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mistermyster
57 abonnés
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4,0
Publiée le 6 mai 2012
On commence a deviner la grandeur de cette série, ici le réalisateur arrive à équilibrer les genres, la magie, les décors féeriques, l'ampleur des personnages, le voile du mal qui se renforce, on suit Harry Potter, et on commence à voir qu'il sera seul face au mal suprême. Au fil des années qui passent à Poudlard, on se sent faire partie à part entière de cette jeune troupe de sorciers, belle réussite
Cet épisode est un qui m'a le plus satisfait, il est bien rythmé pas mal d'actions, notamment la scène contre le dragon que j'apprécie beaucoup, de plus il y a enfin des rapprochements entre les sorciers, et c'est pas trop tôt !! Le film en lui même étais très intéressant j'ai beaucoup aimé le fait d'introduire une compétition ainsi de l'apparition des deux autres écoles, par contre le Krum, ahh je le déteste, il est vide ce type mais bon je pense que c'est le personnage souhaité. Pour résumé je pense que cet opus est un épisode charnière sur la nouvelle ampleur que va prendre cette aventure.
Excellent 4ème opus! Le tournoi des 3 sorciers est très bien retranscrit, avec de bons effets spéciaux. Les nouveaux acteurs sont très convaincants notamment David Tennant. Et enfin spoiler: Voldemort est de retour , donnant lieu à une fin magistrale!
Harry Potter et la Coupe de Feu marque un gros changement dans la saga Harry Potter car cette fois, le côté sombre est renforcé à chaque moment du film. Mike Newell succède aux autres réalisateurs. Daniel Radcliffe est encore une fois excellent, Emma Watson et Rupert Grint s'en sortent également avec les honneurs. Brendan Gleeson est bon dans le rôle de Maugrey même si physiquement je l'imaginais pas du tout comme sa. Ralph Fiennes donne une prestation monumental en Voldemort. Les effets spéciaux sont excellents comme d'habitude. Malgré qui manque des choses par rapport au livre, c'est une bonne adaptations. De tout façon le tome 4 était pas mon préféré à lire. 20/20
A chaque nouveau film Harry Potter, un nouveau réalisateur. Chris Colombus avait bien dépeint la magie de Poudlard pour un jeune de 11-12 ans tandis qu'Alfonso Cuaron avait fait grandir un peu les personnages pour devenir ados. Mike Newell (4 mariages et un enterrement) les fait définitivement passer dans l'adolescence et ses problèmes. Fini les robes de sorciers achetées par papa-maman, Harry, Ron et Hermione s'habillent en jean et pull à la mode anglaise, on dirait une pub pour GAP. La soirée dansante se finit en fête pop-rock, et de nombreuses tensions viennent bouleverser notre trio qui se sépare pour vivre ses premières expériences amoureuses, toujours difficiles. Les acteurs ont d'ailleurs indiqués dans une interview récente que leurs difficultés amoureuses n'étaient par sur jouées, c'est tout aussi difficile pour eux dans la vraie vie. Tous ces éléments tendent à renforcer les personnages tout en apportant de la nouveauté et un angle de vue différent pour l'histoire. Par exemple, sans aller jusqu'à dire qu'il y a une scène de sexe dans Harry Potter, la scène dans la salle de bain des préfets est plutôt chaude et ingénieuse.
Malgré de nombreux éclats de rires en début et milieu de film, Mike Newell a su reproduire l'ambiance de plus en plus sombre de l'histoire de J. K. Rowling. Pour y arriver, il lui a fallu opérer de nombreuses coupures par rapport au livre. Les puristes crieront au scandale en réclamant les scènes coupées dans l’édition DVD qui suivra, les autres diront que ces coupes étaient nécessaires pour ne pas rallonger un film de 2h35. On peut d’ailleurs se dire que les scènes coupées l’ont été avec l’accord de l’auteur et qu’elles ne sont donc pas essentielles à l’histoire générale. C’est comme ça qu’au début, lors de la Coupe du Monde de Quidditch – qui au passage nous fait penser à un match avec Manchester le soir sur Canal – et pendant tout le film, les séquences avec les elfes de maison ont été supprimées.
Le tournoi des trois sorciers est bien sûr le point central de l’histoire comme ça l’était dans le roman. Il est cependant à noter que Poudlard ressemble de moins en moins à une école, on ne voit plus qu’un seul cours et l’action est centrée en dehors de ces heures. Newell ne fait pas non plus de surenchère sur les scènes d’actions et d’effets spéciaux, il va même jusqu’à couper la première épreuve pour les autres candidats pour ne se consacrer qu’à Harry. Et même si bien évidemment les effets spéciaux sont soignés – sauf peut-être certaines incrustations lors des vols en balai – ils servent l’histoire et restent dans la veine des autres films (photos animées, effets lumineux sortant des baguettes…).
La séquence de fin avec Lord Voldemort est bien entendu la partie la plus attendue des lecteurs d’Harry Potter. On y voit la résurrection du maître des ténèbres incarné par un Ralph Fiennes méconnaissable qui fait d’ailleurs penser à son rôle dans le Patient Anglais. Cette scène fait définitivement passer la saga à l’âge adulte. Fini les petits problèmes de cœur et d’écolier, on passe dorénavant aux choses sérieuses et ça se ressent. Toute la tension du film se retrouve dans cette scène pour un final loin des Happy End traditionnels de ce genre de films pour enfants/ados. Un sacré challenge qui aurait pu être remis en question par une implication plus mitigée du réalisateur et de l’auteur.
Harry Potter et la Coupe de Feu marque un gros changement dans la saga Harry Potter car cette fois, le côté sombre est renforcé à chaque moment du film. Mike Newell succède aux autres réalisateurs et il est l'un des meilleurs pour la saga. Daniel Radcliffe est encore une fois excellent, Emma Watson et Rupert Grint s'en sortent également avec les honneurs. Brendan Gleeson est très intriguant dans son rôle et donc parfait, J'avais oublié dans ma précédente critique de dire que Michael Gambon était parfait dans le rôle de Dumbledore et qu'il remplaçait parfaitement Richard Harris. Ralph Fiennes donne une prestation despoiler: Voldemort épique à la fin du film. Les effets spéciaux sont excellents comme d'habitude. Patrick Doyle dirige très bien la musique. Un quatrième volet phénoménal.
Un peu plus violents que les autres volumes, Harry Potter devient de moins en moins enfantin. D'épisodes en épisodes, la saga gagne en maturité, ce qui n'est pas mal du tout.
"Harry Potter et la Coupe de Feu", quatrième épisode, réalisé par Mike Newell, est considéré par beaucoup comme le tournant commercial qui a fait baissé d'un cran cette saga. En reconnaissant que c'est le premier opus à tendance blockbuster, je trouve qu'il n'en reste pas moins bon. De mon point de vue, c'est David Yates qu'il faut blâmer. Certes cette adaptation est moins fidèle, et on coupe beaucoup de choses. Mais c'est normal, à partir de ce tome, les livres s'épaississent! Quoi qu'il en soit, nous sommes ici pour critiquer un film. Et en tant que film, j'ai trouvé à ce quatrième volet plusieurs points largement positifs: de bons effets spéciaux, un parallèle convaincant entre une ambiance festive et une atmosphère très sombre, des décors époustouflants, des acteurs au jeu moins irrégulier, ainsi qu'un Fol'Oeil et un Croupton Junior glaçants. Alors oui le film va direct à l'action, mais n'est pas négligé pour autant! Et si le film cible un public large, il n'est pas pour autant rempli de scènes niaises à la teen-movie, ou devrais-je dire à la David Yates. Très bon film!
Quand on ajoute de la sauce Blockbuster à Harry Potter ça donne ça ! Si l'adaptation du roman n'est pas aussi fidèle que celle des trois premiers, je lui reconnais cependant plein de qualités : de superbes effets spéciaux, des très bonnes musiques, un film spectaculaire, qui prend une ambiance sombre spoiler: le retour de Voldemort et la mort de Cédricspoiler: Pour moi, cet Harry Potter est mon préféré. De l'action durant quasi tous le film et des personnages réussis. Très bon film.
Le tome 4 étant mon favori, je considère ce film comme une grosse blague et comme un énorme doigt d'honneur à tous ceux qui ont aimé le livre. L'ambiance du livre n'est pas du tout retranscrite dans le film qui s'avère bien mou et sans vie.