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DarkParadise
127 abonnés
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3,0
Publiée le 9 janvier 2011
Pas mal, c'est pas mal du tout. Un bon film de loup garou ! Les transformations des loups garous sont extraordinaires, plus vrais que nature et assez effrayants. Nos loups d'aujourd'hui en images de synthèse n'ont rien à leur envier. Vraiment pas ! Le but du film est simple : aller chercher dans nos peurs ancestrales celle du loup-garou pour le rendre réel. Le phénomène est énorme et personne n'y croit. De quoi laisser le champ libre à de nouveaux êtres qui se fondent dans la nuit. Le scénario est donc peut être simple mais il est tout de même satisfaisant, la BO est bonne elle aussi, également la mise en scène, et les acteurs tiennent bien la route. Mais ce qui reste le plus réussi ce sont les effets spéciaux...Impressionnant !
Joe Dante réalise en 1980 avec " Hurlements " l'un des meilleurs films sur le thène de la lycanthropie. Il est vrai que l"histoire ne brille pas par son originalité, mais les effets spéciaux concoctés par Rob Bottin sont très réussis , le casting est excellent ( surtout en ce qui concerne la performance de Dee Wallace Stone ), la photographie de John Hora apporte beaucoup de charme et la musique de Pino Donaggio est par moment assez envoûtante. Il s'agit donc d'un série B vraiment efficace et qui se revisionne à chaque fois avec un certain plaisir.
"Hurlements" grand classique des années 80 signé "Joe Dante" est une véritable relecture du mythe du loup-garou dans un contexte moderne plutôt réussit à la fois troublante et effrayante. Surfant entre le thriller et le film d'épouvante, les effets spéciaux sont vraiment impressionnants (Du moins pour l'époque !) avec une pointe de mysticisme et d'érotisme baignant dans une ambiance champêtre nocturne plutôt bien retranscrite et surtout doté d'une vraie intrigue. Même si le film à pas mal vieillit de nos jours, il reste cependant une référence en la matière !
Ce film sent bon le fabuleux parfum des années 80 où la 3D n'existait pas encore. Les transformations en loups-garous forcent le respect. Des histoires de Loups-garous on en a vu et revu depuis, mais celle-là a le charme de son vieil age. Le film commence tranquillement comme une enquête pour finir en apothéose. Ah j'ai la nostalgie des films d'horreur des année 80 !
Moins puissant que Le loup-garou de Londres (son concurrent direct à l'époque) mais plus sombre, plus glauque, doté d'effets spéciaux toujours impressionnants et d'un final génial (la private joke finale est à se tordre de rire), ce qui fait oublier l'âge du film et des longueurs à mi-parcours.
Un film qui commence comme un polar puis qui bifurque d'un coup sur la lycantropie. Les acteurs jouent ce qu'ils peuvent, mais le film a un peu vieilli. En revanche, il reste gravé dans ma mémoires pour ses effets spéciaux en prostétics irréprochables. C'est bien simple : jamais vu des loups garoux aussi crédibles et impressionnants avant de tomber sur le film (et la scène de transformation tournée intégralement avec des prothèses restera à jamais un pied géant dans les annales d'effets spéciaux).
Après "Piranhas", Joe Dante continuait sa lancée dans le cinéma d'horreur avec "Hurlements", un film de loup-garou complètement atypique sorti en 1981, soit la même année que "Le loup-garou de Londres". Commençant comme un polar, le film met du temps avant de révéler sa nature fantastique, mettant en scène une journaliste traumatisée par la traque d'un serial-killer qui a voulu la tuer et qui part se reposer en pleine nature dans une communauté dirigée par un médecin. Or, cette communauté n'est composée que de loups-garous ! Pitch singulier pour un film qui l'est tout autant, assez bancal en dépit de ses idées. Semblant incapable de prendre le genre au sérieux, Joe Dante ne tarde pas à faire virer le tout dans le ton parodique qui fait sa marque de fabrique, donnant alors du sel à un scénario classique mais surtout complètement mou, régulièrement parasité par des baisses de rythme assez aberrantes ! L'humour de Dante, sa culture cinématographique (les choix de ses seconds rôles ou des noms des personnages) et les effets spéciaux de Rob Bottin préfigurant ceux de "The Thing" sauvent l'ensemble et le rendent carrément divertissant. Mais dans le genre, on a vu mieux, les idées du scénario n'embrassant pas tout leur potentiel.