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Un visiteur
2,5
Publiée le 29 septembre 2006
C'est un bon film. Long, mais pas ennuyant. L'idée c'est que l'important n'est pas de gagner. Mais de donner son maximum. De se respecter, et de respecter les autres. C'est un ancien du ghetto qui veut faire quelque chose pour les jeunes de son ghetto. Beaucoup de critiques y voient "des bons sentiments". Parce que c'est un film américain. C'est dommage.
film qui traine d'un sujet recurent dans le cinema americain.certes ce film est tiré d'une histoire vrai, mais il ne donne pas lieu a un film, qui plus est de plus de 2 heures.non pas que l'on s'ennnuie, mais simplement qu'il font durer le film.par contre, l'histoire est on ne peut plus previsible.
Film bien monté du début à la fin sans longueur. Si les critiques presses ne semblent pas avoir été satisfaites par le film, si vous etes attiré par une histoire de sport, de basket, ce film vous satisfaira.
Sir ? excusez moi , sir ? Samuel L Jackson nous fait son Jules, ambiance vestiaire. On aimerait pas être dans l'équipe ! engueulade, punition, devoir de math...et puis les potes, le respect... la douleur, la fatigue...et puis la victoire à la fin...oh ba si, finalement, on aimerait bien y être ! monsieur ! monsieur ! je peux être dans l'équipe ? quoi, antisportif ? dix suicides !? vous êtes dur coach ! merci coach ! une deux, une deux...
Excellente interpretation d'une histoire vraie, Samuel jakson, tojours au top de sa forme EXCELLENT dans son role de Coatch Inebranlable sur ses positions, de justice et d'avenir pour des jeunes issus de milieux defavorisés !
Un bon film qui reprend le concept connu du professeur qui réussi à faire d'une bande de bon à rien des champions. Notons toute fois les rebondissements, les situations très réalistes qui sortent quelque peu le film de la liste. Un Samuel L. Jackson toujours aussi juste et un Rob Brown qui signe son deuxième film en tant qu'élève aloureux du basket après A la rencontre de Forester. A voir.
Ce film partait d'office avec un désavantage : un éducateur montrant le droit chemin à des durs à cuire, c'était du déjà-vu. On se souvient par exemple de "Esprits Rebelles" avec Michelle Pfeiffer ou de "La musique de mon coeur" avec Meryl Streep. Rien de nouveau sous le soleil, donc. Et pourtant, surprise, cela fonctionne. Deux raisons majeures à cela. D'une part, la réalisation de Thomas Carter est impeccable. Tout ce qu'il y a de plus classique, certes, mais le réalisateur arrive à nous embarquer dans cette histoire qui semble avoir été maintes et maintes fois vue et revue en nous faisant participer à la construction de cette équipe. D'autre part, la composition de notre Jedi préféré, Samuel L. Jackson, est une fois de plus exceptionnelle et nous fait adhérer immédiatement à l'autorité naturelle et sans concession de ce coach hors normes. Ici, point de sabre-laser pour cette sorte de Guy Roux du basket qui va chercher en pleine nuit ses ouailles en pleine débauche lors de soirées sex, drugs & R'n'B chez des adolescentes délurées de bonne famille blanche. Seuls la force des mots, la volonté et un charisme hors du commun sublimés par le talent de notre exégète préféré d'Ezechiel vont gagner la bataille face à ces adolescents paumés. Ces atouts font de "Coach Carter", où l'humour non plus n'est jamais absent, une belle réussite, même si l'on regrettera une Bande Originale complaisante et anachronique (un patchwork de tubes 2003-2004 alors que l'action est sensée se passer en 1999).