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Un visiteur
0,5
Publiée le 29 septembre 2006
Vulgaire et pourtant pas drôle. Ce qui fait que le film passe sans intérêt, enchainant les tentatives d'humour gras, ne réussissant jamais a faire sourire. Beuark....
On reste effaré face à ce festival d'obsédés sexuels. Cette farce hénaurme ne restera pas dans les anales (pardon), mais le ton réjouissant de John Waters, son amour déclaré pour le mauvais gout, et les gags complètement loufs nous font tout de même passer un agréable moment.
Quel beau nanard ! Utiliser le sexe pour faire rire, ça na rien doriginal et si on le fait, il faut au moins le faire avec subtilité ou drôlerie (cf. les frères Farrely et Wayans) mais là, John Waters atteint le sommet de la crétinerie. Ce nest jamais drôle, toujours obscène, mal filmé, lourdingue, pompeux. Sans compter sur la morale pertinente (ironie) : « vive le sexe gratuit, crade et à outrance à mort la morale, la religion et lamour ». On a bizarrement une envie folle de devenir prêtre à la vision de ce navet sur pellicule A réserver à ceux qui naiment pas le cinéma. (NB: Film étrangement classé "Tous Publics"...)
"c'est l'histoire d'un virus rendant "sexe addict" qui s'empare d'une ville paisible et puritaine des Etats-Unis par le biais d'un grand gourou joué par Johnny Knoxville"...Je crois que tout est dit ! Alors on pourra toujours dire que le scénario tient sur un ticket de métro mais le film dure 1h29 et attendez vous à 1h29 de n'importe quoi avec une idée toutes les 45 secondes ! Sans parler des hommages à Russ Meyer sur certains plans (et personnages : Selma Blair n'a-t-elle pas le profil d'une héroine "meyerienne" ?!), à David Cronenberg (Frissons) et en poussant le vice j'ai même pensé au Zombie de Romero ! Si on ajoute le cameo surprise sans son short rouge et sa bouée de sauvetage, on arrive vraiment à un bon trip !
Comme son nom lindique, ce film est une sale honte. Sale parce que voir des humains sextasier en essayant déprouver du plaisir par des délires scatophiles ou encore voir monsieur knoxville (Jackass) se transformer en phallus vivant au sens propre et au figuré, ne fait plus rire que les attardés qui sextasient devant des comédies grasses et stupide. Ce film se voulait la satire dune Amérique puritaine confronté au libérés sexuels, seulement voila un bon début et puis le néant total, prenez un shaker et prenez tout ce quil y a de plus déplaisant et ridicule dans les films débiles et vous obtenez une sale honte !! Et pour ceux qui ont mis 4 étoiles je suis perplexe, est ce que la beauté de ce film ma échappée, peut être étais je trop occupé à regarder david hasselhof dans son avion à faire sa commission qui percutera chris Isaac et causera sa perte Waow autant pour moi dans ces cas là. Je lui accorde ce point voici la fin la plus écoeurante et poisseuse que jai jamais vu !! et bon sang quest ce que chris Isaac fait dans ce film ??? Passez votre chemin, dune nullité complète !!
Même si ce n'est pas un grand John Waters et que non, ce n'est pas un retour aux sources trash des 70's, A dirty shame reste une oasis de fraîcheur dans le désert de la comédie américaine formatée jusqu'à l'écoeurement. Plus bordélique que les précédents du Prince du Dégueulis, c'est une charmante version sexe de Cecil B. Demented qui marque le retour des attitudes outrancières qui furent la marque de fabrique de Divine (les acteurs en font vraiment des tonnes, Tracey Ullman en tête, ce qui sied parfaitement au ton du film). Waters nous présente avec une certaine tendresse toute une galerie de perversions sur une trame prétexte, ce qui est la limite du film : on s'aperçoit vite que le film dépassera rarement le cadre d'un catalogue de déviances, en sachant qu'en matière de mauvais goût, le réalisateur ne pourra pas atteindre les sommets de Pink flamingos ou Desperate living. Une fois le deuil du chef d'oeuvre attendu fait, on passe tout de même un très joyeux moment en retrouvant le sens des dialogues et les acteurs habituels de Waters qui, même s'il s'est assagi, reste un auteur particulièrement attachant.
J'ai rarement vu un film aussi vulgaire et sans goût. Même si on déconne, il faut déconner avec du talent. Ce n'est qu'un délire postado, boutonneux, stupide, ringard... Si vous avez 2 heures et 7 euros a perdre, invitez un pote à prendre un verre plutot!
Je croyais pourtant être ouvert à toutes les sortes d'humour possibles...je me suis trompé...ou alors je ne suis plus à la page. C'est pour moi l'un des plus gros navet du siècle (20 et 21e) Pourquoi dépenser de l'argent pour produire "ça"?(le pire, c'est que j'ai payé moi aussi)
Saluons le grand retour de John Waters avec un film trash tel qu'il sait si bien les faire. Ici, pas l'ombre d'un doute, le cinéaste laisse libre cours à son mauvais goût le plus total. Prenant appui sur une histoire très proche de celle du "Frissons" de Cronenberg (la propagation d'un virus qui déchaîne les pulsions sexuelles de ses victimes), le cinéaste ne se donne aucun interdit et nous pond un sommet de vulgarité hilarante. C'est bien simple, aucune phrase n'est "normale", pour le plus grand plaisir des amateurs de film bis. Les acteurs s'en donnent à coeur joie et sont excellents dans le registre outrancier. L'ensemble est donc à mourir de rire, pour toute personne ayant le bon goût d'aimer le plus total mauvais goût. On imagine déjà d'ici les bonnes mères de famille scandalisées par la teneur de ce petit bijou qui ne dépasse jamais le niveau de la braguette. Le cinéaste a monté son film (enfin façon de parler) comme s'il s'agissait d'un acte sexuel avec un véritable crescendo dans le n'importe quoi, avant de finir dans un ultime jet de sperme jeté à la face des spectateurs. Le cinéaste n'hésite pas à chier (littéralement dans le film) sur une certaine Amérique croyante et puritaine détestable. On s'associe à John Waters pour tirer la chasse.
Vraiment sympathique!!! Oui le film peut être considéré comme une série B(voire Z) mais il n'a pas d'autre prétention que de nous faire passer un bon moment en riant sur un sujet pourtant assez peu léger(l'intolérance d'une petite ville américaine:Baltimore).Franchement plus réussi que son précedent effort(Cecil B.Demented), le film aligne des scènes souvent drôles(les nombreuses séquences dans l'épicerie sont très réussies) avec un rythme certain, le tout sur une très belle bande originale(vraiment)qui rappelle l'ambiance de "Cry Baby"...mais en beaucoup plus délurée! Mais le film tient surtout sur ses interprètes féminines(allez donc le voir de préférence en v.o.), toutes plus impayables les unes que les autres: Tracey Ulmann est impeccable en mère de famille tantôt coincée, tantôt très "libérée", Selma Blair irrésistible dans son rôle de "bombe" sexuelle(arrêtée par trois fois pour attentat à la pudeur et affublée d'un bracelet électronique!)qui regarde en fait des séries à l'eau de rose en cachette, mais mention spéciale à Mink Stole(la copine de Bervely Sutphin dans "Serial Mother"), qui se bat contre la dépravation, et surtout à Suzanne Sherperd qui est la plus comique du film: voir cette vieille femme lancer des répliques bien senties et qui deviendront peut être cultes est très jouissif. Et dans l'ensemble les dialogues, très gratinés,sont excellents, remplis de savoureuses périphrases...ou au contraire complétement trash!!! Finalement l'humour de ce film se rapproche du vulgaire trash d'un Ab Fab(la série bien sûr pas le film!)et si quelques gags pêchent par lourdeurs,le film fait mouche la plupart du temps et se permet même un "cameo" très réussi!
Film de mauvais gout.1h30 semble une éternité c'est d'ailleurs pourquoi plusieurs personnes ( des personnes agées surtout) ont quitté la salle a la moitié du film.Pas drole on esquisse a peine un sourire, une sorte de The Rocky horror picture show absurde et baclé qui finit franchement par agacé et par se demander ce qui nous a pris de dépassé de l'argent et du temps pour une fable désopilante sur le puritanisme et la sexualité américaine.
Une idée de base amusante mais qui ne sera pas concrétisée... Le film semble long car ennuyeux. Seul la scène de danse dans la maison de retraite ma fait rire: "Je mets le doigt devant, je mets le doigt derrière, je met le doigt devant, je met le tout petit bout!..." etc..
Quelle horreur ! Quelle lourdeur ! En fait, je n'ai même pas ri ! A peine quelques scènes qui font sourire ! Bref, très lourd, pas très drole, et vraiment n'importe quoi.
Moi qui suis plutot bon public et apprécie les choses hautement débiles (Jackass, ...), les comédies minables (Baby Sittor, Fausses Blondes Infiltrées, Brice de Nice ...), et autres stupidités (South Park, Team America ...)