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Tof Benjamin
12 abonnés
344 critiques
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2,0
Publiée le 18 mars 2018
Le problème majeur de "Hurlements" est qu'il a terriblement mal vieilli, bien plus que d'autres réalisations de la même époque. Il ne fait plus peur du tout, on a même plus envie de rire devant les hurlements des victimes. 2* car ça reste un grand classique, et sûrement une réussite à l'époque.
Hurlements est un excellent film sur le thème de la lycantropie, les effets spéciaux réalisés sans trucages informatiques sont encore impressionants ; je vous conseille réellement de le voir.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 25 avril 2021
Grand fan de Gremlins j'ai toujours entendu dire que The Howling était excellent. Je ne sais pas quel était le budget car c'est filmé avec un éclairage faible et la plupart du temps on dirait qu'il y avait de la vaseline sur l'objectif. de la caméra. C'est drôle peut-être que ce film n'est simplement pas pour moi. Je ne peux pas penser à un seul film de loup-garou que j'ai aimé à l'exception de Le Loup-garou de Londres et celui-ci est probablement mauvais parce que je ne l'ai pas vu au bon âge au cinéma. Peut-être qu'il y a un temps pour les loups garous et qu'on n'a qu'une seule chance c'est comme tomber amoureux ca n'arrive qu'une fois...
"Hurlements" est un très bon exemple des séries B horrifiques qui se produisaient dans les années 1980. C'est très kitsch. Le scénario, faut pas en chercher, parce que il n'y en a pas. La fin, faut pas en chercher, y en a pas. Et pour ce qui est des acteurs, bah faut pas les chercher non plus, puisqu'on peut pas dire que y en a vraiment. Et puis, l'ultime déception, ce sont les effets spéciaux. Après tout ce que j'avais pu lire à leur sujet, j'en suis tombé des nues. C'était peut-être à la pointe de la technologie à l'époque, mais quand même, aujourd'hui, c'est limite ridicule. Alors, si au moins il y avait eu une pointe d'humour, du genre jubilatoire et second degré, ça n'aurait pas été un mal. Mais non, il semble que Joe Dante (la mise en scène est "correcte") ait voulu faire un vrai film d'horreur. C'est bien dommage. Surtout que c'est pas le genre de films qu'on regarde en se prenant la tête. Et puis l'ambiance est comme... envoutante. Même si certaines scènes sont véritablement étranges, "Hurlements" a du charme, c'est incontestable. Mais bon, en terme de films d'horreur, comparé à "The thing" (pour les créatures animatroniques), c'est vraiment du flan. Et du mauvais flan.
Hurlements (1981), Le Loup-garou de Londres (1981) & Wolfen (1982) ont véritablement dépoussiéré le genre en redonne ses lettres de noblesse au film de loup-garou. Adapté du roman éponyme de Gary Brandner, le film de Joe Dante (Gremlins 1 & 2 - 1984/1990) se démarque de la concurrence grâce à d’excellents make-up effects prosthetic (que l’on doit à Rob Bottin) et une brillante utilisation des animatronics, nous offrant ainsi une séquence de transformation d’anthologie !
Seule ombre au tableau, il faut attendre plus de la moitié du film pour avoir droit à ces séquences mémorables. Tout le début du film s’avère bien plat, on patiente inlassablement jusqu’à la première attaque de loup-garou. C’est d’autant plus regrettable de devoir attendre autant qu’à partir de la dernière partie du film, quand tout s’accélère enfin, c’est réellement là que le film prend tout son sens.
Il n’en reste pas moins que ce film vaut le détour pour l’aspect technique et artisanal de la transformation. Et il est d’autant plus important à regarder qu’il reste encore à ce jour, le seul et unique opus à tirer son épingle du jeu parmi les 7 autres opus de la franchise (Hurlements 2 - 1985 , Hurlements 3 - 1987 , Hurlements 4 , 1988 , Hurlements 5 : La Re-naissance - 1989 , Hurlements 6 - 1991 , Hurlements 7 : Nuits de pleine Lune - 1995 & Full Moon Renaissance - 2011).
De mémoire, j’ai entendu davantage de cris dans un film avec des enfants insupportables que dans celui-ci dont l’action il faut le noter commence à peu près à la quarantième minute…. J’ai hésité à écrire action, j’aurais plutôt mis « mouvement des marionnettes affreuses ». C’est assez navrant et réservé aux connaisseurs de ce style de film. Pour les « généralistes », il vaut mieux passer son tour. Tout juste remarquera-t-on que le visage de la mère nous dit quelque chose…… et bien oui, c’est la mère d’Elliott, un autre film autrement plus intéressant avec une certaine marionnette gentille cette fois!!!!!!
Ce film a tout de même un peu vieilli et fait presque un peu kitsch. La première heure est un peu longuette mais est heureusement rattrapée par la fin avec notamment une transformation assez horrible.
Une péloche de Joe Dante qui a bien mal vieilli mais dont l'atmosphère reste intéressante. Certains plans, certaines lumières et la photographie restent réussis, en revanche le jeu d'acteur laisse à désirer et le scénario apparaît brouillon. On perd un temps fou en mise en place et ce n'est que rarement palpitant mais certains effets spéciaux et maquillages font toujours leur petit effet. Dommage que l'on n'y croit que trop rarement car le final est somme toute sympathique. Moyen dans l'ensemble.
Si on passe outre les effets spéciaux un peu datés (sauvés par des animatroniques bluffants), Hurlements est un bon film d'angoisse, montant progressivement en tension. Comme souvent, le Loup Garou est ici une métaphore du désir et de la sexualité, parfois au sens très littéral. Quelques facilités d'écriture peuvent laisser perplexe, tout comme les dialogues un peu lourds. Mais le film vaut le coup d'oeil pour sa mise en scène réussie et son atmosphère prenante.
Adaptation du roman homonyme, Hurlements est un film d'horreur réalisé par Joe Dante, qui possède malheureusement peu de qualités. L'histoire nous fait suivre une journaliste de télévision qui se retrouve traquée par un tueur en série qui va lui créer de nombreux traumatismes. Ce scénario n'a hélas pas grand-chose à offrir pendant une heure et demie assez ennuyeuse. En effet, le récit traite des loups-garous mais il faut attendre un trop long moment avant de voir enfin apparaître la créature à l’écran. Une bête que l'on voit trop peu durant l'intrigue, alors que les seules scènes ayant un minimum d’intérêts sont en sa présence. Lors de ces rares passages l'ambiance horrifique est réussie, mais cela n'est pas assez fréquent et prononcé sur la durée. On ne ressent aucune frayeur et aucune tension malgré l'enjeu. Le reste du temps on assiste à la recherche du coupable avec des personnages peu attachants et marquants qui n'ont aucune profondeur. La faute également à un casting sans charisme dont on ne retient aucun visage. Ces rôles ne procurent rien du tout à travers leurs échanges insipides. L'ensemble est convenablement réalisé par Joe Dante même si sa caméra se promène dans des décors peu inspirés. Les effets-spéciaux eux, oscillent entre le bon et des choix de designs douteux. Ce visuel sans charme est accompagné par une b.o. dont les compositions renforcent l'atmosphère, sans pour autant être mémorables. Reste une fin plutôt sympathique qui relève légèrement le niveau, mais elle ne suffit pas à faire d'Hurlements un bon film pour autant, au contraire, c'est un long-métrage dispensable et vite oubliable.
Vu sur Paramount Chanel. Bon moment mais le problème de "Hurlements" est qu'il a mal vieilli, c'est clair qu'à l'heure actuelle il ne fait plus peur du tout. 2*5 car ça reste un grand classique, et très sûrement une réussite à l'époque. Mais il se laisse regarder tout de même.
Un film qui a engendré sa sage, comme d'autres de la même époque ou presque, comme Halloween, vendredi 13 etc...et comme souvent, le premier est le seul digne d'intérêt. Ici, on a quand même Joe Dante derrière la caméra, c'est son deuxième film avant d'exploser avec son Gremlins, et déjà, on sent un savoir faire, pour créer une ambiance, pour mettre sa patte si je puis dire. Le film use déjà de quelques jump scare assez efficace, car le style est assez long, et donc la moindre surprise se transforme en sursaut. Le film commence comme un thriller urbain, pour passer dans le côté champêtre inquiétant. Les effets spéciaux, et la transformation principal a du demandé des efforts d'ingéniosités incroyables, le résultat est bluffant...pour l'époque, car le visage qui se gonfle et se dégonfle afin de se transformer, fait cruellement penser aux Gizmos se transformant sous l'effet de l'eau...mais, cela reste honorable. Le casting est aussi à souligner, avec un surprenant rôle de Patrick Macnee; alias Mr Steed, ou Dee Wallace qui enchainera avec E.T et Cujo. Un film de fan, pour le genre, et pour toute la symbolique qu'il a crée, sans être trop mauvais, sans être un chef d'œuvre, il a le mérite d'avoir mis à la mode les loups garous et d'avoir mis le pied à l'étriller d'un autre fameux loup, pas de Wall Street mais de Londres.
Bien sûr ce film comporte beaucoup de défauts, des incohérences, quelques manques dans l'élaboration de l'intrigue et un casting très moyen (surtout les acteurs masculins). Mais il comporte tellement d'éléments qui font le charme de ces productions des années 80 que l'on ne retrouve plus aujourd'hui. Les effets spéciaux (qui font sourire beaucoup de jeunes de maintenant) ne sont pas parfait mais quel bonheur de retrouver quelque chose d'authentique, bien loin des CGI sans âme utilisés à l'excès dans le cinéma actuel.
L'année 1981 fut riche en lycanthropie. "Wolfen", "An American Werewolf in London", et "The Howling", où une journaliste bouleversée par sa confrontation avec un tueur en série trouve refuge dans une étrange communauté reculée. Joe Dante trouve là une approche originale pour son sujet, en mélangeant enquête policière, et intrigue fantastique dans une communauté plus menaçante qu'elle en a l'air. Cependant, le scénario a tendance à s'embourber dans les longueurs, et ressemble plus à un prétexte pour enchaîner les scènes de monstres, malgré quelques bonnes idées. Par ailleurs, la multiplication des protagonistes allège trop l'enjeu autour des passages horrifiques. Néanmoins, les séquences de transformation sont très réussies pour l'époque, et les décors forestiers plutôt inquiétants. On remarque également plusieurs habitués des films de Joe Dante (Dick Miller, Robert Picardo, Kevin McCarthy), dont la carrière décollera suite au succès financier de "The Howling".