Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Michel Frodon
Casting prestigieux, scénario bancal mais point tétraplégique, répliques ciselées (...) et énoncées avec la componction savoureuse de comédiens qui s'amusent en travaillant, le 42e long métrage de Jean-Pierre Mocky pourrait n'être que le meilleur cru depuis une bonne décennie du prolifique JPM. Il est cela, et mieux.
Aden
par Philippe Piazzo
Dans le grand bestiaire du cinéma de Mocky, Le Furet tient bien sa place entre L'Etalon et L'Ibis rouge. Et Villeret s'y tient droit, entre Bourvil et Michel Simon. Entre monstre familier et monstre sacré. Drôle d'animal. Drôle de film. Drôle de monstre, ce furet assassin qu'on finit par aimer, sachant qu'au fond il nous ressemble.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Télérama
par François Gorin
Rétro-polar poussif, gros plans histrioniques, autocitation, autoparodie. Oui mais : génie du grotesque, apologie de l'idiot malin solitaire, apparitions, choses vues nulle part ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'infatigable Mocky revient donc ici plutôt en forme (...) L'entreprise, salutaire, consiste, par son lot d'inventions poétiques, à déjouer tout naturalisme et tout typage attendu des personnages. Et si Mocky y parvient une fois de plus, c'est toujours grâce à cette inimitable manière d'ajouter de l'absurde et de l'inutile, de l'incongruité triviale, une vulgarité stimulante, à des récits aux ressorts satiriques un peu usés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Une bluette policière ridicule traversée de trop rares éclairs de génie poétiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
(...) un polar mal ficelé, mais débridé et délirant.
Première
par Estelle Ruet
On se laisse prendre au charme du casting improbable, au jeu fort et souvent faux des complices de la première heure (Serrault bien sûr, mais aussi Lonsdale) et au plaisir évident que le cinéaste a pris à caricaturer le genre, même si on est plus souvent proche du n'importe quoi que de l'hommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) cette satire de l'arrivisme social en forme de film noir (un serrurier commet des crimes en série en circulant dans les souterrains de Paris) a les mêmes défauts que les ouvres récentes du cinéaste : jeu d'acteur approximatif, doublage gênant, personnages outranciers et scénario schématique.
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Quel dommage ! Tout était alléchant : le casting, le sujet, le registre comico-policier rempli de petites frappes pathétiques chères à Mocky... Malheureusement, à trop prévoir le bon résultat ignominieux d'un Mocky des grands jours, la médiocrité laisse amer.
Positif
par Vincent Thabourey
Comme dans la chanson, il court, il court, le Furet de Mocky; mais la course est laborieuse, fantomatique, presque inerte (...) On rit ici comme on rit un jour d'enterrement, avec gêne, effaré et consterné.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Cahiers du Cinéma
Casting prestigieux, scénario bancal mais point tétraplégique, répliques ciselées (...) et énoncées avec la componction savoureuse de comédiens qui s'amusent en travaillant, le 42e long métrage de Jean-Pierre Mocky pourrait n'être que le meilleur cru depuis une bonne décennie du prolifique JPM. Il est cela, et mieux.
Aden
Dans le grand bestiaire du cinéma de Mocky, Le Furet tient bien sa place entre L'Etalon et L'Ibis rouge. Et Villeret s'y tient droit, entre Bourvil et Michel Simon. Entre monstre familier et monstre sacré. Drôle d'animal. Drôle de film. Drôle de monstre, ce furet assassin qu'on finit par aimer, sachant qu'au fond il nous ressemble.
Télérama
Rétro-polar poussif, gros plans histrioniques, autocitation, autoparodie. Oui mais : génie du grotesque, apologie de l'idiot malin solitaire, apparitions, choses vues nulle part ailleurs.
Le Monde
L'infatigable Mocky revient donc ici plutôt en forme (...) L'entreprise, salutaire, consiste, par son lot d'inventions poétiques, à déjouer tout naturalisme et tout typage attendu des personnages. Et si Mocky y parvient une fois de plus, c'est toujours grâce à cette inimitable manière d'ajouter de l'absurde et de l'inutile, de l'incongruité triviale, une vulgarité stimulante, à des récits aux ressorts satiriques un peu usés.
Les Inrockuptibles
Une bluette policière ridicule traversée de trop rares éclairs de génie poétiques.
Libération
(...) un polar mal ficelé, mais débridé et délirant.
Première
On se laisse prendre au charme du casting improbable, au jeu fort et souvent faux des complices de la première heure (Serrault bien sûr, mais aussi Lonsdale) et au plaisir évident que le cinéaste a pris à caricaturer le genre, même si on est plus souvent proche du n'importe quoi que de l'hommage.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) cette satire de l'arrivisme social en forme de film noir (un serrurier commet des crimes en série en circulant dans les souterrains de Paris) a les mêmes défauts que les ouvres récentes du cinéaste : jeu d'acteur approximatif, doublage gênant, personnages outranciers et scénario schématique.
MCinéma.com
Quel dommage ! Tout était alléchant : le casting, le sujet, le registre comico-policier rempli de petites frappes pathétiques chères à Mocky... Malheureusement, à trop prévoir le bon résultat ignominieux d'un Mocky des grands jours, la médiocrité laisse amer.
Positif
Comme dans la chanson, il court, il court, le Furet de Mocky; mais la course est laborieuse, fantomatique, presque inerte (...) On rit ici comme on rit un jour d'enterrement, avec gêne, effaré et consterné.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com