Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
MCinéma.com
par Anthony Clément
MARIA (...) s'affirme comme un pamphlet (...). Peter Calin Netzer fait feu de tout bois. [...] Surtout, il émeut en inscrivant un bouleversant portrait de femme dans une peinture sociale réaliste. La grande pudeur du regard, l'humour saupoudré à bon escient, évitent toute dérive misérabiliste et amplifient en contrastes le tragique de la situation. La magnifique Diana Dumbrava (...) porte à elle seule l'intrigue en jouant avec une extrême finesse une femme faible et forte à la fois.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
par Alexandre Chabert et Hugo Lopez
Un drame désespéré porté par une jeune actrice talentueuse : Diana Dumbrava.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
(...) vision aussi désastreuse que plausible d'une société en chute libre (...). Pour compenser, Netzer injecte une pointe de gouaille et d'ironie dans l'évocation tristement instructive de ce microcosme (...). Malgré d'évidentes maladresses démonstratives, l'ensemble résiste tant bien que mal, porté notamment par une bonne interprétation, juste et vaillante, et singularisé par un dénouement (certes un peu moralisateur) aussi sec qu'inattendu.
Score
par Johnny Be Goody
(...) on s'attendait à un portrait misérabiliste et surchargé du quart-monde roumain d'aujourd'hui. Pourtant, Netzer refuse cet angle en optant pour la farce noire - qui décuple la noirceur de ce qu'il montre mais déculpabilise face à la situation inextricable d'un pays en chute libre. Gonflé, même si un peu maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Score
Zurban
par Véronique Le Bris
Refusant la carte misérabiliste grâce à un humour très balkanique et à une description fidèle de la réalité, Maria est un témoignage de cet état intermédiaire entre la Roumanie de Ceaucescu et le libéralisme actuel. Un monde où le manque cruel de repère est préjudiciable aux plus fragiles.
Cinéastes
par Louisa Amara
Maria marque l'émergence du cinéma roumain et permet au spectateur de découvrir la situation sociale actuelle de ce pays (...) . La musique, les effets de ralentis pertinents donnent (...) une belle fluidité à l'ensemble. Mais cela ne suffit pas à rendre digeste ce drame. On retiendra toutefois un ton tragi-comique plus que bienvenu dans certaines scènes. Et bien sûr la performance de Diana Dumbrava (...)
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Le Monde
par Florence Colombani
Le calvaire de Maria incarne à l'évidence celui de tout un pays, ravagé par des années de dictature. Mais, à l'image de son héroïne accablée par la vie, ce premier film d'un jeune cinéaste roumain ploie sous une charge symbolique excessive, aggravée par la démagogie du recours à la télévision comme incarnation de toute l'abjection du capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Fabien Baumann
Nous avons repéré deux idées de mise en scène : Peter Calin Netzer tartine de synthétiseurs roumains enfiévrés les images au ralenti de Maria qui souffre : Peter Calin Netzer fait renifler beaucoup d'oignons à sa comédienne. Les jurés du festival de Locarno, en août 2003 suffoquent d'émoi (un effet de la canicule à l'évidence)...
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Daniel
Tout cela devrait être poignant, mais la surenchère dans l'immonde décourage notre compassion.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Benoît Deschodt
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Survivre en Roumanie postcommuniste ? Pas fastoche. [...] Salmigondis moyennement digeste qui, pour évoquer les ex-pays-de-l'Est-en-transition-vers-le-progrès, mixe misérabilisme et baroque à la Kusturica. L'ironie y pèse des tonnes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
MARIA (...) s'affirme comme un pamphlet (...). Peter Calin Netzer fait feu de tout bois. [...] Surtout, il émeut en inscrivant un bouleversant portrait de femme dans une peinture sociale réaliste. La grande pudeur du regard, l'humour saupoudré à bon escient, évitent toute dérive misérabiliste et amplifient en contrastes le tragique de la situation. La magnifique Diana Dumbrava (...) porte à elle seule l'intrigue en jouant avec une extrême finesse une femme faible et forte à la fois.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Un drame désespéré porté par une jeune actrice talentueuse : Diana Dumbrava.
Libération
(...) vision aussi désastreuse que plausible d'une société en chute libre (...). Pour compenser, Netzer injecte une pointe de gouaille et d'ironie dans l'évocation tristement instructive de ce microcosme (...). Malgré d'évidentes maladresses démonstratives, l'ensemble résiste tant bien que mal, porté notamment par une bonne interprétation, juste et vaillante, et singularisé par un dénouement (certes un peu moralisateur) aussi sec qu'inattendu.
Score
(...) on s'attendait à un portrait misérabiliste et surchargé du quart-monde roumain d'aujourd'hui. Pourtant, Netzer refuse cet angle en optant pour la farce noire - qui décuple la noirceur de ce qu'il montre mais déculpabilise face à la situation inextricable d'un pays en chute libre. Gonflé, même si un peu maladroit.
Zurban
Refusant la carte misérabiliste grâce à un humour très balkanique et à une description fidèle de la réalité, Maria est un témoignage de cet état intermédiaire entre la Roumanie de Ceaucescu et le libéralisme actuel. Un monde où le manque cruel de repère est préjudiciable aux plus fragiles.
Cinéastes
Maria marque l'émergence du cinéma roumain et permet au spectateur de découvrir la situation sociale actuelle de ce pays (...) . La musique, les effets de ralentis pertinents donnent (...) une belle fluidité à l'ensemble. Mais cela ne suffit pas à rendre digeste ce drame. On retiendra toutefois un ton tragi-comique plus que bienvenu dans certaines scènes. Et bien sûr la performance de Diana Dumbrava (...)
Le Monde
Le calvaire de Maria incarne à l'évidence celui de tout un pays, ravagé par des années de dictature. Mais, à l'image de son héroïne accablée par la vie, ce premier film d'un jeune cinéaste roumain ploie sous une charge symbolique excessive, aggravée par la démagogie du recours à la télévision comme incarnation de toute l'abjection du capitalisme.
Positif
Nous avons repéré deux idées de mise en scène : Peter Calin Netzer tartine de synthétiseurs roumains enfiévrés les images au ralenti de Maria qui souffre : Peter Calin Netzer fait renifler beaucoup d'oignons à sa comédienne. Les jurés du festival de Locarno, en août 2003 suffoquent d'émoi (un effet de la canicule à l'évidence)...
Première
Tout cela devrait être poignant, mais la surenchère dans l'immonde décourage notre compassion.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Survivre en Roumanie postcommuniste ? Pas fastoche. [...] Salmigondis moyennement digeste qui, pour évoquer les ex-pays-de-l'Est-en-transition-vers-le-progrès, mixe misérabilisme et baroque à la Kusturica. L'ironie y pèse des tonnes.