Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
par Jean Roy
C'est un petit premier film qui ne brille pas par son budget. Et pourtant, tout est là de ce qu'on peut aimer chez qui ne prétend pas révolutionner l'écriture cinématographique mais simplement s'en servir pour dire sa part de vérité sur le monde et sur l'homme.
Libération
par Stéphane PIATZSZEK
Le réalisateur allemand Michael Schorr a saisi, dans ce premier film, ce lien qui rattache Schultze au monde qu'il traverse. Schorr le piste avec une économie de mouvements et une sécheresse du cadre qui impriment aux plans-séquences une fascination muette.
Ouest France
par La rédaction
Un premier film allemand qui cache ses sentiments derrière la mise en scène au cordeau de plans fixes répétés. Humour décalé, chaleur humaine, interprètes savoureux. À découvrir.
Synopsis
par Arnaud Malherbe
Film étrange, voyage imprécis, rêveur hasardeux, antidramatique presque, Schultze gets the Blues se pare des grandes qualités de ses ambition : dire sans trancher, multiplier les sensations, les idées, à travers des signaux visuels ou auditifs (...) qui se passent de mots. (...)une approche documentaire de son sujet.
aVoir-aLire.com
par Nicolas Journet
un joli film d'émancipation où le héros s'extrait de sa condition, du carcan de sa naissance, en approchant de la mort. Un film finalement assez politique, assez libertaire, avec ce garde-barrière qui cite des passages virulents de Schiller, avec cette affirmation que, c'est sûr, la révolution ne sera pas collective, mais qu'elle sera individuelle. Un film riche donc, servi par un trio d'acteurs remarquables et une réalisation qui donne toute son importance au cadre.
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Ni ré-appropriation obsessionnelle genre Hitchcock-De Palma ni tâcheronnade décérébrée, le film a plutôt des airs de galop d'essai, d'élan pour une carrière future. En réglant son pas sur le pas de son père, Schorr pose ses jalons, construit doucement, tout doucement, sa propre trajectoire. Vu la micro-cadence du film, difficile encore d'en cerner précisément la direction, mais de cette fragilité naît quelques braises de suspens.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Françoise MAUPIN
Une jolie comédie que ce " Schultze ", à la fois mélancolique, tendre et cocasse, avec un héros pas banal (...). Toute la partie qui se passe en Allemagne, avec ses petits événements quotidiens, croqués minutieusement est très réussie. La suite, en Louisiane, est moins convaincante. Mais l'idée que l'on peut, malgré les barrières culturelles et sociales, communiquer dans la musique réchauffe le coeur.
Le Monde
par Jean-Luc Douin
cette sympathique balade parvient à se désengluer de la léthargie initiale de son personnage par un humour décalé à la Kaurismaki et par une réalisation soignée qui cultive discrètement (trop ?) l'euphorie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Franz Miceli
Michael Schorr filme ses personnages avec amour. Il s'attarde sur les visages et les gestes. Contemple les détails. Trop parfois. Le film aurait gagné à être plus court d'une demi-heure.
Première
par Christophe Narbonne
ce premier long allemand joue la carte de l'anecdotique pince-sans-rire. Suite de plans fixes élaborés, où le moindre détail a son importance, le film de Michael Schorr est une mécanique parfaitement rodée à laquelle l'humanité fait légèrement défaut.
Score
par Johnny Be Good
Un film intriguant et pour tout dire, pas désagréable. Pour peu qu'on ne roupille pas déjà devant sa première heure...
La critique complète est disponible sur le site Score
TéléCinéObs
par Emmanuel Luc
Sans profondeur ni mystère, la renaissance inattendue de ce laissé-pour-compte a un petit charme persistant qui tient entièrement à son sujet.
Télérama
par Jacques Morice
On savoure de ne jamais savoir quel chemin va emprunter ce film, d'abord sédentaire et routinier, puis nomade. (...) Du placide Schultze, on n'en sait guère plus à la fin qu'au début, on sait juste qu'en sa compagnie on ne s'ennuie pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Olivier Pélisson
Entre la photo animée et le chromo de province, cette succession de plans-séquences décalés brille par un sens du rythme alangui et un univers loufoque.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
C'est un petit premier film qui ne brille pas par son budget. Et pourtant, tout est là de ce qu'on peut aimer chez qui ne prétend pas révolutionner l'écriture cinématographique mais simplement s'en servir pour dire sa part de vérité sur le monde et sur l'homme.
Libération
Le réalisateur allemand Michael Schorr a saisi, dans ce premier film, ce lien qui rattache Schultze au monde qu'il traverse. Schorr le piste avec une économie de mouvements et une sécheresse du cadre qui impriment aux plans-séquences une fascination muette.
Ouest France
Un premier film allemand qui cache ses sentiments derrière la mise en scène au cordeau de plans fixes répétés. Humour décalé, chaleur humaine, interprètes savoureux. À découvrir.
Synopsis
Film étrange, voyage imprécis, rêveur hasardeux, antidramatique presque, Schultze gets the Blues se pare des grandes qualités de ses ambition : dire sans trancher, multiplier les sensations, les idées, à travers des signaux visuels ou auditifs (...) qui se passent de mots. (...)une approche documentaire de son sujet.
aVoir-aLire.com
un joli film d'émancipation où le héros s'extrait de sa condition, du carcan de sa naissance, en approchant de la mort. Un film finalement assez politique, assez libertaire, avec ce garde-barrière qui cite des passages virulents de Schiller, avec cette affirmation que, c'est sûr, la révolution ne sera pas collective, mais qu'elle sera individuelle. Un film riche donc, servi par un trio d'acteurs remarquables et une réalisation qui donne toute son importance au cadre.
Chronic'art.com
Ni ré-appropriation obsessionnelle genre Hitchcock-De Palma ni tâcheronnade décérébrée, le film a plutôt des airs de galop d'essai, d'élan pour une carrière future. En réglant son pas sur le pas de son père, Schorr pose ses jalons, construit doucement, tout doucement, sa propre trajectoire. Vu la micro-cadence du film, difficile encore d'en cerner précisément la direction, mais de cette fragilité naît quelques braises de suspens.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Une jolie comédie que ce " Schultze ", à la fois mélancolique, tendre et cocasse, avec un héros pas banal (...). Toute la partie qui se passe en Allemagne, avec ses petits événements quotidiens, croqués minutieusement est très réussie. La suite, en Louisiane, est moins convaincante. Mais l'idée que l'on peut, malgré les barrières culturelles et sociales, communiquer dans la musique réchauffe le coeur.
Le Monde
cette sympathique balade parvient à se désengluer de la léthargie initiale de son personnage par un humour décalé à la Kaurismaki et par une réalisation soignée qui cultive discrètement (trop ?) l'euphorie.
MCinéma.com
Michael Schorr filme ses personnages avec amour. Il s'attarde sur les visages et les gestes. Contemple les détails. Trop parfois. Le film aurait gagné à être plus court d'une demi-heure.
Première
ce premier long allemand joue la carte de l'anecdotique pince-sans-rire. Suite de plans fixes élaborés, où le moindre détail a son importance, le film de Michael Schorr est une mécanique parfaitement rodée à laquelle l'humanité fait légèrement défaut.
Score
Un film intriguant et pour tout dire, pas désagréable. Pour peu qu'on ne roupille pas déjà devant sa première heure...
TéléCinéObs
Sans profondeur ni mystère, la renaissance inattendue de ce laissé-pour-compte a un petit charme persistant qui tient entièrement à son sujet.
Télérama
On savoure de ne jamais savoir quel chemin va emprunter ce film, d'abord sédentaire et routinier, puis nomade. (...) Du placide Schultze, on n'en sait guère plus à la fin qu'au début, on sait juste qu'en sa compagnie on ne s'ennuie pas.
Zurban
Entre la photo animée et le chromo de province, cette succession de plans-séquences décalés brille par un sens du rythme alangui et un univers loufoque.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com