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    Le Privé
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    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    60 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2009
    Grosse déception, je n'est pas du tout accroché. Je n'est hélas pas le temps de faire une critique digne de ce nom, mais je suis franchement déçut...
    Ghibliste
    Ghibliste

    80 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2015
    "Le Privé" est un polar de Robert Altman que j'ai trouvé presque ennuyeux, malgré quelques bonnes répliques et un certain charme... Dans l'ensemble, c'est pas trop mal interprété, même si la manière de jouer d'Elliott Gould a un peu vieilli - sa trop grande désinvolture a un côté surjoué, en plus - ; mais c'est surtout l'intrigue que je n'ai pas trouvée très passionnante, d'autant plus qu'elle n'avance pas... En fait, il y a d'après moi trop de blabla. Heureusement, certaines situations sont amusantes et la fin est vraiment sympa... Tout comme les voisines ! :
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    139 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2013
    Quintessence du film noir revival des années 70. A ranger aux côtés de Night Moves (la Fugue) d'Arthur Penn. Elliot Gould est à l'image de son chat, tout en souplesse et lenteur délectables, traînant derrière lui l'odeur âcre de son indissociable mégot, montrant patte de velours en toutes circonstances et sachant toujours fort heureusement comment retomber dessus. L'intrigue est belle en ce qu'elle se développe aussi bien géographiquement que sur le plan de l'épaisseur du mystère et des sentiments suscités, des valeurs aussi (l'amitié, un traître mot) surgies du passé mouvementé de notre héros qui au final tient plus du gros gentil matou que d'un impitoyable félin à l'affut. C'est pour ça qu'on l'adore, comme on restera bluffé par la formidable prestation de Sterling Hayden.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 septembre 2014
    Après Humphrey Bogart et avant Robert Mitchum, c'est au tour de Elliott Gould d'enfiler le costume du détective privé Philip Marlowe, personnage imaginé par l'écrivain Raymond Chandler à la fin des années 1930. Sous la caméra de Robert Altman, le détective enmène en urgence un de ses amis, Terry Lennox au Mexique mais dès son retour, il apprend la mort de l'épouse de Terry et se voit accuser de complicité de meurtre...

    Robert Altman actualise à sa façon le film noir et ce dès l'excellente première scène où il n'y a pas d'intrigue mais juste le détective dans sa vie de tous les jours entre son chat, ses voisines hippies et son réveil nocturne. Et dès cette introduction, il nous met de suite dans l'ambiance avec ce héro qui s'avère très loin de l'image laissé par Bogart. Personnage qui n'a pas le charisme de ce dernier mais qui s'avère désinvolte, cool voire même nonchalant toujours avec sa clope au bec et surtout que l'on prend un grand plaisir à suivre.

    Si l'intrigue est importante et bien ficelé, Altman attache au moins autant d'importance à Marlowe ainsi qu'à la galerie de personnages que l'on trouve autour. On y croise son pote qui veut se barrer à trois heures du matin au Mexique, un docteur très ambigu, un chat qui fugue ou encore un romancier alcoolique à la Ernest Heminghway. Galerie de personnages alternant plusieurs humeurs et donnant différents tons aux films entre thriller, drôle ou drame, ce que Altman maîtrise à merveille pour notre plus grand bonheur.

    Altman joue avec les codes du film noir où l'on retrouve plusieurs éléments, de l'enquête alambiqué à des personnages où les frontières entre le bien et le mal sont souvent très flous. Mais aussi avec Marlowe, il donne une dimension humaine à son récit où on se sent proche de ce personnage qui fait son enquête d'un air désabusé et désinvolte. Ce dernier est d'ailleurs très bien incarné par Elliot Gould qui s'avère surprenant et attachant. Dans l'ensemble le casting est très bon, à noter aussi une des premières apparitions de Sschwarzenegger au cinéma dans le rôle d'un homme de main.

    Altman sublime Los Angeles à travers un visuel très 1970's qui lui donne un charme désuet. Derrière la caméra, il est là aussi brillant, trouvant toujours de superbes plans et mettant parfaitement en valeur ses personnages. Il maintient la tension tout le long et retranscrit aussi très bien les années 1970 comme en témoigne la première scène avec l'intérieur de Marlowe ou ses voisines. A noter la B.O. de John WIlliams, très loin de ce qu'il a pu faire par la suite et qui joue avec des variations de la superbe chanson "The Loog Goodbye"
    Brillamment mis en scène et réalisé, Altman adapte à sa sauce le film noir et le personnage de Marlowe et nous livre l'un de ses meilleurs films, haletant et passionnant. Elliot Gould, parfait opposé de Humphrey Bogart, donne sa désinvolture et sa coolitude au célèbre détective.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2024
    Philip Marlowe (Elliott Gould) est un détective privé qui vit seul à Los Angeles avec son chat. Par fidélité pour son ami, Terry Lennox, il accepte de le conduire en pleine nuit au Mexique avant d’apprendre à son retour que Sylvia, l’épouse de Terri, a été assassinée et que Terri est accusé du crime. L’annonce du suicide de Terri et de ses confessions ne suffit pas à dissiper les doutes de Marlowe qui décide d’élucider ce meurtre mystérieux.
    Son enquête le mène chez les voisins des Lennox, les Wade. Roger Wade est un romancier alcoolique en panne d’inspiration. Eileen Wade suspecte son mari d’avoir eu une liaison avec Sylvia et de l’avoir tuée.

    À sa sortie en 1973, "Le Privé" avait connu un bide retentissant. Les critiques et les spectateurs ne lui avaient pas pardonné les libertés qu’il avait prises avec le roman de Chandler et avec les règles iconiques du film noir.
    Il est vrai que Elliot Gould ne ressemble guère à Humphrey Bogart ni les 70ies aux 40ies. Mais, à y regarder de plus près, Altman n’est pas si infidèle à Chandler qu’on le lui reproche. Certes, on n’imagine pas Humphrey Bogart câliner son chat comme Elliott Gould dans la première scène du film. Mais les deux hommes partagent le même code d’honneur, le même dandysme, le même refus des règles d’une société frelatée par le crime, la luxure et l’alcoolisme. Et si la fin du "Privé" s’éloigne considérablement de celle du roman de Chandler, elle en a le même esprit.

    Aujourd’hui, "Le Privé" a été réhabilité. Il a trouvé sa place dans le panthéon du cinéma hollywoodien. Il le doit à l’aura de son réalisateur, le grand Robert Altman, et aussi à sa place dans l’histoire du film noir dont il constitue comme un post-scriptum seventies.
    Charlotte28
    Charlotte28

    128 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2022
    D'emblée l'ambiance cynique de ce film noir est posée par le face à museau humoristique mais révélateur des failles relationnelles ainsi que du profond humanisme du privé incarné avec conviction par un Elliott Gould dont la personnalité qu'il confère à Marlowe justifie le visionnage de ce thriller qui en s'éloignant de la trame de l'ouvrage de Chandler conserve une cohérence scénaristique et ancre son propos dans des problématiques classiques mais efficaces. Plutôt rythmé, au second degré amusant et doté d'une mise en scène assez habile cette nouvelle variation autour de taciturnes anti-héros blasés convainc par ses légères nuances bienvenues. Très plaisant.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2024
    Pour réaliser Le privé, Robert Altman s’est appuyé sur un scénario de Leigh Brackett, adaptation du roman The long goodbye de Raymond Chandler. Le titre du roman a été conservé pour titrer le film dans sa version originale. Cette adaptation libre des écrits du créateur du personnage de Philip Marlowe fut d’ailleurs plutôt décriée à la sortie du film dans les grandes salles de cinéma. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/lumiere2023/#LP
    Hannoy
    Hannoy

    24 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 septembre 2021
    Super film, qui n'a pas pris une ride malgré un personnage presque vieux d'un siècle, et une production des seventies. La force des dialogues dans l'exploration de conversations insipides est superbe, avec toujours une pointe d'humour jamais de trop en second plan. La photo est à l'image du film, moderne, sans vieillesse. Seul la B.O nous renvoit à l'idée que l'histoire du film s'inscrit dans les années 30.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2014
    Altman nous donne sa vision du privé version Marlowe des années 70, campé par un Elliot Gould qui emprunte les habits de Bogart, apportant toute la dérision qui faisait défaut à Boggie. Il faut dire que la vague hippie est passée par là et qu’en confiant le rôle à Gould fortement marqué par sa prestation de médecin « jean foutre » dans Mash , Altman ne pouvait prendre une autre direction. L’intrigue est plutôt bien ficelée et constamment filmée de nuit en opposition avec celle où évoluaient Tony Rome (Frank Sinatra) ou Lew Harper (Paul Newman) qui se déroulaient sous le soleil éclatant de Floride ou de Californie. Marlowe est un solitaire et sa vie ne semble pas des plus joyeuses. En particulier ses rapports avec les femmes sont peu développés alors qu’on pouvait s’attendre à un héros volage comme le veut l’archétype de la profession. On peut noter des apparitions furtives de David Carradine et Arnold Shwarznegger
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2012
    Voilà un film qui a pas mal vieilli. Les premières minutes sont parfaitement inutiles et barbantes à souhait. Le côté décalé se retrouve d'ailleurs durant tout le film. Le privé incarné par Elliott Gould semble désabusé, il fait des jeux de mots nuls, bref traîne en permanence son inadaptation à la société. Le résultat est en demi-teinte. Original certes, mais du coup j'ai peiné à m'intéresser véritablement aux pérégrinations du détective, et même à l'intrigue. La mise en scène est inégale. Nombre de scènes sont superflues et sans relief. D'autres surprennent : violence soudaine (quand la fille se prend une bouteille en verre sur la gueule), suicide à la fois brutal et lent de l'écrivain remarquablement filmé. Le film adopte un rythme et un ton savamment hachés et décalés qui désoriente le spectateur. Un peu trop pour moi...
    gregbox51
    gregbox51

    40 abonnés 1 035 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 décembre 2011
    Film noir estampillé années 70, ni plus ni moins......
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    72 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2012
    Un film d'une grande drôlerie, qui ne se prend pas au sérieux, mais offre une galerie de personnages exceptionnelle. Elliott Gould est toppissime en privé je m'en foutiste, et la palme va aux voisines les plus géniales de l'histoire du cinéma. Reste une mise en scène habile et toujours emprunte d'une folie propre au réalisateur : les arrières-plans sont juste à tomber. Le scénario alambiqué n'est pas le plus fin de l'histoire mais tout ça fait un film en forme de grande bouffée d'air frais.
    benoitparis
    benoitparis

    114 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2010
    Un peu trop un exercice de style pour faire un vrai chef d’œuvre, mais quand c’est aussi brillamment mené… Le coup de génie est d’avoir actualisé l’adaptation du roman au moment de la réalisation, au début des années 70. L’esprit de Chandler, mélange de chevaleresque et de cynisme du personnage central et d’opacité de l’intrigue, est superbement restitué, sans qu’une reconstitution ne vienne parasiter la chose de son aspect muséal (c’est le gros reproche qu’on peut faire à un film comme Chinatown de Polanski). Dans le même temps on a quelques dingueries dans la couleur de l’époque (les voisines de Marlowe) plutôt amusantes, avec la vision d’aujourd’hui. La touche d’originalité est dans le final, bien coupant, bien brutal, bien méchant… Altman est inégal, Le privé est dans ce qu’il a fait de mieux.
    Padami N.
    Padami N.

    62 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2017
    une bonne atmosphère un air désabusé et cynique, bien-sûr l intrigue est secondaire mais c est plus les seconds rôles et l ambiance qui compte et nous reste après. pas déçu et plutôt plaisant
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    300 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2012
    Un bon petit polar des familles, avec détective privé cynique et charmeur, flics corrompus, petits malfrats à la petite semaine, et intrigue implacable. "Le Privé" n'est toutefois pas mémorable, malgré des répliques assez cultes.
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