Printemps, été, automne, hiver... et printemps : Critique presse
Printemps, été, automne, hiver... et printemps
Note moyenne
4,1
17 titres de presse
Cinéastes
L'Humanité
Positif
Première
aVoir-aLire.com
Ciné Live
L'Express
Le Figaro
Le Monde
Le Point
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
Libération
Chronic'art.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cinéastes
par Eric Borg
Kim redonne (...) ses lettres de noblesse à l'art du repérage. le premier gage de réussite de ce chef-d'oeuvre fut d'avoir trouvé ce paysage édénique de lacs et de collines et d'avoir pris le temps d'en explorer tous les recoins, toutes les richesses, pendant quatre saisons entières (...). La beauté de ces paysages vous éblouira, mais n'oubliez pas de tendre également l'oreille, le pinceau de Kim est aussi sonore.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Dans cette oeuvre à la beauté indéniable, Kim Ki-duk semble rattrapé par sa quête mystique (...) Il révèle avec une simplicité digne d'une parabole évangélique mais sans le moindre prosélytisme notre incapacité à tout maîtriser.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Yannick Lemarié
On pourrait voir dans ce film le récit d'une vie, depuis les premières années de l'enfance jusqu'à l'époque de la maturité. Mais cette appréciation serait maladroite et limiterait la portée du propos, car ce que tente d'évoquer le cinéaste n'est pas tant le déroulement d'une existence que son poids.
Première
par Stéphanie Lamome
En s'abstenant de tout discours moralisateur, le cinéaste coréen propose, avec l'humour tordu qui le caractérise, une sorte de nirvana accessible pour tous mais qui se mérite chaque jour.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Tel le peintre qu'il fut, avec un style et une virtuosité qui lui sont propres, le cinéaste juxtapose des tableaux universels tout à la fois abstraits, métaphoriques, symboliques et subtilement bouleversants qui confinent au sublime. Mirifique, hypnotique, fantastique. Du travail d'orfèvre.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Simple comme une fable, le film liturgique de Kim Ki-duk affiche une joliesse picturale pour prôner une discipline spirituelle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce film est comme une carte postale qui montre l'envers du décor de la vie moderne. Malgré les apparences, il se passe énormément de choses, mais ailleurs.
MCinéma.com
par hugo de Saint Phalle
Ici, chaque plan est un régal pour les yeux, chaque détail est gracieux, chaque couleur renversante. Envoûté par la beauté des images, on adhère complètement à la trame de l'histoire.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Bijan Anquetil
Outre sa beauté formelle, ce qu'il y a de remarquable dans le dernier film du talentueux cinéaste sud-coréen, c'est l'acuité avec laquelle il saisit le passage du temps (...) En cinq chapitres, à la manière d'un conte bouddhiste et cruel, Kim Ki-Duk livre sa réflexion sur la condition humaine.
Télérama
par Marine Landrot
Si la prévisibilité du récit empêche parfois l'émotion d'affleurer, la fascination visuelle l'emporte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Quand le formalisme asiatique vire à l'académisme de la belle image.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Vendre l'image de la sérénité séculaire semble l'unique préoccupation de Kim Ki-duk, (...) en incarnant le moine adulte s'astreignant à une discipline de vie pour purifier son âme souillée. (...) Son film, pourtant, hurle sa naïveté et sa fadeur à chaque plan. Se méfier de la sagesse orientale : elle est parfois l'alibi à peu de frais d'une platitude sans bornes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
Kim redonne (...) ses lettres de noblesse à l'art du repérage. le premier gage de réussite de ce chef-d'oeuvre fut d'avoir trouvé ce paysage édénique de lacs et de collines et d'avoir pris le temps d'en explorer tous les recoins, toutes les richesses, pendant quatre saisons entières (...). La beauté de ces paysages vous éblouira, mais n'oubliez pas de tendre également l'oreille, le pinceau de Kim est aussi sonore.
L'Humanité
Dans cette oeuvre à la beauté indéniable, Kim Ki-duk semble rattrapé par sa quête mystique (...) Il révèle avec une simplicité digne d'une parabole évangélique mais sans le moindre prosélytisme notre incapacité à tout maîtriser.
Positif
On pourrait voir dans ce film le récit d'une vie, depuis les premières années de l'enfance jusqu'à l'époque de la maturité. Mais cette appréciation serait maladroite et limiterait la portée du propos, car ce que tente d'évoquer le cinéaste n'est pas tant le déroulement d'une existence que son poids.
Première
En s'abstenant de tout discours moralisateur, le cinéaste coréen propose, avec l'humour tordu qui le caractérise, une sorte de nirvana accessible pour tous mais qui se mérite chaque jour.
aVoir-aLire.com
Tel le peintre qu'il fut, avec un style et une virtuosité qui lui sont propres, le cinéaste juxtapose des tableaux universels tout à la fois abstraits, métaphoriques, symboliques et subtilement bouleversants qui confinent au sublime. Mirifique, hypnotique, fantastique. Du travail d'orfèvre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Simple comme une fable, le film liturgique de Kim Ki-duk affiche une joliesse picturale pour prôner une discipline spirituelle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ce film est comme une carte postale qui montre l'envers du décor de la vie moderne. Malgré les apparences, il se passe énormément de choses, mais ailleurs.
MCinéma.com
Ici, chaque plan est un régal pour les yeux, chaque détail est gracieux, chaque couleur renversante. Envoûté par la beauté des images, on adhère complètement à la trame de l'histoire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Outre sa beauté formelle, ce qu'il y a de remarquable dans le dernier film du talentueux cinéaste sud-coréen, c'est l'acuité avec laquelle il saisit le passage du temps (...) En cinq chapitres, à la manière d'un conte bouddhiste et cruel, Kim Ki-Duk livre sa réflexion sur la condition humaine.
Télérama
Si la prévisibilité du récit empêche parfois l'émotion d'affleurer, la fascination visuelle l'emporte.
Libération
Quand le formalisme asiatique vire à l'académisme de la belle image.
Chronic'art.com
Vendre l'image de la sérénité séculaire semble l'unique préoccupation de Kim Ki-duk, (...) en incarnant le moine adulte s'astreignant à une discipline de vie pour purifier son âme souillée. (...) Son film, pourtant, hurle sa naïveté et sa fadeur à chaque plan. Se méfier de la sagesse orientale : elle est parfois l'alibi à peu de frais d'une platitude sans bornes.