Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Le recours au mauvais goût et la trivialité (...) se trouvent compensés en creux par le refus de tout cynisme de Chatillez. Il y a là une telle maîtrise amoureuse du genre et de ses extrémités, une forme de burlesque cocoonesque qui parviennent toujours à faire retomber le film sur ses pieds. Cette santé d'un comique truculent, ce souci d'artisan et de petit maître (...) suffisent amplement à notre bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Si le film ne fait pas toujours dans l'extrême délicatesse (personnage qui "pue des pieds" et plaisanteries scatologiques), il se révèle assez réjouissant pour peu qu'on ait gardé un rien d'esprit Hara Kiri (...). Il est surtout porté par une comédienne époustouflante, Cécile de France, qui atteint des sommets en composant son rôle de Bécassine triviale (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Le film progresse sous forme de longs sketches irrigués par un comique hérité de l'esprit d'enfance et du burlesque américain, source de gags totalement décomplexés que Vincent Lindon et surtout Cécile de France alimentent avec une très étonnante présence physique.
Télérama
par Frédéric Strauss
Chatiliez s'aventure dans un registre délicat, comme Cécile de France et Vincent Lindon. Tous trois déconcertent parfois, mais s'en sortent plutôt bien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Dans l'Hexagone, où toute fiction est sagement ancrée dans des codes bien définis, applique sans saveur les règles du cinéma de papa (dialogues logorrhéiques et mise en scène plan-plan), voilà un film affreux, sale et méchant qui se contrefout de la morale et des convenances de la vie de tous les jours.
Aden
par Phillipe Piazzo
Sans cadre pour ces deux pantins, sans regard sur le monde où ils vivent (un coup de griffe au Loto et aux banquiers, ce n'est pas assez), sans réels sentiments pour eux, c'est le film tout entier qui devient anecdotique et inconsistant. C'était pourtant une belle idée de montrer, avec un pied de nez à la mort, qu'il y a des gens obligés de toujours voyager dans leur vie en fraude parce qu'on ne leur a pas donné les moyens d'avoir un ticket.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cinéastes
par Sara Ri
L'excellente prestation des acteurs est le principal atout du film, rendant avec justesse et humour la vulgarité naïve des personnages. (...) Malheureusement, le propos du film s'entache d'une psychanalyse de comptoir sur la condition des personnages en s'attardant sur leur passé difficile avec très peu de subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
par Gilles Renault
La première demi-heure fait illusion, bien que récitant, à la lisière de l'autoparodie, les éléments qui ont forgé le style Chatiliez et son durable succès afférent. Et puis... plus rien. Autodéfini comme "bourgeois des pauvres et gauchiste des bourgeois", le père de Tanguy égare ce sens acerbe du détail caricaturé qui a fait sa gloire, répliques cultes comprises, pour ne plus laisser ressortir qu'une comédie sociale grippée dont on ne voit pas le bout.
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Oui, c'est souvent très drôle, mais on ne peut que regretter un scénario décousu qui offre quelques sérieux passages à vide. Cette farce souffre aussi de quelques lourdeurs, et vire bizarrement au pathos à la fin. Chatiliez aurait-il perdu la main ?
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télé 7 Jours
par Gérard Lenne
C'est aux dépens des patrons bourgeois que fait rire ici Etienne Chatiliez, avec une tendance au manichéisme qui diminue l'impact de son propos. Un guignol où chacun fait son numéro et puis s'en va. On sourit, parfois jaune.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
(...) au bout de trois situations autocommentées Chatiliez ne sait déjà plus quoi faire de ses deux soldats. (...) Si on était en 87, on dirait que c'est du vide publicitaire. Mais justement, Chatiliez s'est arrêté en 87, l'année de son triomphe avec un précédent match riches-pauvres, La vie est un long fleuve tranquille. Aujourd'hui, qui dit encore "la confiance règne" ? Son prochain film s'appellera Bonjour l'angoisse ou T'as le look coco.
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
France Soir
par Richard Gianorio
A aucun moment, Chatiliez, condescendant et particulièrement peu inspiré, ne prend la peine de sauver ses deux créatures ou de leur donner une étincelle d'humanité : à ce jeu de massacre primaire et inutile, on n'a rien à gagner, le spectateur -s'il se déplace- moins que personne. (...) Film foiré (...).
Ouest France
par La Rédaction
Entre vulgarité et grossièreté, il n'y a pas de quoi rire à ce pathétique ratage. Et l'affligeante prestation du couple Cécile de France-Vincent Lindon ne parvient pas à faire illusion.
Positif
par Philippe Rouyer
Ce cinéaste n'a jamais fait dans la dentelle. Il nous semble pourtant déraper ici dans un mauvais goût dont la fière revendication ne gomme pas l'aspect déplaisant. (...) La conduite de l'intrigue est sans surprise. Seuls des seconds rôles (...) retiennent l'attention.
Première
par Nicolas Schaller
Sans une once d'humanité, fier de sa détestation condescendante envers tous ses personnages, Chatiliez ressasse sa bile, enchaîne les situations invraisemblables filmées paresseusement, d'une traite, à la va-comme je te pousse. (...) Ni anar ni réac: simplement à côté de la plaque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
La déception est énorme pour cette farce de mauvais goût, limite réac, pourtant signée Chatiliez.
Chronic'art.com
Le recours au mauvais goût et la trivialité (...) se trouvent compensés en creux par le refus de tout cynisme de Chatillez. Il y a là une telle maîtrise amoureuse du genre et de ses extrémités, une forme de burlesque cocoonesque qui parviennent toujours à faire retomber le film sur ses pieds. Cette santé d'un comique truculent, ce souci d'artisan et de petit maître (...) suffisent amplement à notre bonheur.
Le Monde
Si le film ne fait pas toujours dans l'extrême délicatesse (personnage qui "pue des pieds" et plaisanteries scatologiques), il se révèle assez réjouissant pour peu qu'on ait gardé un rien d'esprit Hara Kiri (...). Il est surtout porté par une comédienne époustouflante, Cécile de France, qui atteint des sommets en composant son rôle de Bécassine triviale (...)
TéléCinéObs
Le film progresse sous forme de longs sketches irrigués par un comique hérité de l'esprit d'enfance et du burlesque américain, source de gags totalement décomplexés que Vincent Lindon et surtout Cécile de France alimentent avec une très étonnante présence physique.
Télérama
Chatiliez s'aventure dans un registre délicat, comme Cécile de France et Vincent Lindon. Tous trois déconcertent parfois, mais s'en sortent plutôt bien.
aVoir-aLire.com
Dans l'Hexagone, où toute fiction est sagement ancrée dans des codes bien définis, applique sans saveur les règles du cinéma de papa (dialogues logorrhéiques et mise en scène plan-plan), voilà un film affreux, sale et méchant qui se contrefout de la morale et des convenances de la vie de tous les jours.
Aden
Sans cadre pour ces deux pantins, sans regard sur le monde où ils vivent (un coup de griffe au Loto et aux banquiers, ce n'est pas assez), sans réels sentiments pour eux, c'est le film tout entier qui devient anecdotique et inconsistant. C'était pourtant une belle idée de montrer, avec un pied de nez à la mort, qu'il y a des gens obligés de toujours voyager dans leur vie en fraude parce qu'on ne leur a pas donné les moyens d'avoir un ticket.
Cinéastes
L'excellente prestation des acteurs est le principal atout du film, rendant avec justesse et humour la vulgarité naïve des personnages. (...) Malheureusement, le propos du film s'entache d'une psychanalyse de comptoir sur la condition des personnages en s'attardant sur leur passé difficile avec très peu de subtilité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
La première demi-heure fait illusion, bien que récitant, à la lisière de l'autoparodie, les éléments qui ont forgé le style Chatiliez et son durable succès afférent. Et puis... plus rien. Autodéfini comme "bourgeois des pauvres et gauchiste des bourgeois", le père de Tanguy égare ce sens acerbe du détail caricaturé qui a fait sa gloire, répliques cultes comprises, pour ne plus laisser ressortir qu'une comédie sociale grippée dont on ne voit pas le bout.
MCinéma.com
Oui, c'est souvent très drôle, mais on ne peut que regretter un scénario décousu qui offre quelques sérieux passages à vide. Cette farce souffre aussi de quelques lourdeurs, et vire bizarrement au pathos à la fin. Chatiliez aurait-il perdu la main ?
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
C'est aux dépens des patrons bourgeois que fait rire ici Etienne Chatiliez, avec une tendance au manichéisme qui diminue l'impact de son propos. Un guignol où chacun fait son numéro et puis s'en va. On sourit, parfois jaune.
Cahiers du Cinéma
(...) au bout de trois situations autocommentées Chatiliez ne sait déjà plus quoi faire de ses deux soldats. (...) Si on était en 87, on dirait que c'est du vide publicitaire. Mais justement, Chatiliez s'est arrêté en 87, l'année de son triomphe avec un précédent match riches-pauvres, La vie est un long fleuve tranquille. Aujourd'hui, qui dit encore "la confiance règne" ? Son prochain film s'appellera Bonjour l'angoisse ou T'as le look coco.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
A aucun moment, Chatiliez, condescendant et particulièrement peu inspiré, ne prend la peine de sauver ses deux créatures ou de leur donner une étincelle d'humanité : à ce jeu de massacre primaire et inutile, on n'a rien à gagner, le spectateur -s'il se déplace- moins que personne. (...) Film foiré (...).
Ouest France
Entre vulgarité et grossièreté, il n'y a pas de quoi rire à ce pathétique ratage. Et l'affligeante prestation du couple Cécile de France-Vincent Lindon ne parvient pas à faire illusion.
Positif
Ce cinéaste n'a jamais fait dans la dentelle. Il nous semble pourtant déraper ici dans un mauvais goût dont la fière revendication ne gomme pas l'aspect déplaisant. (...) La conduite de l'intrigue est sans surprise. Seuls des seconds rôles (...) retiennent l'attention.
Première
Sans une once d'humanité, fier de sa détestation condescendante envers tous ses personnages, Chatiliez ressasse sa bile, enchaîne les situations invraisemblables filmées paresseusement, d'une traite, à la va-comme je te pousse. (...) Ni anar ni réac: simplement à côté de la plaque.
Rolling Stone
La déception est énorme pour cette farce de mauvais goût, limite réac, pourtant signée Chatiliez.