Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Il n'y a plus qu'à rester stupéfait face aux jeux de comédiens admirables et devant la puissance d'une caméra qui ne lâche pas d'un pouce les corps des protagonistes (...) Une chose au moins est sûre, le Retour est le plus beau premier film que le cinéma russe nous ait proposé depuis très longtemps.
Que rêver de mieux : un film d'une simplicité biblique qui nous tient en haleine de bout en bout sans utiliser les ressorts du cinéma de genre ; une immersion un peu inquiètante dans un monde naturel où l'on perd ses re-pères. Splendide.
Premier long-métrage et premier coup de maître pour Andreï Zviaguintsev (...) Le lyrisme et la rigueur plastique de ce conte initiatique renouent, peut-être inconsciemment, avec une culture artistique et picturale que l'Occident a trop vite oubliée.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Avec une grande sûreté dans la conduite de son récit et dans la direction de ses acteurs, Andreï Zviaguintsev met en évidence les lignes de force de cet affrontement jusqu'à le rendre immédiatement perceptible. Il lui reste encore à trouver une forme esthétique qui convienne mieux à sa propension mystique que son attrait pour la belle image, un bagage qui vient peut-être de son passé de cinéaste publicitaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce film n'exige qu'une seule séquence pour nous lier à ses personnages, nous plonger dans le gouffre de leur hypersensibilité. Six plans pour sceller un pacte aussi fort, ça s'appelle réussir son coup.
Au coeur des " sorties kleenex ", vite vues vite oubliées, Le Retour fait figure de parenthèse enchanteresse. Attention quand même, le film n'est pas d'un accès facile. Bien sûr, on appréciera la qualité de l'interprétation des deux enfants, comme on admirera l'image soignée. Cependant, il faudra avant tout faire travailler ses neurones... à moins d'apprécier le mystère pour ce qu'il est, sans chercher à l'expliquer.
Il convoque, en guise de personnages, des archétypes, et dévide un récit brut, à caractère mythologique. Et pourtant, ce n'est pas non plus un film désincarné, compte tenu de la formidable présence de ses deux jeunes interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) Zviaguintsev exploite les ressources esthétiques de la terre qu'il filme, et prétend en faire un passeport pour la métaphysique. Mais ni la beauté ni la métaphysique ne sont déjà dans les images. Au lieu de servir le film, tous ces "atouts" l'empèsent.
(...) un souffle, un mystère indéniables (...) L'omniprésence de l'élément aquatique, le grain pictural de l'image filmée, en un mot le pesant héritage de Tarkovski (...) suggèrent aussi une lecture symboliste. Mais ces références n'éclipsent pas la force de ce jeu de piste macabre à la ligne narrative qui taraude par sa simplicité même.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) un suspense parfaitement orchestré tant par une bande-son inquiétante que par la beauté et la grandeur des paysages parcourus, magnifiés par un excellent travail sur la photographie. Hélas, usant et abusant du thème du secret comme alibi scénaristique (...) Zviaguintsev laisse trop souvent le spectateur sur sa faim.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Il n'y a plus qu'à rester stupéfait face aux jeux de comédiens admirables et devant la puissance d'une caméra qui ne lâche pas d'un pouce les corps des protagonistes (...) Une chose au moins est sûre, le Retour est le plus beau premier film que le cinéma russe nous ait proposé depuis très longtemps.
Le Figaroscope
Un film âpre, bouleversant et dévastateur (...)
Les Inrockuptibles
Que rêver de mieux : un film d'une simplicité biblique qui nous tient en haleine de bout en bout sans utiliser les ressorts du cinéma de genre ; une immersion un peu inquiètante dans un monde naturel où l'on perd ses re-pères. Splendide.
Positif
Premier long-métrage et premier coup de maître pour Andreï Zviaguintsev (...) Le lyrisme et la rigueur plastique de ce conte initiatique renouent, peut-être inconsciemment, avec une culture artistique et picturale que l'Occident a trop vite oubliée.
Première
Le réalisateur est un spéléologue de l'humain, qui ose aller sonder là où il fait sombre (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) un lent voyage onirique (...) une profonde descente vers nos sentiments les plus confus.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Avec une grande sûreté dans la conduite de son récit et dans la direction de ses acteurs, Andreï Zviaguintsev met en évidence les lignes de force de cet affrontement jusqu'à le rendre immédiatement perceptible. Il lui reste encore à trouver une forme esthétique qui convienne mieux à sa propension mystique que son attrait pour la belle image, un bagage qui vient peut-être de son passé de cinéaste publicitaire.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Ce film n'exige qu'une seule séquence pour nous lier à ses personnages, nous plonger dans le gouffre de leur hypersensibilité. Six plans pour sceller un pacte aussi fort, ça s'appelle réussir son coup.
MCinéma.com
Au coeur des " sorties kleenex ", vite vues vite oubliées, Le Retour fait figure de parenthèse enchanteresse. Attention quand même, le film n'est pas d'un accès facile. Bien sûr, on appréciera la qualité de l'interprétation des deux enfants, comme on admirera l'image soignée. Cependant, il faudra avant tout faire travailler ses neurones... à moins d'apprécier le mystère pour ce qu'il est, sans chercher à l'expliquer.
TéléCinéObs
Paysages déserts, mise en scène épurée, Le Retour, Lion d'or à Venise, a l'âpreté d'un grand classique.
Télérama
Il convoque, en guise de personnages, des archétypes, et dévide un récit brut, à caractère mythologique. Et pourtant, ce n'est pas non plus un film désincarné, compte tenu de la formidable présence de ses deux jeunes interprètes.
Cahiers du Cinéma
(...) Zviaguintsev exploite les ressources esthétiques de la terre qu'il filme, et prétend en faire un passeport pour la métaphysique. Mais ni la beauté ni la métaphysique ne sont déjà dans les images. Au lieu de servir le film, tous ces "atouts" l'empèsent.
Chronic'art.com
(...) un souffle, un mystère indéniables (...) L'omniprésence de l'élément aquatique, le grain pictural de l'image filmée, en un mot le pesant héritage de Tarkovski (...) suggèrent aussi une lecture symboliste. Mais ces références n'éclipsent pas la force de ce jeu de piste macabre à la ligne narrative qui taraude par sa simplicité même.
L'Obs
Les acteurs sont étonnants (...) le film est remarquablement fait, un peu trop bien léché peut-être pour un sujet si âpre, une histoire si cruelle.
aVoir-aLire.com
(...) un suspense parfaitement orchestré tant par une bande-son inquiétante que par la beauté et la grandeur des paysages parcourus, magnifiés par un excellent travail sur la photographie. Hélas, usant et abusant du thème du secret comme alibi scénaristique (...) Zviaguintsev laisse trop souvent le spectateur sur sa faim.