nom. Jack Green, lui, prend peu à peu conscience de la supercherie que lui tendent les deux hommes, et son Sam Gold fait surface de plus en plus fréquemment, il perd le contrôle, il a peur. Il sent qu'il est le pion depuis qu'il a mis les pieds en prison. Alors il va en finir avec Macha, raison première de son envie de vengeance, mais au dernier moment il hésite. Lui non plus n'a tué personne depuis. (Observez bien : dans le film, à aucun moment Green, ni Avi, ni Zach, ne tuent clairement quelqu'un) Alors il se rétracte, et décide ENFIN de prendre l'ascenseur, seul. Confronté à ses démons qu'il a fui depuis l'isolement, il décide de mettre fin.. à son Sam Gold. Il n'a donc plus peur, et sort serein de l'ascenseur. Mais Macha l'y attend. Et face à tant de sérénité, Macha perd le contrôle de manière définitive, en laissant la peur l'envahir. Sam Gold habite désormais Macha. Mais celui-ci ne le sait pas encore, car il n'a jamais eu affaire à Avi et Zach, et veut supprimer le supposé Sam Gold = Jack Green, qu'il désigne responsable de ce don d'un million pour lui faire perdre la tête. Il s'en prend à la famille de Jack, et retient sa nièce. Jack vient pour rendre la came et l'argent, et juste avant, perd sa première partie d'échecs face à Avi : il comprend enfin qu'il n'a jamais été l'adversaire mais la victime. Le pion plutôt que le joueur d'échecs. Qu'il est devenu plus fort en affrontant les tests de Zach et Avi, qui au fond s'en moquent de l'argent, du pouvoir car ils ont prouvé la réussite de leur supercherie ultime. Il vient récupérer sa nièce et prévenir Macha de l'origine de Sam Gold, mais il est trop tard : Macha pense que pour se débarasser de Sam Gold, il faut qu'il se supprime lui-même. Car il ne peut pas gagner. Il a été privé de tout. On en revient à la question que Macha pose à Jack Green lors de leur première entrevue du film, avant la partie : "Il y'a quoi à gagner pour moi ?" Plus rien. Fin


    Voilà, merci pour ceux qui auront pris le temps de lire ce pavé. Je n'avance pas détenir la vérité, c'est juste mon interprétation personnelle appuyée sur les détails du film. La Théorie d'Avi, Green et Zach en une personne est tout aussi viable, tout comme le Sam Gold qui serait en chacun de nous dès le départ, notre mauvais penchant, notre petite voix diabolique qui nous fait faire des choses que le conscient refuse d'accepter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 avril 2015
    Film NUL! décevant, incompréhensible, bordélique, schizophrénique, fourre tout (BD et compagnie), sans aucune logique ni interêt, moi qui m'attendais au génie de Snatch, c'est raté...
    7eme critique
    7eme critique

    532 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    Dommage que le travail sur ces "cambriolages d’esprits" et autre pétages de plomb à tendance psycho ne soient pas plus subtils que ça, certains passages pourraient s’assimiler à des raccourcis, entraînant un flagrant manque de crédibilité. Le film ne s’en sort pas trop mal grâce à ses quelques scènes bien pensées et son esthétique soigné ; mais ce scénario, pourtant entraînant, de jeu d’échec grandeur nature, arrivera à nous décevoir à la longue. Le gâteau que l’on s’apprêtait à savourer ne cessera de ramollir au fil des minutes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Ce film m'a intrigué la première fois bien que je n'avait pas tout compris. La 3ème fois que je l'ai vu j'ai compris tout le génie de ce film. Une grosse claque. Ce que j'adore dans ce genre de film, c'est qu'on le redécouvre à chaque fois
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    692 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    "Revolver" est le film de Guy Ritchie le moins abouti! Ce long métrage apparaît plus sérieux, plus sombre, plus prise de tête et surtout beaucoup plus brouillon! Le sujets est cool, les personnages une fois de plus très intéressant, et certains effets de styles carrément super classes! Mais cette fois le scénario est incroyablement brouillon et finir par perdre totalement le spectateur, certains effets de réalisation sont terriblement lourds, la direction artistique houleuse et le montage assez aléatoire! Mais "Revolver", si l'on aime le style Ritchie, reste un plaisir à regarder!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2014
    J'ai adoré. Je suis fan de Guy Richie. Celui la est quand même un peu différent des autres mais on reconnaît bien le style du réalisateur. Ce film est complexe bien sur mais ça ne veut pas dire qu'il n'a aucun sens. Au contraire. Quand on y réfléchi le scénario est très bien ficelé ( comme dans tous les films de Guy Richie ) et les acteurs sont très bons. Je suis resté bluffé devant la scène du restaurant avec la sonate au Claire de lune. J'adore cet effet de couper le son et de laisser seulement la musique. Dans le style Guy- Richien on a bien sur le droit a une histoire certes complexe avec un entremêlement de conflits entres les personnages etc... Des effets de caméra sublimes et une petite dose d'humour ( moins présente dans celui-ci que dans les autres ) en tout cas j'ai beaucoup aimé même si je l'avoue j'ai eu un peu de mal a comprendre l'histoire. Revolver reste un très bon film. Très esthétique, presque culte. Encore un exploit de cet excellent réalisateur
    black B.
    black B.

    40 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 février 2014
    Excellent, proche du chef d'oeuvre, le scenario est tellement occulte que pour tout comprendre en une fois, il vaut mieux s'accrocher, d'ou probablement, tres probablement, sa si mauvaise note. Si crhistopher Nolan avait fait le meme film tout le monde aurait crier au chef d'oeuvre, mais voir un monstre pareil sortir d'un real si peu connu sa en a frustré plus d'un. Bref tres bon film acteurs aux niveaux et chute enorme pourvu qu'on la comprenne ;) Film à garder dans sa table de chevet.4.5/5
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