Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Tous les acteurs sont rentrés dans le jeu, avec sérieux. Dieudonné, avec sa coupe afro, semble tout droit sorti d'un film de la Blaxploitation. Sam Karmann et Chantal Lauby sont des parents dignes, mais affligés... Ambiance 70, recréée avec un humour décalé. Histoire, bien menée. Derrière la caméra ou sur le ring, Maurice Barthélemy est passé pro.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Précédée d'une campagne d'affichage originale, déclinée en " unes " de faux journaux, cette comédie traitée sur le mode documentaire impose son auteur comme un cinéaste efficace doublé d'un scénariste subtil, à mille lieues de l'humour sans filet de " RRRrrrr !!! ".
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Pour les amateurs du genre, c'est à mourir de rire. Plus qu'une satire télévisuelle, CASABLANCA DRIVER propose une vraie histoire tragi-comique, parsemée de gags débiles, d'apparitions divines (unique Plastic Bertrand !) et de touches d'humour très BD. Contrairement au décevant RRRrrrr !!!, l'humour particulier des Robins est ici beaucoup mieux structuré. Bien sûr, tout ne fonctionne pas et il y a facilement un quart d'heure en trop. C'est le (petit) prix à payer pour un moment de détente garanti.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinéastes
par Julien Welter
Pas de gore, pas de nudité, peu de scatologique, bref, peu d'extravagance pubertaire. Au lieu de cela, le film ne dépasse jamais le contre-pied (Casablanca est un piètre orateur alors qu'Ali était un tchatcheur de génie), l'anecdotique ou la répétition tout en avançant péniblement vers un affrontement-gag final dont la chute tombe pesamment.
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un film de boxe sans combat, c'est absurde. Et c'est dans cette absurdité, ainsi que dans la sympathie qu'éveille ce personnage de petit homme qui veut forcer son destin, que l'on trouvera un peu de charme à Casablanca Driver. Le reste, les pastiches d'émission télévisée, les apparitions d'amis célèbres (Alain Chabat, Isabelle Nanty...) ne font que meubler un espace un peu grand pour une entreprise aussi modeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Quelques gags bien sentis et un ton résolument burlesque ne suffisent pas à donner consistance, sur la longueur, à ce premier film de Maurice Barthélémy, l'un des Robins des Bois.
Télérama
par Pierre Murat
A l'actif de Maurice Barthélémy, l'un des Robins des Bois, une vraie (petite) démesure et un happy end moins happy que la moyenne. Le plus réussi : cet antihéros que le cinéaste interprète lui-même, Forrest Gump à l'incompréhensible devise : " Todo Match. " Un personnage fait-il un film ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Casablanca Driver est un faux documentaire sur la vie du plus mauvais boxeur de tous les temps, une succession de sketchs télé, de vignettes, d'interviews, de gags à répétition... absolument pas drôles et carrément agaçants sur la durée. A trop abuser d'" énième degré décalé super tendance ", c'est l'indigestion assurée.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Barthélémy n'a rien compris : Casablanca driver joue la férocité et la sécheresse lorsqu'il devrait toucher (tout ce qui tourne autour du personnage principal) et afflige au moment où il devrait passer à l'action. Sinistre détraquement d'une comédie française à 90% partagée entre cinéma et télé, vieux croûtons dégénérés et jeunes chiens fous consanguins.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par La rédaction
Gag moyen qui masque les vraies intentions du réalisateur : " Je suis un obsédé du détail, avoue-t-il [...] . D'où l'importance accordée aux accessoires. " En effet, ce film est avant tout une adaptation filmée du catalogue Printemps/Été 1974 de La Redoute.
Première
par Christophe Narbonne
Tribut aux Nuls et aux ZAZ, le film ne manque pas d'ambition mais de caractère. Souhaitons au créatif Barthélémy de corriger le tir.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Tous les acteurs sont rentrés dans le jeu, avec sérieux. Dieudonné, avec sa coupe afro, semble tout droit sorti d'un film de la Blaxploitation. Sam Karmann et Chantal Lauby sont des parents dignes, mais affligés... Ambiance 70, recréée avec un humour décalé. Histoire, bien menée. Derrière la caméra ou sur le ring, Maurice Barthélemy est passé pro.
Le Parisien
Précédée d'une campagne d'affichage originale, déclinée en " unes " de faux journaux, cette comédie traitée sur le mode documentaire impose son auteur comme un cinéaste efficace doublé d'un scénariste subtil, à mille lieues de l'humour sans filet de " RRRrrrr !!! ".
MCinéma.com
Pour les amateurs du genre, c'est à mourir de rire. Plus qu'une satire télévisuelle, CASABLANCA DRIVER propose une vraie histoire tragi-comique, parsemée de gags débiles, d'apparitions divines (unique Plastic Bertrand !) et de touches d'humour très BD. Contrairement au décevant RRRrrrr !!!, l'humour particulier des Robins est ici beaucoup mieux structuré. Bien sûr, tout ne fonctionne pas et il y a facilement un quart d'heure en trop. C'est le (petit) prix à payer pour un moment de détente garanti.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cinéastes
Pas de gore, pas de nudité, peu de scatologique, bref, peu d'extravagance pubertaire. Au lieu de cela, le film ne dépasse jamais le contre-pied (Casablanca est un piètre orateur alors qu'Ali était un tchatcheur de génie), l'anecdotique ou la répétition tout en avançant péniblement vers un affrontement-gag final dont la chute tombe pesamment.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Un film de boxe sans combat, c'est absurde. Et c'est dans cette absurdité, ainsi que dans la sympathie qu'éveille ce personnage de petit homme qui veut forcer son destin, que l'on trouvera un peu de charme à Casablanca Driver. Le reste, les pastiches d'émission télévisée, les apparitions d'amis célèbres (Alain Chabat, Isabelle Nanty...) ne font que meubler un espace un peu grand pour une entreprise aussi modeste.
TéléCinéObs
Quelques gags bien sentis et un ton résolument burlesque ne suffisent pas à donner consistance, sur la longueur, à ce premier film de Maurice Barthélémy, l'un des Robins des Bois.
Télérama
A l'actif de Maurice Barthélémy, l'un des Robins des Bois, une vraie (petite) démesure et un happy end moins happy que la moyenne. Le plus réussi : cet antihéros que le cinéaste interprète lui-même, Forrest Gump à l'incompréhensible devise : " Todo Match. " Un personnage fait-il un film ?
Aden
Casablanca Driver est un faux documentaire sur la vie du plus mauvais boxeur de tous les temps, une succession de sketchs télé, de vignettes, d'interviews, de gags à répétition... absolument pas drôles et carrément agaçants sur la durée. A trop abuser d'" énième degré décalé super tendance ", c'est l'indigestion assurée.
Chronic'art.com
Barthélémy n'a rien compris : Casablanca driver joue la férocité et la sécheresse lorsqu'il devrait toucher (tout ce qui tourne autour du personnage principal) et afflige au moment où il devrait passer à l'action. Sinistre détraquement d'une comédie française à 90% partagée entre cinéma et télé, vieux croûtons dégénérés et jeunes chiens fous consanguins.
L'Humanité
Gag moyen qui masque les vraies intentions du réalisateur : " Je suis un obsédé du détail, avoue-t-il [...] . D'où l'importance accordée aux accessoires. " En effet, ce film est avant tout une adaptation filmée du catalogue Printemps/Été 1974 de La Redoute.
Première
Tribut aux Nuls et aux ZAZ, le film ne manque pas d'ambition mais de caractère. Souhaitons au créatif Barthélémy de corriger le tir.