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    Hurlements
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    144 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 février 2015
    Je ne comprends pas les quelques avis négatifs, ce film est génial, les effets spéciaux sont géniaux pour l'époque !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 janvier 2015
    Un film de loup-garou qui a un peu vieilli mais les effets speciaux sont réussis pour l'époque gros défaut du film : le loup garou n'arrive qu'à 50 minutes sur 90 minutes!
    g0urAngA
    g0urAngA

    81 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2014
    Qui dit année 80, dit photographie et ambiance générale bien spécifique et fidèle à cette période là; scènes nocturnes enfumées, personnages souvent caricaturaux... Nous sommes d'accord sur le fait que tout ceci fait un peu kitch aujourd'hui, mais force est de constater que mis dans l'ambiance, l'ensemble fonctionne toujours à merveille.

    Dante's touch oblige, le film est esthétiquement très réussis, ce sont surtout les scènes de transformations qui sont saisissantes même pour quelqu'un qui découvrirait le film aujourd'hui. Le scénario, habillement travaillé, permet une mise en place très posée et surtout une montée crescendo jusqu'à une scène finale joliment trouvée.

    La réussite du film ne se limite toutefois pas à sa réalisation, le jeu d'acteurs étant lui aussi d'un bon niveau.
    Un classique qui se doit d'être vu, pour tous les amateurs du genre ...
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2018
    Film des plus cultes, Hurlements fait partie de ces cadors du cinéma de genre qu'il faut avoir vus dans sa vie. Révélé à mes yeux par une petite référence dans l'excellent Scream de Wes Craven, j'ai depuis tout ce temps eu envie de le voir. A présent que c'est chose faite, que vaut réellement le film de Joe Dante, faiseur d'oeuvre très réputé des années 80?

    Il faut lui reconnaître une forte personnalité pouvant cependant désarçonner son spectateur. A mi-chemin entre le film d'horreur et l'humour noir, on ne sait jamais vraiment devant quoi l'on se trouve; face à l'idiotie des personnages et les choses stupides qu'ils font, on se formalise premièrement, avant de comprendre que ce n'est que satyre d'un genre nouvellement né et pourtant propice à la parodie et bourré de défauts.

    Slasher sans réellement l'être, Hurlements se place en tête des meilleurs films de loups-garous grâce à l'intelligence de son scénario, à l'efficacité de sa mise en scène sentant bon les années 80, cela ajoutés à des moments gores et jouissifs d'une générosité sanguinaire réjouissante. On y remarquera la qualité bluffante des maquillages, qui nous livrent des loups physiquement impressionnants, charismatiques et terrifiants; chaque transformation est une surprise, chaque bête est une horreur.

    Forcément filmées avec talents, les bêtes trouvent une bonne partie de leur charisme dans cette mise en scène 80's de Dante, qui prouvent dès lors qu'il est l'un des mieux placés pour filmer l'horreur : il nous la montre avec froideur et violence, avec un soupçon de sarcasme et d'ironie. L'on pourrait venir à penser que l'homme aime se moquer d'un nouveau genre de films ô combien stupide, qu'il aime voir des personnages stéréotypés faire ce pour quoi nous pouvons les qualifier de clichés sur patte.

    Conservant toujours une maîtrise appréciable, Dante ne tombe jamais dans la linéarité ou les stéréotypes de mise en scène propres au genre, ou les approche pour mieux les détourner; éminemment malin, Hurlements fait l'effet d'une bombe par l'innocence de sa forme et la monstruosité de son fond, réflexion intelligente sur la perversité de l'homme, couplée à des dédoublements de personnalité intéressants.

    Et c'est ce qu'est le loup-garou, dans ce film : le mauvais penchant de l'homme, le Mister Hyde du Docteur Jekyll, le Joker du Batman, une double personnalité purement monstrueuse capable des actions les plus cruelles sans que l'autre âme dans le corps ne puisse rien y changer. Réflexion intéressante quoi que classique dans le genre, même si la forme du film fait qu'on a rapidement l'impression de sortir des sentiers battus et du cadre classique des oeuvres du genre, même si la forêt isolée ne déroge pas à la règle.

    Là encore, c'est l'ironie du film qui nous fait oublier les clichés volontairement placés un peu partout; on rit forcément, on a peur, aussi, sans que cela ne soit jamais trop ou pas assez. Hurlements est un film qui marque par son sens de la mesure, de la nuance et de la pondération, par sa fin simplement insupportable pour toute personne émotionnellement fragile et le réalisme de son horreur.

    Une oeuvre pionnière du genre, apogée d'une époque horrifique révolutionnaire. Culte.
    L'Infernaute de l'Apocalypse
    L'Infernaute de l'Apocalypse

    42 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2014
    "Hurlements" est l'un des meilleurs films de lycanthropie modernes réalisés, en 1981. Son principal défaut vient d'un scénario un peu bancal qui laissent apparaître quelques moments de flottement, avec ces effets mécaniques et de maquillage en latex réalisés presque sans plans de coupe par le génial Rob Bottin, le film évite tous les écueils du genre, notamment le côté parodique qui plombe certains films d'horreur (seule la réplique finale relève du gag). "Hurlements" est un film sérieux, à l'érotisme troublant, avec une ambiance et des moments terrifiants.
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    116 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Avec "le Loup-garou de Londres", "Hurlements" est l'un des meilleurs films de lycanthropie modernes réalisés à la même époque, en 1981. Son principal défaut vient d'un scénario un peu bancal qui laissent apparaître quelques moments de flottement, et qui s'appuie trop sur ses fx sidérants ; avec ces effets mécaniques et de maquillage en latex réalisés presque sans plans de coupe par le génial Rob Bottin, le film évite tous les écueils du genre, notamment le côté parodique qui plombe certains films d'horreur (seule la réplique finale relève du gag). "Hurlements" est un film sérieux, à l'érotisme troublant, avec une ambiance et des moments terrifiants.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    395 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Une éternité que je dois voir ce film, je me rappelle encore avoir hésité à louer la K7 vidéo à mon vidéo club dans les années 90, préférant des "Freddy" ou "Chucky", donc enfin je me cale devant ce "Hurlements" de Joe Dante (réalisateur de "Piranhas" et "Gremlins") ... Première impression cette photographie typiquement fantastique-horreur années 70-80, déjà ça me plait, en plus Dee Wallace dans le rôle principal (oui la maman de Elliot dans "E.T.", une actrice emblématique du genre) c'est bien aussi, le film démarre plutôt bien, j'irais même jusqu'à dire qu'on est pas loin d'un De Palma dans la réalisation puis ensuite le scénario prend une tournure inévitable quand aux promesses du synopsis et tombe quelque peu dans le cliché. En effet tout devient cousu de fil blanc et on frôle à plusieurs moment le nanar, car il faut le dire la mise en scène est le principal défaut du long métrage, on a parfois du mal à ne pas sourire et se moquer. Les effets spéciaux sont eux convaincants pour l'époque, voir même bluffants au moment des transformations en loup garou, même si vers le dernier quart d'heure tout est un peu poussé à l'extrême et encore une fois ça ne sert pas la crédibilité du long métrage. C'est sur qu'on est loin d'un "Loup Garou de Londres" mais "Hurlements" reste tout de même un divertissement 80s plutôt sympathique, disons que Dante fera bien mieux trois ans plus tard avec "Gremlins".
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    134 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2014
    Hurlements à l'époque m'avait laissé une impression forte et dérangeante, comme une empreinte, une griffure. Plusieurs raisons à cela : je crois que cela provient naturellement du scénario qui commence sur les rails d'un genre (une enquête pour neutraliser un tueur en série) au coeur de la grande ville étouffante et corruptrice (images à la Taxi Driver, cinéma porno de quartier) pour se développer et s'épanouir loin de celle-ci, dans un village, au coeur d'un communauté où la terreur va peu à peu faire son lit des apparences tranquilles et apaisantes de cette rase campagne. Autre facteur : Dante s'inscrit dans une tradition (références nombreuses pour les amoureux du genre) mais en casse les codes par un étonnant travail sur l'image (ces bois entrelacés de colonnes de lumière diffuse faisant de la forêt un lieu vivant, littéralement habité) et sur les transformations hallucinantes pour l'époque en loups-garous ainsi qu'en distillant tout au long du film un sous-texte éminemment sexuel. Je dois le revoir mais l'impression laissée par un film trompe rarement son monde. Et il y avait de mémoire une singularité une atmosphère, une énergie que Dante sait insuffler à ses films quand il est totalement investi. C'était je crois le cas !
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    119 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2014
    Hurlements, du renommé Joe Dante, c'est l'archétype même du film de loup-garou qui a très mal vieillit et qui impressionne plus du tout. Mes parents, marqués par ce film, me l'on fait découvrir il y a quelques années et ça a été une déception. Y compris pour eux pour leur deuxième visionnage. Alors peut-on repproché à un film de mal vieillir et argumenté son mécontement que sur ça ? Question légitime, à laquelle je n'ai pas trop de réponse. D'autant que je n'ai pas d'autre alternative de toute façon. Je suis obligé de me remettre dans le contexte de l'époque pour juger plus objectivement et légitimement la porté de ce Hurlements. Et partant de ce cas les transformations étaient peut-être assez impressionnantes pour l'époque, mais elles n'ont pas très bien vieillit, à contrario des effets et trucages de certains autres films d'horreur datant pourtant presque de la même époque. Bon, ça se laisse regarder quand même. Mais assez nettement loin d'avoir autant marqué le genre qu'il emprunte que son Gremlins par exemple.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2013
    Joe Dante se tourne ici vers une créature mythique du cinéma fantastique en dépoussiérant le mythe du loup-garou. Dans le genre, son film est résolument moderne pour l’époque. Les personnages principaux sont typiques des années 80. L’héroïne est une femme publique, journaliste TV. Ce film est probablement le plus connu des cinéphiles avec « Le loup-garou de Londres » de John Landis. Mais, la comparaison entre les deux œuvres s’arrête là. « Hurlements » met beaucoup trop de temps à rentrer dans le vif du sujet. Après un traumatisme, la journaliste rejoint une étrange communauté sur les conseils de son médecin. Ainsi, avant d’être confrontée aux lycanthropes, l’héroïne est victime d’un viol. Cette partie est longuette et légèrement hors sujet. D’autant que la réalisation est conventionnelle et l’interprétation sans éclat. Le film ne démarre vraiment que lorsque les membres de la communauté se dévoilent. Certaines transformations sont à la peine (le couple devant le feu de camp), d’autres sont plus convaincantes (la métamorphose complète dans le bureau du docteur). Quoi qu’il en soit, il s’agit d’une des premières fois que l’on voit à l’écran des loups-garous « réalistes », pas des comédiens affublés d’un déguisement. Quelques scènes gore viennent pimenter le film comme le bras d’un loup-garou tranché à la hache qui retrouve sa forme humaine, le visage d’un monstre ravagé par l’acide… Mais que de temps perdu ! C’est dommage car la fuite de la communauté avec ses loups-garous partout est vraiment palpitante. La métamorphose de la présentatrice en direct pendant le journal TV est bien vue. Le peu d’écho de cette action sur les spectateurs blasés que nous sommes résonne comme une critique de notre société dont Joe Dante est friand. Enfin, l’idée intéressante du film, à savoir l’adaptation des mœurs des loups-garous à notre société en élevant du bétail pour s’en repaître et donc l’abandon de leurs proies naturelles que représentent les humains, n’est pas suffisamment mise en avant.
    hubertselby
    hubertselby

    68 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2013
    Comme tout film des années 80, on retrouve un charme de plaquo désuet et les voix des doubleurs des 80' sont ceux de mon enfance, dur d'être objectif...
    On a donc un film de Joe Dante (Les Gremlins tout de même ! ) sur les loups garous.
    Mais ça ne commence pas comme tel, on a une journaliste qui veut rencontrer un psychopathe et qui va se retrouver dans un sex shop.
    Bref la bourgeoise va explorer ses peurs dans les bas fonds.
    Ici le cerveau de la bande c'est Patrick Mc Nee (chapeau melon et bottes de cuir), c'est lui qui farfouille dans les psychés de l'homme et qui travaille sur ses cobayes dans une petite communauté qu'il a fabriqué de toute pièce dans une forêt en bord de mer. Bref c'est louche !
    Ça fait un peu psychanalyse de la femme et du désir, quand on y repense c'est un film très sexe qui oscille entre mort de pulsions charnelles.
    On entre aussi dans le monde de la télévision mais de façon légère, un vague relent de star système.
    Le film n'est pas mal en soi, on a un peu de mal avec les looks années 80, l'abus de la musique (du clavecin ? sérieux !? ) et les effets spéciaux sont très bien pour l'époque même si pour des habitués des années 2013, ça semble un peu kitsch...
    gnomos
    gnomos

    53 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 octobre 2013
    En démarrant le film, je ne savais pas que c'était une histoire de loups-garous. Ce n'est pas vraiment ce que je préfère, mais Joe Dante n'étant pas le dernier des manchots, j'ai tout regardé. ( et puis j'aime bien Patrick Mc Nee ). Mais enfin, si les effets spéciaux ne sont pas mauvais, le film est ennuyeux et débile. Rien de folichon dans ces hurlements. Si vous voulez un bon film de loups-garous, rabattez-vous sur " le loup-garou de Londres ", de John Landis, un très bon film, le meilleur même dans sa catégorie.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 390 abonnés 4 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2013
    Hurlements est souvent considéré comme un classique de Joe Dante, mais il faut reconnaitre que le film en lui-même est assez moyen, et que le temps ne l’a pas vraiment arrangé, à la différence d’autres films du réalisateur.
    Bon, l’interprétation est solide. On retrouve notamment une habituée du cinéma de genre et particulièrement du cinéma d’horreur en la personne de Dee Wallace. Là elle est un peu dans l’un des rôles qui l’a révélé, et comme souvent elle joue juste et avec conviction. Elle est plutôt bien entourée, avec quelques acteurs comme Christopher Stone (un poil fade néanmoins), et surtout de grands noms : John Carradine, Patrick McNee (dans un rôle bien différent de Chapeau melon et bottes de cuir, qu’il joue avec justesse même s’il n’est peut-être pas assez machiavélique), ou encore Kevin McCarthy. Dans l’ensemble je ne dirai pas qu’en tenant compte des attentes qui pouvait reposer sur certains acteurs le résultat soit totalement convaincant. Néanmoins ils assurent suffisamment pour ne pas créer d’impression de raté.
    Le scénario est plutôt plaisant. Il est construit de manière originale, notamment avec cette cassure scénaristique culottée dans sa première moitié. Ensuite il installe un suspens intriguant, qu’il révèle assez vite pour donner lieu ensuite à un film fantastique plus classique. Dans l’ensemble Hurlements a apporté indéniablement une pierre originale au cinéma de loup-garou, et on peut dire que Dante c’est bougé pour sortir des sentiers battus. Maintenant, Hurlements souffre d’un rythme assez morne, voir terne par moment. C’est sans doute du au budget très limité de la production, qui n’a pas permis à Dante de faire tout ce qu’il voulait, mais c’est clair qu’il ne faut pas être trop sourcilleux sur la question du dynamisme pour regarder Hurlements. Bonne conclusion par ailleurs.
    Visuellement, Dante arrive assez bien à contourner ses limites financières. Sa mise en scène est cependant encore hésitante. On sent que le réalisateur est à ses débuts, et tout comme dans Piranha il y a pas mal de fixité dans les plans, des cadrages pas toujours parfaits, ou alors rendu volontairement imparfait pour cacher justement le manque de budget. Il y a un peu une impression d’archaïsme. Maintenant Hurlements se rattrape un peu sur sa photographie (quelques plans nocturnes un peu sombres cependant), et possède des décors tout à fait suffisamment pour être crédible. Je note aussi un excellent travail sur les effets spéciaux. Il est d’ailleurs dommage que ceux-ci ne soient pas plus nombreux. Il y a notamment une transformation de loup-garou qui ne donne vraiment pas envie d’en être car elle est assez horrible ! D’ailleurs, même si Hurlements n’est pas horrifique, l’ambiance est sombre, il y a des passages un peu « crade » pour un public sensible, et il ne faut surtout pas se croire dans un Gremlins. Enfin la bande son de Pino Donaggio est très plaisante. Dommage qu’elle donne le sentiment d’être un peu sous-exploité.
    En conclusion, Hurlements n’est pas un mauvais film, mais il est certain qu’il a trois handicaps, qui, conjugués, le retienne quand même comme un film mineur : un tout petit budget d’abord qui a clairement restreint les ambitions du réalisateur, le fait qu’il soit une des premières réalisations de Dante, lequel n’est pas encore en pleine possession de ses moyens, et enfin le fait que l’âge ne lui a pas vraiment rendu service. Curieusement, en dehors de quelques éléments (notamment la transformation que je citais plus haut), il s’est un peu « ringardisé », et cela accentue clairement certains défauts. Reste que Hurlements est un incontournable pour les amateurs de films de monstre, et a joué un rôle tout de même important dans l’histoire du cinéma fantastique qui oblige à un visionnage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 août 2013
    Si vous n'avez pas peur du côté kitsch, Hurlements de Joe Dante ( réalisateur de Gremlins notamment) est un film de loup-garou sympathique. Le scénario est plutôt amusant, les effets spéciaux bon et puis j'aime bien Patrick MacNee. Un long métrage un cran ( voire deux) en dessous "du loup-garou de Londres" tout de même.
    Félix F
    Félix F

    244 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2013
    Pas le meilleur film de loup garou, gros coup de vieux au visionnage, peu de crédibilité et peu de qualité à ce film d'épouvante. Dommage car Joe Dante reste un bon pour moi.
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