Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Margarethe von Trotta fait admirablement vibrer le courage et l'amour des femmes, qui sont leurs seules armes contre la barbarie. Et elle invente un magnifique personnage d'amoureuse indomptable, qui a valu à Katja Riemann un prix d'interprétation au Festival de Venise.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le message n'est pas asséné. Von Trotta sait comment tout dire en filmant les visages, magnifiquement présents, de toutes ses actrices.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par La rédaction
Sans manichéisme, Margarethe von Trotta décrit, à travers un petit groupe de femmes, les cheminements de la solidarité, de l'amitié et de l'amour face à la haine et à la guerre. Mais aussi tout simplement face à la mort et à la difficulté d'être. Ce film rappelle l'évidence : même quand tout est fini, la paix revenue, rien n'est jamais gagné.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Philippe Scrine
La cinéaste réalise à la fois un film sur la résistance de femmes, mais aussi un document quasi-historique sur un épisode du nazisme. A son crédit, on portera la sobriété du traitement, la détermination à rester concentrée sur son propos, nous évitant ainsi toute évocation larmoyante ou spectaculaire habituellement associée à la guerre. Quant à l'interprétation, si Katja Riemann mérite les honneurs, il serait injuste d'oublier Maria Schrader et Jutta Lampe.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Le film pesant de Margarethe von Trotta satisfait plus le devoir de mémoire qu'il ne déclenche l'émotion. La mise en scène est aussi appliquée qu'est convenu le jeu de Katja Riemann, prix d'interprétation à la Mostra de Venise 2003.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Christophe Narbonne
Von Trotta réussit quelques portraits de femmes admirables, patientes, soudées et sacrificielles. Mais comme souvent chez elle, le trait est appuyé. Pourquoi, par exemple, filmer une fenêtre vide (plan fort pour suggérer l'absence) derrière laquelle surgissent brusquement des prisonniers affamés et hurlants, sinon pour manipuler le spectateur?
TéléCinéObs
par Véronique Le Bris
Ces allers-retours successifs entre l'époque actuelle et celle de la guerre banalisent un peu cette fiction au sujet très fort, heureusement sauvée par l'interprétation impeccable de Katja Riemann, récompensée au Festival de Venise en 2003.
Zurban
par Véronique Le Bris
Le principal attrait du film est la réhabilitation de cette résistance ignorée ou encore l'interprétation brillante de Katja Riemann, récompensée à Venise en 2003.
Le Figaroscope
Margarethe von Trotta fait admirablement vibrer le courage et l'amour des femmes, qui sont leurs seules armes contre la barbarie. Et elle invente un magnifique personnage d'amoureuse indomptable, qui a valu à Katja Riemann un prix d'interprétation au Festival de Venise.
Télérama
Le message n'est pas asséné. Von Trotta sait comment tout dire en filmant les visages, magnifiquement présents, de toutes ses actrices.
Aden
Sans manichéisme, Margarethe von Trotta décrit, à travers un petit groupe de femmes, les cheminements de la solidarité, de l'amitié et de l'amour face à la haine et à la guerre. Mais aussi tout simplement face à la mort et à la difficulté d'être. Ce film rappelle l'évidence : même quand tout est fini, la paix revenue, rien n'est jamais gagné.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
La cinéaste réalise à la fois un film sur la résistance de femmes, mais aussi un document quasi-historique sur un épisode du nazisme. A son crédit, on portera la sobriété du traitement, la détermination à rester concentrée sur son propos, nous évitant ainsi toute évocation larmoyante ou spectaculaire habituellement associée à la guerre. Quant à l'interprétation, si Katja Riemann mérite les honneurs, il serait injuste d'oublier Maria Schrader et Jutta Lampe.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le film pesant de Margarethe von Trotta satisfait plus le devoir de mémoire qu'il ne déclenche l'émotion. La mise en scène est aussi appliquée qu'est convenu le jeu de Katja Riemann, prix d'interprétation à la Mostra de Venise 2003.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Von Trotta réussit quelques portraits de femmes admirables, patientes, soudées et sacrificielles. Mais comme souvent chez elle, le trait est appuyé. Pourquoi, par exemple, filmer une fenêtre vide (plan fort pour suggérer l'absence) derrière laquelle surgissent brusquement des prisonniers affamés et hurlants, sinon pour manipuler le spectateur?
TéléCinéObs
Ces allers-retours successifs entre l'époque actuelle et celle de la guerre banalisent un peu cette fiction au sujet très fort, heureusement sauvée par l'interprétation impeccable de Katja Riemann, récompensée au Festival de Venise en 2003.
Zurban
Le principal attrait du film est la réhabilitation de cette résistance ignorée ou encore l'interprétation brillante de Katja Riemann, récompensée à Venise en 2003.