Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cinéastes
par Elisabeth Navarro
Traité à la façon d'une fable ou d'une légende, sans haine ni amertume, avec l'élégance de la sobriété, le film semble saisi d'un souffle poétique intense qui met en lumière la force intérieure de ces femmes pourtant réduites à l'impuissance.
Aden
par La rédaction
Sabiha Sumar, la réalisatrice, raconte ce bouleversement politico-religieux à travers la transformation de Salim. Jeune homme souriant et tendre, il se radicalise peu à peu, entraîné par des gourous barbus. C'est le mécanisme de l'engagement qui est ici démonté.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Venue du documentaire, dans lequel elle s'est surtout penchée sur le sort des femmes pakistanaises, la cinéaste Sabiha Sumar signe là une belle fiction, bien charpentée dans laquelle, sans que cela paraisse trop artificiel, elle raconte les maux du Pakistan moderne.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sabiha Sumar se bat contre son matériau et tente, parfois avec succès, d'outrepasser le style professoral qui parfois la piège. En laissant (...) une large part à la musique et à la chronique provinciale, elle parvient à donner profondeur et humanité à la société et aux personnages qu'elle décrit.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Valérie Ganne
A travers la tragédie d'une mère reniée par son fils, Khamosh Pani dénonce le sort fait aux femmes au temps d'une guerre pas si lointaine dont les conséquences sont encore palpables.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Malgré quelques longueurs éparses et une mise en scène hésitante, Khamosh Pani, oeuvre ambitieuse, tragique et courageuse dont la vigueur se suffit à elle-même, refuse de s'abîmer dans la fresque kitsch et tente de conférer un minimum d'épaisseur à ses personnages.
Fantastikindia
par Laurent
"Khamosh Pani est ainsi un beau petit film d'auteur qui joue la carte de l'économie ; à des années-lumières des grandes fresques d'époque bollywoodiennes, c'est pourtant une authentique leçon d'histoire sur un sujet vraiment intéressant."
La critique complète est disponible sur le site Fantastikindia
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Laure Naimski
Au fond Khamosh Pani est un film irréprochable. Hormis quelques flashbacks révoltants de violence formelle : indigestes séquences à gros grains et couleurs torturées évoquant le souvenir d'un traumatisme (...). Le reste est de facture classiquement démonstrative.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Libération
par Didier Peron
Khamosh Pani (...) ne décolle jamais vraiment, bien que porté par une saine dénonciation de la sottise religieuse, les hommes sikhs et musulmans étant renvoyés dos à dos pour misogynie fondamentale.
Positif
par Matthieu Darras
(...) l'intention de la réalisatrice (évoquer en parallèle la montée d'un islam radical et la position peu enviable accordée aux femmes) est si prégnante à l'écran que Khamosh Pani ne suscite pas une adhésion pourtant légitime.
Première
par Olivier Lemaire
(...) le film parvient à capter subtilement tous les tiraillements de l'engagement spirituel et à résumer l'évolution de quarante années de putsch religieux.
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Sous son étendard didactique, Khamosh Pani (...) se contente paresseusement de son sujet et ne cherche aucunement à le traiter cinématographiquement.
Cinéastes
Traité à la façon d'une fable ou d'une légende, sans haine ni amertume, avec l'élégance de la sobriété, le film semble saisi d'un souffle poétique intense qui met en lumière la force intérieure de ces femmes pourtant réduites à l'impuissance.
Aden
Sabiha Sumar, la réalisatrice, raconte ce bouleversement politico-religieux à travers la transformation de Salim. Jeune homme souriant et tendre, il se radicalise peu à peu, entraîné par des gourous barbus. C'est le mécanisme de l'engagement qui est ici démonté.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Venue du documentaire, dans lequel elle s'est surtout penchée sur le sort des femmes pakistanaises, la cinéaste Sabiha Sumar signe là une belle fiction, bien charpentée dans laquelle, sans que cela paraisse trop artificiel, elle raconte les maux du Pakistan moderne.
Le Monde
Sabiha Sumar se bat contre son matériau et tente, parfois avec succès, d'outrepasser le style professoral qui parfois la piège. En laissant (...) une large part à la musique et à la chronique provinciale, elle parvient à donner profondeur et humanité à la société et aux personnages qu'elle décrit.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
A travers la tragédie d'une mère reniée par son fils, Khamosh Pani dénonce le sort fait aux femmes au temps d'une guerre pas si lointaine dont les conséquences sont encore palpables.
aVoir-aLire.com
Malgré quelques longueurs éparses et une mise en scène hésitante, Khamosh Pani, oeuvre ambitieuse, tragique et courageuse dont la vigueur se suffit à elle-même, refuse de s'abîmer dans la fresque kitsch et tente de conférer un minimum d'épaisseur à ses personnages.
Fantastikindia
"Khamosh Pani est ainsi un beau petit film d'auteur qui joue la carte de l'économie ; à des années-lumières des grandes fresques d'époque bollywoodiennes, c'est pourtant une authentique leçon d'histoire sur un sujet vraiment intéressant."
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Au fond Khamosh Pani est un film irréprochable. Hormis quelques flashbacks révoltants de violence formelle : indigestes séquences à gros grains et couleurs torturées évoquant le souvenir d'un traumatisme (...). Le reste est de facture classiquement démonstrative.
Libération
Khamosh Pani (...) ne décolle jamais vraiment, bien que porté par une saine dénonciation de la sottise religieuse, les hommes sikhs et musulmans étant renvoyés dos à dos pour misogynie fondamentale.
Positif
(...) l'intention de la réalisatrice (évoquer en parallèle la montée d'un islam radical et la position peu enviable accordée aux femmes) est si prégnante à l'écran que Khamosh Pani ne suscite pas une adhésion pourtant légitime.
Première
(...) le film parvient à capter subtilement tous les tiraillements de l'engagement spirituel et à résumer l'évolution de quarante années de putsch religieux.
Les Inrockuptibles
Sous son étendard didactique, Khamosh Pani (...) se contente paresseusement de son sujet et ne cherche aucunement à le traiter cinématographiquement.